La Suisse aimerait bien obtenir un accord avec le pays africain pour expulser les demandeurs d'asile déboutés. Mais il faudra du temps.
Berne n'en est qu'aux prémices d'un dialogue avec Asmara, a clarifié mardi le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). Et des progrès rapides ne peuvent se produire sur un claquement de doigt de parlementaires suisses.
La problématique des requérants d'asile érythréens est un thème récurrent aux Chambres fédérales. Cela fait cinq ans que les députés souhaitent un accord de réadmission qui permettrait à la Suisse d'expulser les demandeurs d'asile déboutés.
Aide au développement ponctuelle
La Suisse lui a déjà fourni une telle aide jusqu'en 2006. Le programme a ensuite été abandonné, car les conditions permettant un contrôle des prestations d'aide n'étaient plus réunies. Du matériel amené à titre humanitaire a par exemple été saisi par des militaires érythréens.
Rappels :
Près de 90% des Erythréens ayant obtenu l’asile en Suisse touchent l’aide sociale
Depuis un petit voyage de quelques parlementaires suisses – qui ne vont pas se taire si rapidement (…et nous non plus) -, Mme S. et son collègue PLR – notre tandem gouvernemental gagnant – doivent sérieusement revoir le dossier érythréen ! Cela ne les enchante pas, évidemment, toute une industrie de l’asile derrière eux, non plus… Mais les excuses, c’est fini, maintenant ! Faites enfin votre travail !
La différence entre les déserteurs (menteurs) et la racaille (criminelle) du Maghreb ne nous intéresse pas vraiment – tous ces faux « réfugiés » causent tout le temps des problèmes et coûtent trop cher aux contribuables suisses. Avec cet argent, sur place – mais il faudrait un peu travailler, n’est-ce pas ?! -, bien des projets utiles pourraient être réalisés et nourrir leurs familles et toute la population… Retour au village !
J’ai lu récemment que le PIB de la Corée du Sud dépassait celui de toute (!) l’Afrique… Cherchez l’erreur !
Plus bas, j’ai fais un commentaire sur la CEDH et la Licra, instrument de pouvoir et non pas de instrument de justice!
La preuve par l’exemple. Ici, comme dans beaucoup d’autres situations, avec d’autres pays, la CEDH a rendu l’exercice du Droit caduque.
Les États sont impuissants, que ce soit devant les flux migratoires ou les renvois – je passe sous silence celui des criminels afin de na pas surcharger la barque – en face, des pays friands de bonus en tout genre. Autrement dit les États se font rançonner pour pouvoir se débarrasser de ces hôtes indésirables.
Des hommes de loi, de bonne volonté mais un tantinet idiots, considèrent la CEDH comme l’instrument d’une justice humaniste, respectueuse et trompeusement universelle.
Ils ignorent ou semblent ignorer que cette même CEDH n’est que le vecteur de notre impuissance et par voie de conséquence d’une faiblesse mortifère. Une façon de se tirer une rafale dans le pied ou plutôt dans la tête.
A qui profite le crime, à la soit-disant “élite” mondialiste, qui tire les ficelles et appel de ses vœux à la suppression des frontières et à la disparition des États-Nations.
Cela énoncé tout devient limpide. Tout leur talent est de s’appuyer sur les “bons sentiments” et sur la bêtise des gens, et là il faut l’avouer leur tâche n’est pas inhumaine!!