Mohamed Rehman était un habitué des réseaux sociaux sous le pseudonyme “poseur de bombe silencieux” (#silentbomber). Il a même demandé l’avis d’autres internautes pour savoir s’il valait mieux attaquer le métro ou un centre commercial de Londres.
“Il représente un type très inquiétant de terroriste dans ce pays, estime l’avocat Jo Sidhu, expert en la matière. D’un côté, il y a les groupes, les cellules d’individus qui conspirent, souvent avec des connections internationales telles qu’al-Qaïda ou Daech. De l’autre, on voit se développer les loups solitaires tels que M. Rehman qui a appris seul, et qui de sa propre volonté, sans être connecté à quiconque, a décidé qu’il avait une mission djihadiste à accomplir.”
Mohamed Rehman et sa femme, Sana Ahmed Khan, interpellés en mai dernier, voulaient agir dix ans jour pour jour après les attentats de Londres qui avaient fait 25 morts en juillet 2005. Lors d’une perquisition, la police a trouvé dans leur appartement plus de dix kilos d’un produit chimique hautement explosif.
Reconnus coupables hier, ils ne connaîtront leur sentence que plus tard, comme le veut la justice britannique.
Voilà ce qu’il advient quand on a sur son territoire des pseudos réfugiés qui ne foutent rien et qui s’empiffrent d’aides sociales et de subventions. Ils n’ont rien d’autre à faire, alors ils s’occupent selon leur niveau d’intelligence !
C’est la “free enterprise” appliquée au jihadisme!