On n’ose imaginer ce qui se serait passé si une chrétienne pakistanaise avait eu l’idée saugrenue de brûler un coran à Karachi sur les bords du Malir ou du Lyari…
Mercredi, à 17 h 30, des policiers sont intervenus sur une scène, qui interpelle. Quai de la Râpée (XIIe), face à la péniche La Barge, ils ont découvert une femme, de dos, face à la Seine, toute vêtue de noir, entièrement voilée, en train de brûler un livre. Les policiers se rapprochent « discrètement ». « Vu le contexte actuel de menaces terroristes », ils décident de « maîtriser » et « menotter » la femme. Après une palpation de sécurité pour vérifier si elle n’était pas armée — vérification qui s’est avérée négative — les policiers retirent la burka afin de pouvoir établir son identité. La femme, âgée de 34 ans, domiciliée à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) est porteuse d’une photocopie de son passeport français. Les policiers éteignent le feu qui se consume le livre et découvert qu’il s’agit d’une Bible.
Interrogée sur son geste, la femme répond qu’elle se sent « persécutée ». « On s’est demandé si c’était une personne dérangée », relativise une source policière. Ramenée au commissariat, le parquet ordonne de conduire la femme à l’hôpital de Hôtel-Dieu afin de la soumettre à un examen de comportement. Un internement à l’IPPP (infirmerie de la préfecture de police) étant un moment envisagé. Au final, la femme est jugée saine d’esprit. Elle est verbalisée pour port du voile mais le parquet n’a pas retenu d’infraction pour l’incendie et la dégradation.
Source : Le Parisien, 24 mars (merci A. C., M. L. et P. J. pour ce signalement)
Source
Tous unis contre la Haine mettons l’Islam dehors, pas de fachiste venu de l’extérieur chez nous
Oups – “ils décident de « maîtriser » et « menotter » la femme. Après une palpation de sécurité pour vérifier si elle n’était pas armée”
C’est à ces moments-là que ce sac poubelle a dû être traumatisé , les policiers auraient pu la rendre réellement déséquilibrée cette pauvre chose ! Que d’imprudences …
– “le parquet n’a pas retenu d’infraction pour l’incendie et la dégradation”
Un livre qui brûle : Un incendie , une dégradation que de gros mots !
Alors, allons-y , c’est un des rares droits qu’il nous reste sans doute , alors, au lieu d’allumer des petites bougies toutes bêtes, brûlons des corans car nous sommes nombreux à nous sentir “persécutés” par ces coranneries .Et pas besoin de s’habiller en noir.
Elle se sent persécutée ? La valise et un bon coup de pied au derrière . Du vent et retour au cul du chameau ou elle sera plus en sécurité .
“Tous unis contre la haine…..la vraie…..”…SOS racisme…..capito?
Christian Hofer le 25 mars 2016 à 17h26
“Regardez donc comme est bien formée la police: le premier réflexe est de la croire « dérangée, irresponsable de ses actes ».” Vous pouvez mettre en évidence les mêmes réflexes de tire-au-culs dans la problématique d’analyse des accidents. Dans ces cas pour s’éviter d’analyser une situation, on attribue de facto nombres d’accidents à des excès de vitesse. C’est bien pour les statistiques propices aux anti-voiture et aux bétonneurs et autres fournisseurs de la mafia Ofrou ainsi que pour donner du grain à moudre aux tripoteurs de Via Sicura.
Voilà un mec bien:
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/30/97001-20120430FILWWW00374-un-pasteur-americain-brule-des-corans.php
Regardez donc comme est bien formée la police: le premier réflexe est de la croire “dérangée, irresponsable de ses actes”.
Il est vrai qu’il n’y a aucune revendication de haine de la part des musulmans contre les Chrétiens dans le monde, non non.
https://www.portesouvertes.fr/persecution-des-chretiens/
Comment peut-on être aussi stupide???
Les méduses survivent depuis 45 millions d’années et n’ont pas de cerveau. Il y a de l’espoir pour les cons…
Elle se sent persécutée? Faut la soigner ! Lui fournir un dictionnaire, lui foutre une paire de baffes $%?&*()
Eh oui, Sergio Morosoli. Les collabos sont à la solde de l’envahisseur comme aux plus sombres heures de la deuxième guerre mondiale.
Ou alors on tente d’absoudre la coupable en déclarant qu’il s’agit d’une déséquilibrée.
Pas besoin d’aller si loin, j’ose à peine imaginer les ennuis, les amendes, les procès qui me seraient réservés, si je devais bruler un Coran, en ville de Berne. A Genève ou à Lausanne, ce serait la prison !