NDLR. Nos lecteurs nous demandent de publier
Je me permets de vous recommander l'écoute de cette interview d'un homme qui fut sauvagement agressé et blessé par des casseurs samedi passé à Genève (voir le lien ci-dessous). A ma connaissance, il s'agit là du seul reportage de cet incident. Les méRdias n'en ont naturellement pas pipé mot. Personnellement, il me semble qu'elle devrait être affichée sur votre site afin que plus de personnes prennent connaissance de cet incident. C'est tout de même assez préoccupant car cela indique que le niveau de violence est monté d'un écran et ne se limite plus à des dégâts infligés à des bâtiments et autres propriétés mais est en train de s'étendre aux personnes. Merci de votre attention. Je vous souhaite de joyeuses fêtes.
Merci à P.A.
Bientôt on reconnaîtra Barthassat et sa grosse moto comme un black-blocks si on se fie à la normalisation qu’un certain C veut nous imposer, tout comme nier tout complot. On se demande qui peut bien être aussi simplet dans ces affaires. Pour se connecter avec la police Eric Stauffer ne s’est pas adressé à la chef, mais au chef de cabinet de Maudet… http://tinyurl.com/hafzgxp Elle se cachait où la chef ? Inatteignable en plein marasme, d’où cette inaction qui caractéristique les incompétents absents ! On a pu la voir dans le Ghi se pavaner sur le capot d’une voiture de police, dans une pose lascive avec les menottes comme attributs S.M.. Moutinot, auquel on doit cette dérive promotionnelle s’est-il débarrassé à bon compte sur le dos des contribuables d’une maîtresse un peu trop sévère? On peut se poser la question de savoir si elle s’inspire des méthode belges pour s’absenter dans une telle situation ? http://tinyurl.com/jmuydwg
Il est vrai que l’Etat devrait se charger de la sécurité et que, comme le dirait Max Weber, il a le monopole de la violence, mais, lorsque l’Etat est à ce point infiltré par ses ennemis qu’il n’est plus en mesure d’assurer la protection de la citoyenneté et de la propriété, il vient un point, qu’on le veuille ou non, où les milices citoyennes vont prendre les choses en main.
Les questions que l’interview pose au sujet de l’organisation, le fonctionnement aparemment para-militaire ainsi que l’éventuelle coordination internationale de ces “black blocks” devrait être une question parlementaire à soumettre aux différents niveaux d’exécutif, Communes, Cantons, Confédération. S’il y a organisation, il y a responsabilité. Laisser germer de telles structures, c’est permettre au terrorisme de germer, chez nous.
Pour ce qui est de la capacité des citoyens à se défendre, je ne souhaite pas que l’on en arriive, sans le domaine de la sécurité, à ce que la population doive se remplacer à l’Etat en s’organisant en services d’ “entraide”, comme cela est le cas dan la santé, le social et l’éducation.
A la différence des autres domaines, dans le cas de la sécurité il s’agit de se doter de moyens de force, les dérives seraient dangereuses: prise de pouvoir sur un quartier par les plus forts, éscalade symétrique dans les moyens d’intervention ou le remplacement de la capacité d’avoir un dialogue civilisé par des rapports soumis aux rapports de force physique.
L’interviewé pointe un doigt accusateur sur l’absence de réaction du voisinage. Je passe là-dessus. Mais alors qu’en est-il des “jeunes gens qui nous ont défendus”? N’étaient-ils pas aux premières loges pour réagir?
@Cenator Vous avez mal suivi l’interview et vous ne connaissez rien des “Black Blocks” que vous confondez visiblement avec les gangs de “Bickers” ou “Hells Angels”. Les “Black Blocks” n’ont pas de grosses motos, ce sont des groupes de jeunes qui se répondent de l’anarchisme révolutionnaire et qui vivent généralement dans des squats. Leur stratégie consiste à se mêler aux manifs, cagoulés et anonymes en provoquant un maximum de dégâts prétextant ainsi que seule l’action violente permet d’obtenir une couverture médiatique. La plupart d’entre eux sont des paumés qui cachent leur nihilisme sous une prétendue action anti-mondialiste ou anti-capitaliste. La question qui me semble pertinente dans cette interview est effectivement de savoir qui manipule vraiment ces “milices”, qui éventuellement les infiltre. D’autre part, comme ils sont tous masquées et ne tiennent aucun discours à part celui de la violence, il est difficile de savoir qui se cache réellement sous leurs cagoules, d’ou ils viennent et de qui sont ils “les idiots utiles ?”. Quel que soit notre position face au gens de l’Usine ou du mouvement de revendication contre les coupes budgétaires dans le milieu alternatif culturel genevois, on ne peut nier que les “Blacks Blocks” et leur violence imbécile leur font un tord énorme et on peut légitimement se demander à qui profite réellement les violences des Blacks Blocks” et la manifeste passivité imposée par la cheffe de la Police genevoise à ses forces de l’ordre ?
Cette interview est manipulatrice. Elle veut nous faire croire que les black-blocks ont quelque chose à y voir. Que nenni !
Les black-blocks ont une carrure, des habitudes vestimentaires, de grosses motos, tout à fait reconnaissables. Je me souviens quand ils sont venus il y a 15 ans pour casser chez nous. Et surtout, les graffitis étaient écrits en bon genevois bien de chez nous. Il ne faut pas essayer pas de dédouaner ces merdeux subventionnés et/ou d’extrême gauche.