Le 5 février, dans les 24 Heures, c’est Eric Cottier, vice-président des procureurs suisses, qui développe longuement ses arguments contre l’initiative UDC. Qu’en pensez-vous ?
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Le 5 février, dans les 24 Heures, c’est Eric Cottier, vice-président des procureurs suisses, qui développe longuement ses arguments contre l’initiative UDC. Qu’en pensez-vous ?
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@Cenator
Exact. Le renvoi des criminels étrangers risque fortement d’être le cadet de nos soucis assez prochainement. On devra plutôt s’organiser pour sauver notre peau et refouler l’envahisseur manu militari avant que cette loi ne soit mise en œuvre.
Malgré tous les arguments des médias, il faut voter OUI pour en expulser le plus possible. Ils le méritent en vivant à nos crochets et en détruisant la Suisse.
Les opposants trouveront toujours une lacune réelle ou imaginaire pour s’opposer à n’importe quelle initiative de ce genre, mais il en va de la survie de la Suisse que nous aimons.
S’il faut serrer les boulons encore plus, par exemple pour l’exécution des renvois, on le fera par la suite.
D’ailleurs, vu les orages qui se précipitent sur le futur de l’Europe occidentale, nous allons bientôt regretter d’avoir perdu notre temps sur des détails.
Je suis un peu déçu, il ne parle pas des pommes et des roses si chères à SS.
J’ai l’impression que ces « braves gens de justice » vivent dans un monde irréel, très influençable et avec des outils d’un autre siècle. Ils se prennent un peu trop pour des intouchables, des gens à part au-dessus de tout qui se jugent parmi. Leur langage, leurs interprétations des lois est incompréhensible pour le commun des mortels. Je donnerais cher pour connaitre comment seront nos lois dans 80 ans? Seule l’intelligence artificielle (sans parti politique, elle) pourra juger, peut-être.
Je suis un peu déçu, il ne parle pas des pommes et des roses si chères à SS.
J’ai l’impression que ces “braves gens de justice” vivent dans un monde irréel, très influençable et avec des outils d’un autre siècle. Ils se prennent un peu trop pour des intouchables des gens à part au-dessus de tout, qui se jugent parmi. Leur langage, leurs interprétations des lois est incompréhensible pour le commun des mortels. Je donnerais cher pour connaitre comment seront nos lois dans 80 ans? Seule l’intelligence artificielle (sans parti politique, elle) pourra juger, peut-être.
Posté par JeanDa@
Oui quelques fois on croit connaître les gens, mais on ne sait pas de quoi ils sont fait, de quelles organisations, de quels groupuscules, à quels intérêts d’obéissances “d’ordres” supérieurs de la hiérarchie!!!???
Vous voyez ce que cela veut dire…?
A bannir, ce sera OUI.
J’avoue être surpris et déçu par cette prise de position boîteuse.
Boîteuse car elle ne correspond pas à l’Eric Cottier que je connaissais qui était, par delà les lois, un passionné de JUSTICE, la vraie.
Une chose est sûre: on renverra des délinquants récidivistes. Pas besoin d’en savoir plus ni d’argumenter. Les exemples donnés d’une personne qui “cède à la tentation” et se sert dans un magasin ouvert, ou de la femme de ménage non déclarée sont complètement tirés par les cheveux. Et mensongers: c’est à l’employeur de déclarer sa femme de ménage.
Il y a par contre une vraie question qui se cache là derrière: si ces droits-de-l’hommistes doivent pareillement tordre la réalité pour donner des raisons de voter non, qu’est-ce que ça cache? Ne cherchent-ils vraiment qu’à défendre leur juteux petit business, ou y a-t-il une volonté de détruire notre modèle de société occidentale? Sont-ils des idiots utiles ou des complices?
L’avenir le dira sans doute. Pourvu que nous évitions le chaos.
Si la presse romande pouvait donner une toute petite place pour qu’une victime puisse longuement développer ses arguments, ce serait pas mal non plus.
Un gardien de prison ferait aussi l’affaire, dans la mesure ou on le laisse s’exprimer sans contrainte.
Le fait que ce Monsieur perde son aura et son pouvoir doit lui rester en travers. Pour cette magistrature, c’est ce qui fait le plus mal. Et encore faudrait-il savoir de quelle justice on parle.
“Le public devrait de temps en temps s’efforcer de se représenter ce que peut ressentir une personne qui va passer deux ans en prison, ou l’un de ses proches.”
Certes, passer ne serait-ce qu’une semaine en prison au milieu de la faune de barbares mahométans qui constitue l’écrasante majorité de la population carcérale serait mortifiant pour un individu civilisé. L’argument est fallacieux précisément parce que la loi ne vise pas des individus civilisés mais des délinquants, pour lesquels se retrouver entre “frères” n’a rien de dissuasif. Au contraire, cela correspondrait plutôt à un stage entre copains à l’école du crime.
“Un coût plus élevé résultera sans conteste des processus plus compliqués et d’une multiplication, certaine, des recours.”
Quand bien même cela coûterait des millions, ce serait le prix d’une assurance anti-récidive bien plus efficace que les peines ridicules, non dissuasives, qu’encourent actuellement ces délinquants. On paie bien des primes exorbitantes pour des assurance, qui elles nous sont imposées, comme l’assurance maladie ou l’assurances RC. Alors pourquoi pas une assurance librement consentie. In fine cela coûtera certainement moins cher que les dégâts occasionnés par les parasites récidivistes.
Si ce petit juge effarouché sort du bois pour faire campagne, il ne parvient pas à masquer sa véritable motivation. La crainte qu’il partage avec les politiciens véreux, de voir le Souverain reprendre un pouvoir dont il a été spolié.
Cause toujours tartuffe!