Un élu écologiste a transformé sa maison en décharge à ciel ouvert. Il est poursuivi pour insoumission.
Ce sont ces poubelles, une centaine de sacs noirs entassés un peu partout, qui sont à l’origine des problèmes d’humidité et d’infiltrations d’eau rencontrés par les locataires d’un appartement mis en location par Stéphane Barbey. Loin de s’en formaliser, le juriste a bénéficié de l’aide judiciaire et recouru au Tribunal cantonal. Il a été débouté dans un arrêt rendu le 11 décembre.
C’est peut-être sa conception de l’écologie : laissez faire la nature, elle phagocytera d’elle-même les ordures jonchant son jardin. Qu’un juriste puisse bénéficier de l’aide judiciaire, cela laisse sans voix.
De même que j’avais connu le cas d’un médecin qui logeait, à Lausanne évidemment, dans un appartement ……subventionné !; donc le contribuable payait une partie de son loyer.
Ce qui m’inquiète c’est la facilité que Stéphane Barbey a eu pour obtenir l’aide judiciaire. S’il a mis en location des locaux et que le terme location est exacte, alors on devrait creuser par là, car il est très curieux qu’on puisse être propriétaire foncier et bénéficier de cet aide. En plus juriste à la FRC, c’est pas un brevet de grande efficacité. C’est bien un comble se savoir que des subventions publiques arrosent encore les revenus de ce Monsieur Vert, qui ne peut qu’être, vu les circonstances, qu’un bon donneur de leçons. Et s’il a le même ADN que Grégoire Barbey, alors on comprend tout!
Le syndrome de Diogène chez un vert qui siège au conseil municipal. Et on le laisse recourir jusqu’au TF. Complètement délirant.