"Nous avons de plus en plus une grande proportion de réfugiés qui viennent à nous avec des problèmes spécifiques», explique Roland Vauth, médecin en chef pour la psychiatrie transculturelle à l'Hôpital universitaire de Bâle. Ces derniers mois, ils ont pris en charge les personnes provenant le plus souvent de la Syrie et de l'Érythrée.
Certaines cliniques ont atteint leurs limites de capacité.
Traitement coûteux
Les patients auraient jusqu'à huit semaines d'attente pour un rendez-vous. Le problème est, selon le médecin-chef, que les soins des réfugiés sont extrêmement exigeant en main-d'œuvre. En plus des médecins ils nécessitent dans de nombreux cas un interprète pour le traitement.
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Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch
J’en ai marre de payer pour les autres (retraités, requérants, cas sociaux,…). Nous sommes dans une société où il y a plus de cigales que de fourmis! Pas besoin d’être expert-comptable pour calculer que financièrement cela ne pas le faire! En plus, maintenant qu’on ne peut plus pratiquer le secret bancaire avec les grosses fortunes étrangères, qui donc se verra augmenter ses impôts?
Imaginez bien que ce n’est que le premier processus d’aide. Après survient l’aide scolaire, la violence qu’ils apporteront, le travail supplémentaire qui sera à la charge du professeur, ce dernier délaissant ainsi le Suisse “favorisé”.
Oui la discrimination positive sera partout. Surtout en sachant que dans les administrations des cantons de gauche, ces dernières auront à coeur d’embaucher des étrangers “qui sont défavorisés vis-à-vis des Suisses”.
Dois-je rappeler que Lausanne avait milité afin d’engager les enfants des clandestins, option que le CF a validée partout dans le pays par la suite?
C’est depuis longtemps déjà que cela profite aux acteurs de la santé. Ils sont assurés d’être payé par les services sociaux. L’explosion des coûts de la santé peut donc continuer sans soucis, il en est qui réussissent bien à l’entretenir !
Les envahisseurs auront la priorité partout: abris PC, traitement médical, aide sociale. Le seul droit qui nous reste c’est de payer pour les autres.
Sans compter le nombre énorme que nous constatons d’enfants avec de graves problèmes médicaux et retards mentaux importants dus à la consanguinité avec des mariages entre cousins germains en raison de leur mentalité de se marier entre ethnies bien distinctes et nous facturons tout cela à l’AI. A chaque fois nous les envoyons au CHUV pour poser un diagnostic et à chaque fois le même nous revient : importante consanguinité. Vraiment une grande chance cette immigration….
Quand les coûts réels, médicaux et sociaux, seront révélés publiquement, sans manipulation et sans tabou, cela risque de faire mal.
Car de plus en plus de travailleurs en Suisse ont de la peine à boucler les fins de mois, à payer l’assurance maladie obligatoire, ne peuvent pas se payer le dentiste ou juste pour se faire arracher les dents, etc.
Cela veut donc dire que des Suisses qui veulent se faire soigner passent après des étrangers qui ne travaillent pas et n’ont rien à voir avec notre pays.
Merci Sommaruga!