L’islam est une religion de paix qui tue

Michel Garroté
Politologue, blogueur
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Finira-t-on par dire que "l'islam est une religion de paix qui tue" ? Une religion de paix, mais pas comme les autres. Une religion qui vit "au 8ème siècle en ce début de 21ème siècle", avec 14 siècles de retard. Une religion qui ne supporte pas la moindre critique. Ci-dessous, je publie deux analyses politiquement incorrectes, celle d'Ivan Rioufol et celle de Mathieu Bock-Côté.
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Ivan Rioufol (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Les ennemis des démocraties occidentales sont ceux qui, en leur sein, les ont désarmées, endormies de somnifères moralisateurs, vidées de leur capacité à s’indigner du pire. Les responsables sont ces "élites" qui, au nom d’un humanitarisme imbécile, ont culpabilisé les peuples européens et ignoré le totalitarisme islamiste : il tue et tuera tant qu’il ne rencontrera pas d’obstacles dans sa conquête. Se souvenir des propagandes et de leurs récitations : l’immigration est une chance, l’islam est une religion de paix, l‘intégration fonctionne; dormez braves gens.
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Ivan Rioufol : Certes, ces mensonges sont démasqués par l’opinion. Mais les dirigeants et leurs médias qui les ont colportés ne s’en sont jamais excusés. Faut-il leur mettre sous le nez les conséquences de leurs fascinations pour le mondialisme et pour l’ouverture à l’Autre ? Eh bien ! Allons-y. Molenbeek, par exemple. Ce quartier majoritairement musulman de Bruxelles compte 24 mosquées. Il est désigné flatteusement comme "multiculturel". En réalité, il se révèle être une pouponnière de fondamentalistes et de gangsterroristes. Ils vivent là comme des poissons dans l’eau.
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Ivan Rioufol : C’est en riposte à l’arrestation du "français" Salah Abdelslam, vendredi, que l’aéroport et le métro de Bruxelles ont été la cible de bombes humaines. Abdelslam, partout recherché depuis les attentats du 13 novembre à Paris, se cachait à 700 mètres du domicile de ses parents, protégé par l’omerta de l’enclave. Lors de son arrestation, des riverains se sont opposés aux forces de l’ordre. Une contre-société s’y est développée, avec le soutien d’élus "progressistes" qui ont appliqué une politique clientéliste.
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Ivan Rioufol : Le désastre était annoncé. Il se retrouve dans beaucoup de communes françaises; d’autres bombes en puissance. C’est cette vulnérabilité des nations, résultat de quarante ans de choix inconséquents, qu’aggrave Angela Merkel en soumettant l’Union européenne au chantage de la Turquie islamiste et conquérante, pour prix de sa démente politique migratoire, conclut Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Dans Le Journal de Montréal, Mathieu Bock-Côté (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Les attentats qui ont frappé la Belgique provoquent chez certains d’étranges sentiments : ils se disent las, ils voudraient que cela cesse par enchantement et ils en appellent surtout à la venue sur terre de la Paix, à la manière d’un principe rédempteur venant civiliser les hommes et les empêchant de s’entretuer. Ils voudraient qu’on déclare la Paix à l’humanité, et que chacun, inspiré par ce grand élan du cœur, range ses fusils et ses bombes. Quand une bombe saute dans un métro, ils publient sur les réseaux sociaux des symboles de paix et chantent Imagine ou Give Peace a Chance. Il y a peut-être quelque chose de beau dans cette conviction sincère que l’amour nous sauvera. Il y a aussi peut-être une forme de naïveté aussi exaspérante que paralysante.
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Mathieu Bock-Côté : Car en attendant la parousie, en attendant cette sublime délivrance, ce ne sont pas les déclarations de paix qui sauveront les peuples et les protégeront mais la résolution à faire la guerre à un ennemi intérieur et extérieur, l’islam radical, qui s’est décidé quant à lui à humilier et soumettre la civilisation européenne. Devant le fondamentalisme islamiste, ses militants résolus et ses convertis qui sont manifestement attirés par sa fureur guerrière et sa cruauté revendiquée, il faut d’abord compter sur de bons services de renseignement, sur des policiers aguerris, sur des soldats d’expérience, sur des frontières efficaces et sur une ferme volonté de le combattre. En un mot, il faut avoir les moyens de se défendre, de le combattre et de le vaincre.
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Mathieu Bock-Côté : La guerre. Pour bien des Occidentaux, c’est un gros mot. Et répondre par la guerre à la guerre, ce serait apparemment une réponse simpliste. Nos bons esprits progressistes qui n’en finissent plus d’admirer leur propre grandeur d’âme voudraient qu’on se penche plutôt vers les racines profondes de l’hostilité entre les hommes et refusent de comprendre, parce que cela offusquerait leurs principes, que la violence est constitutive de l’histoire humaine. On peut la réguler, la contenir, la civiliser même : on ne pourra jamais l’éradiquer et en venir à bout une fois pour toutes.
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Mathieu Bock-Côté : Nos bons esprits, en un mot, s’imaginent toujours que la réponse militaire à une agression terroriste est une dérive populiste faite pour alimenter les simples d’esprit. Ils souhaiteraient qu’on parle d’exploitation sociale, de lutte à la pauvreté, de dialogue entre les civilisations. Ils s’imaginent que si chacun s’ouvrait à l’Autre, l’humanité se délivrerait des conflits (sans s’imaginer qu’en connaissant mieux l’autre, il se peut qu’on s’en méfie davantage). Ils veulent se réfugier dans la stratosphère des discours généreux et pacifistes pour éviter d’avoir à sortir leurs canons, leurs fusils et leurs blindés. Ils veulent s’extraire du conflit au nom de la conscience universelle  et surplomber les camps en présence. En d’autres mots, ils veulent fuir le réel qui égratigne leurs principes splendides.
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Mathieu Bock-Côté : La violence, en quelque sorte, est un fait anthropologique irréductible, et il est sot de croire qu’un jour, les hommes vivront à ce point d’amour qu’il n’y aura plus entre les groupes humains des conflits à ce point profonds qu’ils puissent dégénérer en conflits armés. La guerre est l’expression politique de la violence. Évidemment, d’une époque à l’autre, la guerre change de visage. Aujourd’hui, elle ne se fait plus vraiment en uniforme. Elle prend la forme d’une guérilla s’appuyant sur une cinquième colonne installée dans des forteresses islamistes comme Molenbeek. On a tort de parler du terrorisme en soi. Le terrorisme n’est que le moyen avec lequel les islamistes nous font la guerre.
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Mathieu Bock-Côté : On ajoutera qu’il ne s’agit pas d’une guerre classique mais d’une guerre d’éradication qui nous a été déclarée par des fondamentalistes musulmans qui sont prêts à l’ultime sacrifice pour nous rayer de la carte ou nous soumettre à leur Dieu. La guerre de religion est la plus sauvage d’entre toutes parce qu’elle déshumanise radicalement l’ennemi – il est transformé en représentant du diable qui ne mérite pas sa place sur terre. Au vingtième siècle, elle s’est maquillée en guerre idéologique mais il s’agissait encore une fois de rayer de la surface de la planète ceux qui ne communiaient pas à la bonne foi ou de les y convertir de force.
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Mathieu Bock-Côté : Entre le fanatisme des enragés d’Allah et le laxisme mollasson des sociétés occidentales, il y a un contraste fascinant et on ne peut que souhaiter que ces agressions à répétition contre des villes et des pays au cœur de la civilisation européenne réveillent leur instinct civique pour l’instant endormi. L’histoire est une source infinie de méditation et de méditations. Ce n’est pas un drapeau blanc qui a stoppé Hitler mais la ferme résolution des alliés à lui faire la guerre pour le vaincre et éradiquer le nazisme. Ce ne sont pas de belles âmes dissertant sur la paix universelle qui ont empêché l’armée rouge d’occuper l’Europe occidentale mais l’armée américaine qui y avait installé ses bases.
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Mathieu Bock-Côté : De même, devant l’islamisme, qui bénéficie à la fois de l’appui d’États étrangers et de réseaux bien implantés dans les grandes villes européennes, et qui peut manifestement frapper n’importe quelle cible, qu’elle soit aussi banale qu’une terrasse de café ou stratégique qu’un aéroport, il faudra apprendre à faire la guerre de notre temps. Devant l’ennemi, il faudra moins pleurer et larmoyer qu’être révolté et en colère. Et d’abord et avant tout, il faudra nommer l’ennemi. Non pas « la religion ». Non pas « le fanatisme ». Mais l’islamisme, qui s’est aujourd’hui juré de casser le monde occidental, conclut Mathieu Bock-Côté (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/03/les-vrais-responsables-du-malh.html
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http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/03/24/terrorisme-on-ne-declare-pas-la-paix-face-au-fondamentalisme-5779309.html
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5 commentaires

  1. Posté par Jean Némar de l'islam le

    Quand on voit les têtes des islamistes visages haineux et points levé , oui , il ne faut plus en douter: c’est une religion de paix
    dormez tranquille brave gens

  2. Posté par No Noli le

    Il y aurait 18 religions majeures dans le monde… 150 mouvements religieux qui rassemblent chacun plus d’un million de fidèles… des dizaines de milliers de groupes beaucoup plus petits… Sans compter tous ceux qui se sont fabriqués leur propre religion. D’où la difficulté récurrente, quand on en vient à parler de Dieu, de se retrouver au beau milieu d’une querelle de clochers, voire d’une véritable guerre de religion !

    Chacun sa croyance, chacun sa religion… C’est ce qu’une femme a un jour répondu à Jésus : “Nos pères ont adoré sur cette montagne, mais vous dites, vous, que le lieu où il faut adorer est à Jérusalem.” [La Bible – Jean 4/20]
    Alors… qui a raison ? Où est la vérité ?

    Une chose est certaine : tous ces courants religieux témoignent d’une réelle aspiration au divin, d’une soif de spiritualité. Dieu a “mis dans le coeur de l’homme la pensée de l’éternité” [La Bible – Ecclésiaste 3/11], et quelque part, dans l’inconscient collectif, il reste la trace d’une relation passée – perdue – avec le Dieu créateur.

    Alors les hommes ont multiplié les tentatives pour retrouver ce qu’ils avaient perdu, considérant leurs religions comme autant d’échelles pour gagner le ciel, se réconcilier avec Dieu et être sauvés du péché…

    Mais l’histoire du salut n’est pas celle d’une échelle qui s’élèverait de la terre jusqu’au ciel, les hommes essayant d’en gravir les barreaux au prix d’efforts en tous genres [piété, bonnes actions, aumônes, etc], sans jamais parvenir à Dieu.

    Non, le salut ne se mérite pas, et toutes les religions humaines se valent sur ce point : elles sont incapables de permettre la réconciliation avec Dieu. Le salut vient d’en haut, c’est l’échelle, la main que Dieu nous tend.

    C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est pas par les œuvres, afin que personne ne se glorifie. [La Bible – Éphésiens 2/8-9]

    Il y a un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ. [La Bible – 1 Timothée 2/5]

  3. Posté par Michael le

    M. Bock-Côté fait mouche. Sa démonstration est exemplaire. Merci M. Garroté pour cette contribution (et les autres), c’est toujours un plaisir malgré la gravité des sujets.

  4. Posté par Alain le

    Nos autorités bisounours de gauche, nos médias gauchistes, nos églises officielles : ils sont toutes et tous aveuglés sur l’islam.
    Il faut se réveiller et dire NON à l’islamisation de la Suisse.

  5. Posté par Noël Cramer le

    Durement dit…. Mais vrai !

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