Un commentaire

  1. Posté par Myrisa Jones le

    Les larbins suisses attendront… Car en réalité, c’est bien ce que nous sommes devenus face à Bruxelles.

    Quand le peuple suisse sera-t-il informé de la mutation de son pays ?
    Par Liliane Held-Khawam, le 21 janvier 2016

    “Les braves citoyens suisses sont malheureusement gouvernés par des apprentis sorciers qui se couchent devant Bruxelles et qui cherchent à échapper aux décisions populaires prises par la voix de la démocratie directe.” Silvia Cattori

    Pourquoi n’informe-t-on pas le peuple suisse de l’impuissance de son gouvernement?
    Des arriérés correspondant à des prestations versées à des ressortissants français tombés à l’assistance publique genevoise. Genève a payé et attend que la France rembourse. Il se réfère pour cela à une convention signée en 1931….
    Or, la Suisse a signé un paquet de contrats bilatéraux dans le cadre de ce que l’on doit appeler une intégration de facto à l’UE. Dans ce cadre, la libre-circulation des personnes est garantie et s’adapte merveilleusement bien aux personnes qui n’ont pas d’impôts à déclarer.
    La question dans ce dossier est de savoir ce qui prime entre le droit cantonal/suisse d’une part et les accords bilatéraux.
    Osons dire que Berne, adepte du mondialisme de la finance internationale a signé tellement de contrats avec des reprises du concept des « acquis communautaires » qu’elle n’a plus trop de levier pour faire appliquer ces conventions du passé.
    Berne n’a tout simplement plus les moyens de défendre une quelconque souveraineté de sa législation… Elle s’est auto-sabotée….
    Si vous aviez un doute, voici un autre exemple de mise devant le fait accompli: il existe en Suisse romande une « Conférence des Gouvernements de Suisse occidentale (CGSO) ». Suisse occidentale est le nom de la région imposée par Bruxelles aux cantons romands. On peut supposer que les résidents romands sont intéressés de savoir que leurs cantons ont muté dans une région qui a un gouvernement.
    On pourrait être intéressé de savoir qui a voté pour ça ou qui a été consulté à cette occasion.
    Il est grand temps que Berne dise la vérité au peuple suisse sur ce qu’il lui reste -ou pas- d’indépendance.
    On devrait même se demander si la Suisse existe encore en tant qu’Etat. N’y a-t-il pas deux structures qui se superposent:
    Celle du passé qui a pour but de maintenir une illusion de démocratie participative avec une confédération et des cantons
    Celle bien réelle de Bruxelles avec une mutation en profondeur qui notamment enterre les cantons pour les 7 régions et autant de gouvernements….
    Bruxelles a depuis longtemps dépassé tout intérêt pour la chose démocratique.
    Pourquoi dans ce contexte ne pas dire la vérité aux gens qui vous font confiance, qui vous élisent et qui paient vos salaires?
    Pour nous ici sur ce blog, la Suisse au sens où le peuple la comprend encore de nos jours n’existe plus. Un exemple simple est qu’aucune votation ne pourrait vraisemblablement plus être appliquée si elle n’est pas en conformité avec ce que Bruxelles et ses armées de lobbyistes ont décidé… Une évidence…

    http://arretsurinfo.ch/quand-le-peuple-suisse-sera-t-il-informe-de-la-mutation-de-son-pays/

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.