Trois Français sur quatre (74%) ne souhaitent ni la candidature de François Hollande ni celle de Nicolas Sarkozy à la présidentielle de 2017, selon un sondage Odoxa pour Le Parisien publié samedi qui traduit un fort besoin de renouvellement dans la classe politique.
Quatre-vingt huit pour cent des personnes interrogées estiment qu'il n'y a pas assez de renouveau chez les responsables politiques, une opinion autant partagée par les sympathisants de gauche (85%) que de droite (91%).
Pour y remédier, elles sont 86% à se déclarer en faveur du non cumul des mandats, 81% pour empêcher les responsables politiques d'exercer un mandat électif plus de 10-15 ans, 73% pour obliger les partis à proposer sur leurs listes un minimum de salariés du secteur privé ou encore 70% favorables à un âge limite pour se présenter à une élection.
La défiance des Français n'épargne aucun des ténors actuels de la politique française à l'exception notable d'Alain Juppé, qu'une majorité de 52% souhaite voir se présenter en 2017, contre 42% hostiles à cette éventualité.
Gaël Sliman, président d'Odoxa, souligne que l'ancien Premier ministre de Jacques Chirac a connu une longue période d'absence depuis ses dernières responsabilités ministérielles "et ne peut donc être jugé comptable par les Français du bilan très négatif qu'ils tirent des derniers présidents."
Dans la génération montante, c'est le ministre de l'Economie Emmanuel Macron qui incarne le mieux le renouvellement en politique pour 55% des Français devant la députée FN Marion Maréchal-Le Pen (43%) et l'ancien ministre LR Bruno Le Maire (36%).
Le sondage a été réalisé auprès d'un échantillon représentatif de 1.042 personnes interrogées par internet les 23 et 24 décembre.
Bilderberg et l’Union européenne ont déjà choisi : Juppé (une girouette à la Chirac) comme président et Macron (l’homme de chez Rotschild) comme premier ministre. Ils sont du même parti, l’Herpès. Le regretté Emmanuel Ratier l’avait déjà prédit. Les merdias sont en train de faire le travail qu’on leur a demandé et les premiers résultats sont là. Pour une fois, on se prend à espérer que les excités Sarközy et Valls se mettront en travers de la route des deux favoris de la caste mondialiste. Ou que la France sera sauvée par une nouvelle Jeanne d’Arc.
Juppé était ministre sous Mitterrand déjà. Et il était favorable à Maastricht.
Curieux sondage. Un de plus. Mensonger, parce que bricolé, comme tous les autres. C’est sûr, la caste a compris que les deux compères, Lou Ravi et Lapin-Tambour, sont complètement démonétisés. Mais il lui faut bien sauver sa peau : donc on va pousser en avant une vieille brêle. Que Juppé Abd-El-Islami soit un repris de justice (il a échappé à une condamnation pour prise illégale d’intérêts, mais s’est fait coincer pour emplois fictifs : 18 mois avec sursis, dix ans d’inéligibilité) n’a pas d’importance dans une république bananière comme est devenue la France. S’il peut sauver la caste, c’est le principal.
On pousse aussi le Macron. Énergumène très dangereux, faisant partie de la “French connection” du Bilderberg, il est un des agents noyauteurs placés par les monopoles de Wall-Street auprès de la “gouvernance”. N’est-il pas étrange que malgré ses prises de position qui lui ont valu plusieurs fois des rappels à l’ordre de la part de Valls, il soit toujours au gouvernement ?
Soyons attentifs aux heurts et malheurs de cette année 2016 : nous allons voir qui, finalement, la caste choisira pour perpétuer son pouvoir, en parfait déni de démocratie.