Migrants ou obligation de faire des enfants ?
Introduction
Comme chacun le sait sûrement, la Suisse a une démographie vieillissante : c’est-à-dire qu'il y a pas assez de naissances pour que la population se régénère de manière autonome (+ de décès et – de naissances). Pour résoudre ce problème couteux (assurance maladie, AVS…etc.), le gouvernement a décidé, sans demander l'avis au peuple, d'ouvrir les frontières pour accueillir la jeunesse européenne. Or, actuellement cela ne fonctionne plus car nos chers voisins connaissent le même problème. Pour pallier cette nouvelle complication, nos élites ont donc décidé, à nouveau de leur propre chef, d'aller chercher plus loin cette jeunesse devenue si rare (Continent Africain et Moyen-Orient). En réalité, ils ne vont pas la chercher puisqu'ils font tout pour l'inciter à venir d'elle-même (crise migratoire).
Cela engendre des problèmes d'intégration que nous ne connaissions pas avec nos voisins européens car ces derniers ont reçu la même éducation judéo-chrétienne et partagent les mêmes valeurs. Ce qui facilite leur intégration dans la société et dans le monde du travail. Quant à "nos nouveaux sauveurs", ceux-ci n'ont pas reçu une éducation identique (pas d'égalité entre l'homme et la femme, aucune ou peu de connaissances scolaires,…etc.). Et même si certains d'entre eux ont reçu une formation professionnelle, elle ne doit sûrement pas être reconnue équivalente à la nôtre. Tout cela engendrera des nouveaux chômeurs, personnes au social ou délinquants que la population active devra financer et subir. Cette fausse solution a aujourd'hui atteint ces limites, il est grand temps de régler ce problème avec les moyens du bord.
Une meilleure solution
On entend souvent nos féministes parler d'égalité (même de nos jours) alors que les femmes ont la main mise sur notre société et en tire plus d'avantages (âge de l'AVS à 64 ans au lieu de 65 pour les hommes, pas d'obligation de faire l'armée, garde des enfants plus facilement acquises en cas de divorce…etc.).
Etant donné que les hommes qui ne désirent pas faire l'armée doivent s'acquitter d'une taxe étatique, les femmes qui pourraient faire des enfants mais qui ne le veulent pas devraient aussi s'acquitter d'une telle taxe. Les opposants diront qu'avoir un enfant est une liberté gratuite, alors pourquoi n'est-ce pas aussi une liberté gratuite de ne pas vouloir faire l'armée ? Ils diront aussi que faire l'armée dure 4 ou 10 mois alors qu'éduquer un enfant jusqu'à ce qu'il puisse vivre de manière automne prend des années. Certes mais les conséquences à long terme pour notre société sont nettement plus dommageables qu'une personne qui ne désire pas s'engager sous le drapeau. Ils diront également que cela ne serait pas juste pour les femmes qui pourraient procréer mais qui n'ont pas trouvé l'âme sœur. Comme chacun le sait, dans l'art de la séduction humaine, les femmes ont toujours plus de choix de partenaires que les hommes. Alors celles-ci n'auraient qu'à diminuer leurs critères de sélection si elles ne veulent pas passer un jour à la caisse.
Dans le détail, une femme qui ne fait pas au minimum 2 enfants avant la ménopause (le vrai nombre serait à définir par les démographes), devraient payer une taxe annuelle depuis l'âge de 35 ans jusqu'à ce que sa ménopause soit diagnostiquée. Aucune taxe ne pourrait être demandée avant 35 ans, pour qu'elles puissent avoir le temps de terminer leur formation et de trouver un emploi. Egalement aucune taxe ne serait demandée pour celles qui ne peuvent malheureusement pas donner la vie, pour des raisons médicales (ou si leurs époux seraient infertiles par exemple). Quant à celles qui auraient leur progéniture entre 35 et leurs ménopauses, elles se verraient remboursée la taxe préalablement perçue (entièrement ou partiellement selon le quota fixé par les démographes). Cette taxe de refus de procréer devrait avoir le même coût que la taxe de refus de servir. Pour les hommes, elle est facturée de 20 à 30 ans. Les femmes paieraient donc un peu moins par année mais de 35 à environ 50 ans.
En résumé pour sauver sa survie, notre Etat doit promouvoir par tous les moyens la famille. La taxe est une partie de la solution mais il y aurait sûrement d'autres moyens plus positifs pour arriver à cet objectif (par exemple des aides financières,…etc.).
Auteur : V.D. futur papa désireux d’avoir au moins deux enfants
Madame Anne Lauwaert a tout résumé..
cet article m’a fait penser à la même erreur commise par certains dans le “milieu”, qui je ne sais pour quelle raison, aiment décharger toute la culpabilité sur les femmes, en gros, les femmes sont devenues bien trop “libres”, quand vous dites que les femmes ont “la main-mise sur la société”, je ne peux qu’en rire jaune…par qui le monde est-il géré dans presque tous les pays? des femmes?? c’est une plaisanterie? vous vous plaignez des gardes d’enfants trop octroyées aux femmes, mais statistiquement, qui quittent souvent le foyer? allons, allons..soyons sérieux, ce n’est pas un problème ni masculin, ni féminin
Ensuite, lorsque vous parlez du service militaire, pardonnez-moi, mais, il me semble (malgré que je ne vis pas en Suisse) qu’il y a eu un référendum là dessus il y a qq années non? J’ai un vague souvenir d’avoir entendu Freysinger s’exprimer sur le sujet, disant que c’est normal que les gens veulent garder le service militaire, parce que les hommes aiment le faire!??..?? ou ai-je mal entendu?
Mon conjoint et moi, hésitons énormément à faire un enfant, nous faisons donc partie de ces gens qui vous désolent certainement (ne vous inquiétez pas, le sentiment est partagé), mais, même si l’envie forte et naturelle est en nous, lui, comme moi, avons la peur au ventre, car nous pensons à l’avenir de cet enfant, …peut-être n’êtes vous pas encore assez “atteint” en Suisse, en tout cas, je peux vous dire qu’en Belgique, comme en France et ailleurs, c’est une horreur, et il devient de + en + difficile d’échapper au mal rampant…nous avions décidé de migrer de la ville vers la campagne, pensant fuir tout cela, et bien non, la densité de population si forte ici, fait que les maisons poussent comme des champignons, et devinez qui se pointe?…(oui, parce que sinon, les communes reçoivent des amendes si elles n’acceptent pas la “diversité”)
Pensez-vous sincèrement, qu’il faut encore augmenter la densité de population?? moi, j’aime le fait que les européens ne se reproduisent pas comme des lapins, contrairement à d’autres, le problème, est qu’on fait venir les lapins du monde entier..
Mon ventre se tort de douleur et de peur quand j’imagine l’avenir de cet éventuel enfant.. d’ailleurs, ces derniers temps, j’éprouve la même sensation lorsque je croise d’autres enfants ..
Et vous, ce que vous proposez, c’est une nouvelle taxe (comme si on en manquait!) pour les femmes qui n’auraient pas d’enfant?? honte à celles qui seraient stériles bouhhhh!! honte à celles qui seraient célibataires (peut-être proposerez vous le viol obligatoire pour palier à ce problème????), celles qui seraient malades, celles qui auraient des maris qui ne veulent pas d’enfant….
franchement…je ne pensais pas un jour lire ce genre de chose ici!
Voilà un sacré plaisantin, (un abonné du Courrier gaucho anciennement catho et squatté définitivement ?) qui recrache la propagande officielle après s’y être baigné durant des années d’intoxication. Les banques, les assurances et l’Etat avec la complicité des politiques pillent les économies liées aux fonds financiers présumés couvrir le vieillissement (voir la rémunération nulle de l’épargne etc.) et maintenant ils font de la cavalerie comme Madoff, et veulent couvrir l’endettement pléthorique en nous imposant des charges supplémentaires de migrants et de pondeurs, censées rapporter dans le futur, mais surtout diluer ce crime par tête de pipe arrivante. A part remplir les prisons, augmenter l’armée et les forces de police, surcharger les tribunaux et fabriquer des postes bidons dans le social pour des émasculés du cerveau, je ne vois pas dans cette posture nataliste contre immigration, quoique ce soit qui génère des revenus d’authentiques activités humaines autre que de piller encore plus ces dernières.
En plus si cette personne avait activé réellement dans des postes censés créer de la richesse et non pas le contraire, il y a bien longtemps qu’elle aurait compris que la natalité est une source d’appauvrissement, peut-être pas directement pour ceux qui en font métier… mais pour l’ensemble de la collectivité à long terme, eux compris. Pensons déjà à tout ces nobles qui pondaient plus que de raison et dont les biens ses sont évaporés d’un seul coup au décès du chef. Des genres von Sommaruga qui finissent pelés et pensent se refaire en jouant au casino socialiste et en cachant leurs titres de noblesse décadente. Depuis des décennies, on a des moyens techniques qui permettent d’échapper aux tâches ingrates, mais on continue d’entretenir des entreprises esclavagistes par surpopulation interposée. Entreprises qui devraient disparaître mais qui demeurent par la force des négriers, généralement aussi bonnes consciences pour la façade officielle et naturellement impliqués dans la politique.
Arrêtez cette folie! En 1950 il y avait 2,5 milliards d’individus aujourd’hui il y en a 7,5 milliards ce qui est la cause principale des pollutions, changements climatiques, pauvreté, guerres, migrations et tout le reste !
C’est pas l’Occident qui procrée trop peu c’est le Tiers Monde qui procrée trop et cela va nous mener droit vers la catastrophe écologique et le reste avec c.-à-d. les guerres !
Si vous êtes l’heureux papa de jeunes enfants pensez aux atrocités des guerres à venir dans lesquelles vous les avez fait naitre!
“Migrants ou obligation de faire des enfants”
Avec un minimum de bon sens, la réflexion est la suivante : mauvais calcul; les premiers obligent les seconds!
Nos politiciens aux revenus et avantages confortables n’ont pas encore compris qu’une grande partie des petites gens a appris à se gérer sans compter sur la société; tout est question de charges.