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« je ne vois pas l’intérêt », ou plutôt si : les adultes qui ont trimé dans leur enfance pour apprendre par cœur les exceptions de l’orthographe française ont du mal à admettre que cet effort devienne inutile.
C’est un phonémène connu en psychologie sociale : les gens tendent à surestimer ce qui leur a coûté.
Autre exemple : persécuter les adeptes d’une idéologie ou d’une religion ne fait que les renforcer dans leurs convictions. C’est aussi pour cela que certains groupes ou sectes ont des rites d’initiation pénibles : les personnes, ensuite, hésitent à revenir en arrière car cela revient à reconnaître qu’elles ont fait ça pour rien.
Inversement, les gens tendent à dévaloriser ce qui leur est fourni gratuitement ou à trop bas prix.
La réforme de l’orthographe a été proposée en 1990 déjà et il n’y a vraiment pas de quoi fouetter un chat. Les discuteurs de sexe des anges sont ceux qui s’opposent à la réforme. Personnellement, je ne vois pas l’intérêt de se battre pour refuser d’écrire évènement, chancèle, aout, nénufar, et continuer à écrire événement, chancelle, août et nénuphar en prétendant que c’est une “richesse de la langue française”. Il y a déjà eu des réformes: “il estoit” est devenu “il étoit” puis “il était”: qui s’en plaint aujourd’hui ?
Très bien !
Nous avons une spécialité bien française : alors que le Turc s’apprête à franchir les murs de Byzance, nous discutons du sexe des anges. Ou plutôt (et c’est pire !) nous adaptons l’orthographe à l’illettrisme de l’envahisseur. Chapeau !