Les langues se délient en Allemagne sur la réalité migratoire. Un grand quotidien allemand, Die Welt, a donné le 17 janvier la parole à l'employée d'un centre de primo accueil d'immigrés à Hambourg. Le bulletin de réinformation vous en fait en exclusivité un compte rendu détaillé.
Cette jeune femme s'est faite embaucher par idéalisme...
Cédant à la propagande immigrationniste, elle entendait « aider les migrants ». Elle a rapidement déchanté. 90 % des étrangers qu'elle a accueillis au centre étaient « plutôt désagréables » et extrêmement exigeants. A peine arrivés, ils réclamaient un appartement, une belle voiture voire un boulot bien payé !
Ils demandent aussi des rendez vous médicaux...
Notamment chez le dentiste et chez l'orthopédiste, explique notre témoin au journal. Elle précise cependant que les médecins s'en plaignent, car il est fréquent qu'ils n'honorent pas leur rendez vous ! De manière générale, elle reproche aux ci devant réfugiés de ne pas être fiables et d'inventer des histoires.
A croire que le mensonge serait une seconde nature
Elle nous apprend d'ailleurs que certains immigrés mentent sur leur identité : lorsque leur demande d'asile est rejetée, ils reviennent en déposer une autre avec un autre vrai faux passeport syrien !
Ce qui est le plus insupportable à la jeune employée est que les envahisseurs se montrent agressifs
Surtout envers les femmes. L'interviewée estime que près de 70 % des migrants sont de jeunes hommes célibataires. Ils ont en général entre 20 et 25 ans. Or une bonne partie d'entre eux refuse aux femmes toute autorité. Pire, ils se montrent pressants, allant jusqu'à poursuivre les employés féminins dans les transports en commun.
La jeune Allemande a dû adapter son comportement
Comme dans une banlieue française : mettre des vêtements informes, ignorer les réflexions, ne plus prendre les transports publics... Elle songe désormais à la démission... mais même en changeant d'emploi, elle risque de retrouver ces pseudo réfugiés sur son chemin.
Les jeunes femmes qui aident quotidiennement les “réfugiés”, c’est bien ou on dira que c’est une expérience de vie. Cependant elles doivent comprendre que quand elles témoignent de leurs difficultés “relationnelles” dans le travail avec ces personnes; et bien il faut qu’elles se le tiennent pour dit : leur souffrance, constatation et plaintes sont racistes. C’est malheureux, mais c’est le jugement de notre société de bisounours.
C’est un avant-goût de ce que nous allons vivre en Suisse. J’espère que notre pianiste du service comprend assez de français et va lire ce récit.
Ce ne sont que des affabulations ….. Selon les voix gouvernementales et les Médias formatés. Et cela continue. Vive les envahisseurs, bâillon aux peuples européens.