Elle nous manquait.
Après sa fameuse sortie sur la personne en danger de mort dans son pays que nous n'avons pas le droit de renvoyer même si c'est un terroriste, Cesla Amarelle avait hélas fait preuve d'une certaine retenue.
Le 11 novembre 2015, elle nous avait tout-de-même proposé son appréciation sur la situation en matière d'asile s'agissant d'un éventuel déclenchement du plan d'urgence prévu par le Conseil fédéral.
Dans sa grande sagesse, l'intéressée nous recommandait de regarder la situation de manière très objective et de voir à quel moment il y aurait lieu de mettre en place des situations d'urgence. Elle ajoutait que pour l'instant on ne savait pas si ces mouvements qui arrivaient de manière importante sur la Suisse orientale allaient se pérenniser. D'une manière générale, rien ne semble indiquer que le flux est sur le point de se tarir et on se réjouit d'entendre cette professeure de droit nous livrer ses prochaines réflexions sur la question.
L'asile la tarabuste pourtant grandement, elle et ses consœurs des Femmes socialistes suisses. Ces dames font savoir dans un communiqué du jour que "L'Europe ne s'est pas réveillée le 1er janvier avec un nouveau problème : le sexisme et la violence sexuelle dans les espaces publics sont malheureusement eux aussi ancrés depuis longtemps dans nos mœurs" et déplorent donc la récupération raciste des agressions survenues à Cologne et d'autres villes européennes. Elles s'appuient pour leur démonstration sur une étude menée au niveau européen montrant que 33% des femmes de plus de 15 ans ont été victimes de violence physique ou sexuelle au moins une fois dans leur vie. Les intéressées n'en restent pas là, accusant les autorités de ne pas prêter toujours une attention suffisante à la sécurité des femmes. Ces dames un peu sur les nerfs évoquent ces viols, ces brimades et ces violences de rue en tous genres commis dans l'espace urbain, en plein jour et à des heures d'affluence. Diantre !
Complètement hors sujet comme d'habitude, ce texte mérite tout de même une lecture attentive. On relève donc que viols, brimades et violences sont régulièrement commis dans l'espace urbain sans la moindre réaction du public. Au vu de cette situation, on peut se demander ce qui peut bien provoquer une telle inaction de la part de notre Ministre de la Justice Simonettta Sommaruga, femme socialiste s'il en est. On s'étonne pareillement que le résultat de cette étude menée en 2014 ne suscite des cris d'orfraies qu'aujourd'hui seulement. N'aurait-il pas été bon de s'indigner immédiatement ou cette étude n'a-t-elle été rendue publique qu'aujourd'hui ?
Les femmes socialistes avouent qu'il n'a pas fallu attendre le 1er janvier pour connaître pareil phénomène. Y aurait-il donc un lien entre le 1er janvier et les faits évoqués ? Pourquoi déplorent-elles une récupération raciste si les auteurs ne sont pas dans leur immense majorité venus d'ailleurs ?
En fait, la réalité est nettement plus simple. Comme le disait un de leurs devanciers, les faits sont têtus et les Femmes socialistes sont bien contraintes de constater que pour l'essentiel, les auteurs nous viennent de pays arabes où la triste coutume du "taharrush gamea" a cour. A ce sujet, la police allemande, aux premières loges, reconnait que ce phénomène d’agressions sexuelles collectives lors de grands rassemblements est tellement répandu dans le monde arabe qu’il existe un terme spécifique pour le désigner.
Confrontées à la vague sans précédent, ces dames inversent comme à leur habitude le rapport auteurs-victimes et font savoir que la chose est déjà bien connue chez nous. On s'étonne qu'une pratique aussi habituelle n'ait de nom qu'en arabe et non en français. Si d'aventure ce que les femmes socialistes dénoncent était aussi fréquent qu'elles le prétendent, nous aurions nous aussi trouvé un vocable pour désigner la chose.
On s'étonne aussi d'apprendre que ces égéries autoproclamées de la condition féminine soutiennent l'idée de donner des cours aux migrants afin de les informer qu'ici, il est d'usage de solliciter l'accord de la personne désirée avant de passer à l'acte. Pourquoi réserver ces cours de respect élémentaire aux seuls migrants si la population autochtone était aussi vile que ces dames le disent ? Il faudrait au contraire astreindre toute la population masculine du pays à ce genre d'initiation.
Pour le reste, on se souvient que les plus violents adversaires de l'initiative pour l'internement des criminels dangereux et non-amendables étaient précisément à chercher dans les rangs du parti socialiste alors que la clientèle visée était constituée pour l'essentiel de délinquants sexuels. Parler de protection des femmes après avoir défendu leurs agresseurs est pour le moins audacieux.
On se rappelle également que lors du dépôt de la motion 09.4017 le 25 novembre 2009 visant à améliorer la protection des femmes battues par le biais du bracelet électronique, on ne trouvait qu'une seule femme socialiste parmi les 65 cosignataires. Etonnant de la part de ces dames que la question préoccupe ces temps-ci. La provenance peut-être ?
Pour Fadela et ses collabos il faut tenir pour vérité intangible:
un violeur clandestin est un clandestin, un violeur de souche est un violeur..
Voilà l’alpha et l’oméga de leur sourate descendue de ce fameux paradis des 70 vierges promises à tout croyant : aux femmes on n’a rien promis; et donc pour Fadela. et ses collabos, ce sera nitchevo, nada…
Personnellement je pense qu’on se fiche de nous et de tous ceux qui attendent une aide de la part d’ONG ou politiciens qui avaient promis quelque aide financière aux enfants encore vivants ayant subi la maltraitance alors que des enfants refugiés eux étaient traités en êtres humains. Ce qui était normal ,ce n’est pas là que le bat blesse !
En fait chaque fois qu’on parle de cette aide financière accordée lors du vivant des victimes on est certain de voir paraitre nombre d’actus sur les migrants comme si quelqu’un ou parti voulait noyer le poisson!
Un adage célèbre le dit aussi, qui veut bien nettoyer doit commencer par chez soi!
L’égérie socialiste qui part draguer ne crie au viol que lorsque le mec qui la veut courtiser de trop près n’est pas de son goût… car je n’ai pas connaissance qu’elles soient des grenouilles de bénitier question bagatelles…
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C est bien cela le probleme, les enfants de nos elites ne vont pas feter nouvel an sur une place publique, ils sont nantis et organisent des fetes privées, ils sont donc a l abri de quelconque violence. Je ne sais meme pas comment on ose se dire socialiste dans ces conditions, pas etonnant que les socialistes ne protegent plus le peuple qui souffre de plus en plus financierement. C est ce peuple qui devrait réellement parler et, pas seulement dans les votations au vu du taux d abstentions, ce qui exprime la deprime des gens ds le besoin.
je suis consternée par ces dames socialistes et par ce partis qui oublie ses origines et oublie de défendre les ouvriers Je ne voterai plus socialiste tellement ils m’ont déçue !
http://philippeboehler.over-blog.com/2016/01/les-femmes-socialistes-de-suisse-elles-sont-en-danger-augmenter-encore-la-dose-de-padamalgame-une-urgence-absolue.html
Tout d’abord, l’enfilade de perles non seulement masochiste mais accusatrice envers la Suisse et ses habitants doit être stoppée : La Suisse est très généreuse, ouverte, conciliatrice envers le Malheureux, l’Opprimé. La Suisse mérite d’abord des honneurs pour ce qu’elle fait concrètement. Moi-même, je me sens insulté par ces accusations socialistes et faussement tiers-mondistes, alors que je compatis et aide régulièrement les oeuvres. J’ai une grande expérience en matière de solidarité silencieuse effective, il y a bientôt 40 ans envers l’oppression socialo-communiste des pays de l’Est, constamment envers celles et ceux qui sont les oublié(e)s de la prospérité.
L’acte d’accusation des milieux politiques socialistes essentiellement, lesquels n’ont pour préoccupation que leur ego, l’accusation permanente de racisme déclenchée par un mot, par une opinion, doit cesser. Les associations socialo-vendues à la trahison de notre nation me hérissent. Une écrasante majorité de Suissesses et Suisses sont traînées dans la boue, salies, fustigées à tort. LA PRESSE OFFICIELLE, LES MEDIAS aux ordres sont les vecteurs polluants, infects de cette calomnie persistante.
Le migrant viole et c’est le Suisse qui est mis en cause. Stop à cette mascarade. Il devient urgent de virer du Parlement cette clique bo-bo qui, sur d’autres domaines, mène la Suisse à sa dégradation morale. Il ne s’agit pas d’un nationalisme exacerbé, mais bel et bien d’une restauration de notre honnêteté, de notre intégrité de peuple souverain, généreux séculairement. Ce socialisme pourri idéologiquement doit disparaître de notre horizon. Celsa Amarelle, vous appartenez à l’indignité nationale, vous m’accusez, me salissez. Quel est votre bagage, votre légitimité à lancer des ukases de bonne conduite, de morale ?
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Bravo, bien analysé. Ces femmes socialistes ont toutes le même style, on arrive à les reconnaître de loin et là, je ne fais pas de stigmatisation…c’est juste la réalité. Leurs discours font froid dans le dos. Mais, à force de ne pas vouloir “voir”, les choses s’aggravent…et, cerise sur le gâteau, ces socialistes finissent par mettre la faute sur les partis protecteurs…c’est juste insupportable. Quand on entend Cazeneuve dire qu’il faut arrêter avec cette histoire, que nous n’y étions pas pour voir ce qu’il s’est passé….il pense la même chose pour le Bataclan? Le jour où sa fille se fera violer par une horde sauvage, il changera son fusil d’épaule…
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pour le futur et la “durée” non-connue à ce jour du temps des migrations, elle peut appeler Mr Shuterland afin de tenter de savoir quand la COLONISATION sera achevée, ne parlons pas de migrations ici svp.
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Toujours un vrais plaisir de lire Mme Amaudruz . Si je n’étais pas déjà UDC j’irai immédiatement chercher ma carte du parti!
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voilà une bonne analyse sans les inutiles invectives. merci.
On peut ajouter le combat farouche des socialistes, femmes comprises, pour lutter efficacement contre les criminels pédophiles. Béates devant une de leur égérie, le pédophile Con-Bandit.
L’analyse de Céline Amaudruz est pleine de bon sens. Cette volonté désormais patente de minimiser ou de cacher des phénomènes graves est à la fois un déni de réalité, une injure aux victimes et une forme de collaboration avec les coupables. Il ne faut pas s’étonner après cela que l’UDC gagne du terrain.
Même Cesla Amarelle viendra à plus de lucidité. Tout dépend du nombre d’agressions sexuelles et de viols en Europe tolérables pour elle.
“… on peut se demander ce qui peut bien provoquer une telle inaction de la part de notre Ministre de la Justice Simonettta Sommaruga, femme socialiste s’il en est”.
La réponse est dans la question.