La Suisse mène des projets ciblés en Tunisie, en Egypte, en Libye et au Maroc. Ces activités favorisent la démocratie et les droits de l'homme, encouragent l'essor économique et la création d'emplois et proposent des solutions aux problèmes migratoires.
Dans un esprit de solidarité, tout en étant désireuse de sauvegarder ses intérêts, la Suisse a renforcé en 2011 son engagement en Afrique du Nord et accompagne les pays partenaires dans leur difficile transition vers la stabilité et la démocratie.
Si la tenue d'élections libres et l’adoption de nouvelles constitutions sont des signes positifs, l'expérience a cependant montré que les phases de transition sociale pouvaient s'étendre sur plusieurs dizaines d'années. En Afrique du Nord aussi, la situation politique et économique reste pour l'heure incertaine.
Le programme suisse est réalisé par la Direction politique du DFAE, le Secrétariat d'Etat à l'économie (SECO), le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) et la DDC, dans une approche interdépartementale.
Développement économique et création d’emplois
Des projets novateurs et pragmatiques pour améliorer les conditions de vie des populations
Outre les revendications politiques, la corruption et le manque de perspectives économiques ont été pour de larges pans de la population les principales causes des révoltes de 2011. L'économie formelle n'offre pas suffisamment d'emplois pour les personnes capables de travailler. En conséquence, les chiffres du chômage sont élevés, surtout chez les jeunes.
La Suisse propose donc des projets novateurs et pragmatiques contribuant au développement économique. Par ces initiatives, elle contribue à améliorer la compétitivité internationale et la stabilité macroéconomique, tout en finançant les infrastructures urbaines et la gestion durable des ressources naturelles. En outre, elle partage son expérience dans le domaine de la formation professionnelle, soutient les jeunes entrepreneurs et crée des emplois.
Histoire de la coopération
Un engagement renforcé depuis les révoltes arabes
En 2008, la DDC se retire de la région, mais maintient un programme humanitaire au Maroc. D'autres services fédéraux sont intervenus ponctuellement dans la région, notamment le SECO, qui durant de longues années a mené un programme en Egypte.
Le 11 mars 2011, le Conseil fédéral a décidé de renforcer l'engagement suisse en Afrique du Nord, à la fois sur le plan financier et thématique, et l’a articulé autour de trois axes thématiques. L'action de la DDC s'inscrit dans la stratégie de la Confédération et touche à chacun de ces trois domaines. La DDC intervient en Tunisie et en Egypte et réalise un grand programme au Maroc. De plus, elle apporte un soutien ponctuel en Libye.
Liste des pays aidés par la DDC
Rappel: Renvois des criminels étrangers: Comment les pays du Maghreb se moquent de la Suisse
vous oubliez que c’est l’ONU,qui donne les ordres…ou siege la Suisse
Il y a 10 ans, je payais mes impôts volontiers. C’était ma juste contribution au bien commun.
Mais maintenant, avec tout ce qu’on nous pompe et surtout ce qu’ils en font, je suis écœuré.
Ces infos sont quotidiennes :
« La Suisse envisage de placer 120 millions de francs en quatre ans dans la reconstruction de la bande de Gaza. Mais elle réclame des garanties de toutes les parties, aussi bien d’Israël que du Hamas. »
« Berne a déjà accordé depuis juillet une aide d’urgence de 4’250’000 francs aux populations de l’enclave palestinienne, a-t-il rappelé lors d’un point-presse à Jérusalem-Est. »
« La Suisse va verser 1,7 millions en plus aux Palestiniens » 31.7.14
« La Suisse va verser 33,7 millions de francs aux réfugiés palestiniens. Le Conseil fédéral a approuvé mercredi cette enveloppe destinée à l’UNRWA pour les années 2014 et 2015. »
« En 2014, après la votation du 9 février, la Suisse a versé 45 millions à l’UE pour participation à l’élargissement »
Notre balance commerciale avec l’UE est négative de 40 milliards par an => Nous achetons chaque année pour 40 milliards de francs de plus à l’UE que ce que nous lui vendons.
« …La Croix-Rouge recevra 80 millions de francs en 2014 »
Et en 2015 ?
Et en 2016 ?
« La Suisse va aider les Balkans à hauteur de 15 millions
Inondations — La Suisse s’est engagée à verser une contribution de 15 millions de francs pour aider la Bosnie-Herzégovine ainsi que la Serbie à faire face aux dégâts considérables causés par les inondations de mai. »
« …Depuis 2008, la Suisse participe avec 1,257 milliard de francs à plusieurs projets visant à réduire les disparités économiques et sociales au sein de l’UE élargie. Malgré une croissance rapide dans les années suivant l’adhésion à l’UE, le niveau de prospérité dans les Etats nouvellement membres de l’UE est relativement bas et l’écart avec les Etats membres de l’Europe des Quinze est comparativement important. L’engagement de la Suisse pour l’élargissement de l’UE est une manifestation de solidarité. En même temps, la Suisse pose les fondements nécessaires à l’établissement de liens solides, à la fois économiques et politiques, avec les nouveaux Etats membres de l’UE…. »
2014 85 millions pour la Syrie
2015 ??? millions pour la Syrie
2016 ??? millions pour la Syrie
AU TOTAL, ON NOUS VOLE COMBIEN ??
Il semblerait que ce soit 3 milliards par année. Plus les 8 milliards que l’asile nous coûte + les ONG + les parasites qui sont inadaptables et vivent comme des sangsues sur notre dos à perpète.
Quel est le total réel que les esclaves suisses doivent payer au bon plaisir de leurs dirigeants cinglés ?
Mais pauvres moutons, faisons quelque chose !!!
Eh oui, nos guignols mous du genou récitent comme un leitmotiv ” mais on ne PEUX PAS les expulser… leurs pays d’origine ne les veulent pas” Bien, il y a la carotte et le bâton à jouer par rapport aux aides au “développement” (depuis le temps qu’on les aide à se développer, on dira que le développement est ….lent) mais il y a aussi les ressortissants de ces pays qui se sentent tout puissants à faire ce qu’ils veulent en toute impunité. Je suppose que si ceux qui sont à expulser sont cantonnés en montagne, dans un centre au confort minimum, (pas de tv, pas d’internet, pas d’aide financière) mais juste l’alimentaire et le camion de bois qui leur apporte les billes qu’ils doivent ensuite débiter pour se chauffer, cuisiner, avoir l’eau chaude…. Ils demanderont à repartir d’eux mêmes…Pour aller ou? on s’en fout! Mais ailleurs.
Visa obligatoire pour tous ressortissants africains.
Illégaux sur le territoire, expulsion immédiate manu-militari, ou pain sec et eau dans l’attente de l’expulsion.
Accès à notre territoire limité seulement aux personnes ayant obtenus un visa temporaire, excepté pour les musulmans, qui eux ne sont plus admis.
C’est pas compliqué. Et c’est la volonté d’une majorité du peuple suisse, j’en suis persuadé.
Ils ne veulent pas les reprendre? Et bien c’est très simple, il ne faut pas les laisser rentrer dans la Suisse. Depuis quand la Suisse est en frontière commune avec La Tunisie, Libye, Maroc, Érythrée etc… Premièrement contrôler nos frontières, deuxièmement stopper l’aide financière pour ces pays, n’importe quel idiot le comprend…
Boumedienne a fait venir des frères musulmans égyptiens pour endoctriner les petits algériens.
C’est grâce à la France que la racaille maghrébine et les islamistes empoissonnent l’Europe.
Tout cela est la conséquence d’une indépendance mal négociée de l’Algérie, qui faute de cadres, et aussi par souci de jeter par-dessus bord tout souvenir de l’ancien colonisateur, a entrepris une vaste arabisation de la société algérienne : enseignement, justice, universités.
Cette arabisation était clairement anti-française. Résultat il a fait venir des dizaines de milliers de frères musulmans égyptiens pour endoctriner les enfants algériens et leur inculquer la haine du monde chrétien. C’est cette vermine que vous voyez à l’oeuvre aujourd’hui dans toute l’Europe. Et croyez-moi elle n’est pas là pour nous faire du bien.
Dès 1962, la France a fermé les yeux et a accueilli sur son sol plusieurs millions d’Algériens, ses anciens ennemis, kabyles et berbères, égorgeurs du FLN. Surtout pas d’immigration choisie car cela contrevenait aux “valeurs républicaines”.
Le résultat il est là : tout est en place pour une guerre civile qui verra islamo-gauchistes internationalistes aux côtés des arabo-africains , contre les autochtones.
Car comme l’affirme Edwy Plenel, ancien directeur de la Rédaction du journal Le Monde et actuellement patron de Médiapart “c’est une grande chance pour la France d’être le premier pays musulman d’Europe”.
Ils ne veulent pas reprendre leurs ressortissants… Ah ? Ils ne veulent pas ? Et « l’aide » au développement, ils la veulent ? Alors, notre ministre des Affaires étrangères, quelques questions : Depuis toujours, le PLR s’est intéressé à l’économie libre, à la compétition, n’est-ce pas ? Ne dit-on pas chez nous que celui qui paie peut influencer, dicter, ordonner, imposer et même manipuler ? Au Maghreb, ils ne comprendraient pas ce principe élémentaire ? Ou alors, tout d’un coup, notre « tradition humanitaire » ( > mauvaise conscience) ne le permettrait plus ? Pour mieux protéger notre « industrie » de l’asile ?
Tous ces faux « réfugiés » du Maghreb, on ne les veut plus chez nous ! Allez-y, avec votre collègue Mme S., c’est votre boulot : pincez-vous pour chercher et imposer – oui, imposer (celui qui paie) – une solution efficace ! Assez de se lamenter ou de courir tout le temps à Bruxelles !
C’est pourquoi il faut absolument que le OUI passe le 28 février, car cela forcera Berne à négocier des accords avec les pays du Maghreb qui ne veulent pas reprendre leurs racailles, quitte a utiliser l’argent de la coopération pour construire des prisons chez eux !
Lorsque l’on refuse une solution, c’est que l’on ne veut pas de solution…
Puisque ces pays prétendent pouvoir nous danser sur le ventre, adoptons l’attitude suivante:
De l’aide au développement (de quoi au fait?) , soustrayons le coût occasionné par leurs criminels résidant sur notre sol. De plus, ces pays ont-ils organisé des collectes en faveur des persécutés lors de la deuxième guerre mondiale? Ces pays sont trop contents de nous envoyer leur “chances” , ou plutôt “chancres”, considérant que c’est à nous de nous en occuper.