Quand l’Allemagne, au premier jour de l’an, s’est réveillée blessée, la Suisse a craint la contagion. Qu’en est-il des Maghrébins en situation irrégulière, à quelques jours du vote sur l’initiative UDC?
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Quand l’Allemagne, au premier jour de l’an, s’est réveillée blessée, la Suisse a craint la contagion. Qu’en est-il des Maghrébins en situation irrégulière, à quelques jours du vote sur l’initiative UDC?
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Relisez l’initiative UDC: il n’est nullement question de les expulser dans leur pays d’origine, mais simplement de leur interdire la Suisse. Ils peuvent aller où ils veulent, dans 240 pays, mais plus en Suisse…
C’est les juristes qui ne savent pas lire un texte pourtant simple!
POURQUOI le gouvernement avec ses partenaires EUROPEENS, entre autre Angelina Merguez au lieu de dépenser des millions d euros, ne mettent t ils pas en place en SYRIE, dans les zones libres, des camps protégés .A la place d acheter des mobiles homes et la suite .Plus de problèmes de religion plus d agressivité plus de bordel, la vie comme avant quoi. FAIRE PASSER L INFO
La pollution est déja bien aggravée, la France est cuite de ce coté là , on y voit bien le mode de vie des “sans dents”au plus bas l’UE par la voix du ministre allemand , c’est pas assez pour les migrants , une taxe de “benzomigrant”prélévée sur les carburants dans toute l’Europe, et c’est pas fini, je ne veux pas et ne voulais pas de cette europe de paperassiers, des incapables
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Solution de simplicité: on ne les laisse pas rentrer sans visas, pour ceux sans visas on les bloque aux frontières et on ne les laisse pas sortir des avions !!!!!! 😉
Bref! Le message reste le même: quoi que l’on vote on ne peut plus rien faire contre cette migration de voyous arabo musulmans, puisque nous sommes seuls à respecter les accords passés avec ces pays, les conventions signées, les droits de l’homme, Schengen et tout le tralala.
Puisque pour Mme Amarelle, plus rien ne sert à rien, nous voterons donc “oui” en février prochain et nous apprendrons, parallèlement, à nous défendre avec des “bâtons” si nécessaire.
Boycottons économiquement les pays qui refusent de reprendre leur marchandise
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