Un petit garçon pauvre de Serbie ramassait les aliments, de l’argent et les vêtements abandonnés par les migrants

Nos lecteurs nous prient de publier (merci à Yogilours)

Horgoš est le dernier village au nord de la Serbie avant le poste-frontière de Röszke en Hongrie. Des mois durant, ce fut l’un des points de passage principaux des clandestins pour rejoindre l’Europe occidentale. Des heurts importants ont eu lieu à ce point-frontière les 15 et 16 septembre lorsque la Hongrie a décidé d’arrêter le passage des clandestins depuis la Serbie.

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6 commentaires

  1. Posté par voxdev le

    “Pas politiquement correct… ” . Ce petit garçon ne risque pas de se retrouver à la une de la presse mondiale très sélective en matière de misère et de drames.

  2. Posté par maribel stocco le

    Madame, Monsieur,
    Vous commentez tout ce que vous lisez, vous proposez prendre les armes, mais soyez intelligents, pour contrer un système arrêtez de consommer, natel, abonnements, TV, cigarettes, alcool, viande, etc, et vous verrez comment nos autorités commenceront à nous cocoler! je le fais moi, mais il faut foncer à plusieurs pour que tout change!

  3. Posté par Aude le

    P.S. “Ceux qui lisent”…certainement pas les lecteurs coutumiers…mais les médias…bien-pensants.

  4. Posté par Aude le

    Constatation amère….Pendant que ces hordes migrants sont entourés…cocolés…mais toujours agressifs et exigeants…d’autres êtres en Europe ont faim…Des personnes âgées des enfants..des familles…
    Il y a une histoire semblable (entre autres) en Italie…..Parue dans “Medias-Press-Info”.
    TARANTO en Italie – DON CAMILLO ET PEPPONE sont de retour : LE CURE VOIT ROUGE CONTRE LE MAIRE COMMUNISTE AU SUJET DES IMMIGRES..
    Les habitants de la ville de Taranto, en Italie ont eu droit à une scène vivante d’une dispute animée entre Don Camillo et Peppone!
    Le curé de la paroisse de l’église du Sacré-Coeur de Taranto, en Italie(du sud) Don Luigi Lazizza, n’a pas hésité, avec une verve satirique digne du célèbre curé joué par Fernandel, à disputer publiquement le maire communiste de la ville, Ippazio Stéfano, au sujet de l’accueil attentionné qu’il réserve aux migrants, allant jusqu’à leur apporter des petits gâteaux chauds dans le centre mis à disposition par la mairie, alors qu’il a totalement ignoré les sinistrés d’un immeuble de sa commune qui ont perdu leur habitation suite à l’effondrement d’un toit et qui vivent depuis plus de deux semaines dans le hall de l’immeuble.
    Lors d’une rencontre à l’Hôtel de Ville, Don Luigi (le curé) a dit son fait au premier magistrat de la ville qui est soutenu par les gauches diverses et variées dont les Verts, tous les uns et les autres fort sensibles au sort des immigrés clandestins et fort étrangers aux misères de leurs concitoyens! Le curé a, ni plus ni moins, clamé son indignation au maire qui, avec son comportement, est en train de faire des “discriminations raciales au préjudice des citadins italiens”. Le maire (Peppone) qui n’a pas peut-être pas l’habitude qu’on lui parle du racisme anti-blanc, s’est montré outré par les propos de ce nouveau Don Camillo :
    “Vous parlez un langage qui vraiment me bouleverse par rapport à votre mission”.
    Ne se laissant pas intimider pour un sou, Don Luigi (le curé) lui rétorque : “Moi, je dis la vérité.” Scandalisé, le Peppone de service, en moins drôle, lui intime “d’enlever le col romain que vous portez” Réponse du tac au tac du curé: “Et vous démissionnez de votre charge de maire”.
    Cette dispute, digne des dialogues au vitriol de Guareschi, a continué ainsi pour une bonne minute. “Vous êtes un vote, et certainement je n’ai pas été élu avec le vôtre” ajoute le maire qui aurait mieux fait de se taire. Réponse cinglante du prêtre: “Moi, je n’ai jamais voté pour vous. Je vote pour les personnes comme il faut”
    Proche de ses ouailles, Don Luigi venait de passer la nuit sur le perron de son église avec ses paroissiens et certains des sinistrés afin d’attirer l’attention des institutions et du Maire sur le problème des sans-logis obligés de dormir dans le hall de l’immeuble sinistré. La municipalité de gauche, engeance qui a toujours pourtant le mot solidarité à la bouche, a, sans honte aucune, rétorqué que les sinistrés abusent car ils n’ont pas de contrat de location pour le hall!
    Parce que les immigrés clandestins qui arrivent en Italie ont, eux, ce permis peut-être!!!
    Et…comme dans les films…c’est toujours Don Camillo qui gagne, le curé a prévenu que la mobilisation continuera jusqu’à ce que les habitants de la ville restés sans toit trouvent une accomodation plus digne. Voilà un curé comme il y en a de moins en moins, conscient que la charité bien ordonnée commence par soi-même et ses proches.
    Si la scène à la Don Camillo et Peppone vécue à l’Hôtel de Ville de Taranto a un côté comique aux premiers abords, dans le fond, elle inspire un sentiment de tristesse. On voit là jusqu’à quel point ces esprits caviardés, imbus de leur idéologie du “Vivre ensemble”, de la société multiculturelle et multi-ethnique, bercés dans ce relativisme moral qui désagrège nos sociétés occidentales, animés par ce sentimentalisme humanitaire qui corrompt nos mentalités chrétiennes, ont perdu tout sens du bien commun de leur prochain le plus proche, au point de préférer, par une fausse charité, l’étranger au familier.
    Mais…..le Pape François….ne donne t-il pas le ton??????
    Article écrit par Francesca de Villasmundo.
    P.S. J’ai retransmis ce message afin que ceux qui lisent “Les Observateurs” comprennent…vraiment ce que nous pensons….
    Quant à Taranto….Peut-on dorénavant appeler cette triste manière de faire, répandue en Europe:LE SYMDROME DE TARANTO…
    Cette histoire illustre parfaitement ce non-sens….

  5. Posté par Pehem Veyh le

    La compassion socialiste: laisser tomber ces braves gens ayant vraiment besoin d’aide, pour entretenir une armée de merdeux, grossiers, sauvages et, comme l’a bien dit Bussy, violeurs et voleurs. Les faire venir tient de la psychiatrie et du “qui se ressemble s’assemble !”.

  6. Posté par Bussy le

    C’est ce petit garçon qu’il faudrait aider, pas ces cohortes de sauvages violeurs et voleurs !

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