L’alliance des forces de gauche est-elle à jamais inattaquable à Lausanne? Cette question hante aujourd’hui les responsables libéraux-radicaux qui ont vainement tenté de ravir un siège supplémentaire à la Municipalité. Pour la troisième fois depuis 2006, l’exécutif de la capitale travaillera dans une configuration 6-1, avec trois socialistes, deux Verts et un popiste contre un seul PLR.
La gauche tient Lausanne depuis 1989. Pour Benoît Gaillard, président du PS lausannois, cette élection n’a jamais été celle du rééquilibrage. La configuration à six contre un, il l’a appelée de ses vœux depuis le début de la campagne: «Elle est en place depuis 2006. Au parti, certains ont pensé à cette époque que ce serait passager, voire qu’il fallait que ce soit passager. Cette idée a circulé, mais n’a pas convaincu. Aujourd’hui, l’analyse fine va montrer qu’il n’y a pas eu de biffage de David Payot.» Benoît Gaillard ne voit aucun inconvénient à cette majorité écrasante: «Cette configuration est habituelle à droite dans d’autres municipalités!»
26 minutes de la RTS a présenté le nouveau communiste de service de la municipalité à 240’000.- de salaire! Un communiste au pays des benêts, faut-il en pleurer, faut-il en rire? C’est le tiers monde.
L’idée géniale d’un journaleux de Temps de vouloir que Lôsanne se rapproche de Zurich (toujours aussi complexé le brave) comme grande ville, veut intégrer Pully, Renens, Broncul les Mottes, et Evian dans la Lausanne, l’urbaine, avec ses pôles muséal, ses fonctionnaires du sport et sa municipalité Stalinienne sans un rond. Ce journaleux donne dans le délire en faisant une comparaison avec L.A, Los Angeles USA rien que ça!!! Il faut oser! Sauvabelin va devenir Hollywood…. Ils vont planter des palmiers, faire un Festival de film anti Suisse avec un ouinouin d’or pour un film nous rappelant l’héroïque STASI, avec hommage à Eric Honnecker par Jean Ziegler et le municipal Payot. Un défilé au pas de l’oie de la police lausannoise et de ses inspecteurs du peuple aura lieu sur le quai du 1er Mai, ancien quai d’Ouchy. Le peuple sera invité à venir chanter L’internationale sur la place de la Navigation.
Bastion imprenable ?
Messieurs du PLR, aucune citadelle n’est imprenable….Petite question arithmétique : faites l’addition de toutes les listes de droite sans aucune exception et….vous arriverez à la conclusion.
Certes il faut du courage pour l’admettre et POUR NE FAIRE QU’UNE SEULE LISTE TANT AU COMMUNAL QU’AU MUNICIPAL. Aurez-vous ce courage ? J’en doute fort !
Lausannne est dans les chiffres rouges depuis que les socialos gauchos sont majoritaires au gouvernement. Aucun média en parle, il n’y a que des louanges de la part des journaleux pour ce gouvernement pourri. Il est temps de voter avec les pieds et quitter cette ville, qui est devenue l’endroit des mendiants, toxicomanes et cambrioleurs. La ville la plus dangereuse de la Suisse!
Que les gens sensés quittent Lausanne et aillent s’installer à Yverdon ou à Montreux. Qu’ils laissent aux édiles lausannois les bobos et les cas sociaux et autres assistés qui votent (et je les comprends. Qui irait voter contre cette main qui les nourrit ?), à gauche. Laissez-les s’étouffer sous le poids de toutes les aides sociales et subventions (déguisées ou non) versées pour la culture.
Quand les bobos devront financer tout seul toutes ces aides sociales et subventions, on verra bien comment ils réagiront.
Le jours ou les casques bleus et la légion étrangère à vélo bien sûr patrouilleront dans la rue de Bourg alors peut être que les urbains lôsannois auront compris?
Lausanne est devenue le bastion de la gauche, le bastion de ce que l’on ne nomme pas n’existe pas, voilà l’exemple même de ce que la gauche peut faire avec une ville en Suisse après quelques décénnies de gouvernance, c’est devenu une ville que l’on fuit et qu’on a laissé aux mains des sans papiers, des immigrants, des cas sociaux, des dealers, mais tant qu’on ne les nomme pas…. ça n’existe pas…..
Bastion imprenable ?
Il suffit juste de laisser une municipalité 100% de gauche et que, pendant une législature, la droite du conseil communal accepte tous leurs délires : dans 5 ans ils seront en faillite et un franc symbolique suffira (d’accord, c’est déjà trop… mais on fera avec).
Que j’aimais Lausanne, dans les années 70 – 90! Ville propre, d’un cosmopolitisme mesuré, donc supportable, sans zones de non- droit, vie nocturne sympathique et sécurisante.
Je sais, je suis un vieux con, mais les gauchistes aussi: dans leur idéologie, ils sont toujours au festival de Woodstock et refusent d’admettre que les paramètres ont totalement changé.