« C’est la victimisation qui favorise la radicalisation »

 

Younnes est un ancien combattant de l’organisation terroriste Etat islamique. Dans une interview, il justifie son départ pour la Syrie en se faisant passer pour une victime dans notre société. Avec son témoignage, « on peut comprendre tout le processus de radicalisation, toutes les étapes », a expliqué Alain Ruffion, spécialiste de la prévention contre la radicalisation. […]

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3 commentaires

  1. Posté par Pierre H. le

    Donc, c’est bientôt nous qui devrions devenir radicaux puisque nous sommes les victimes bafouées de nos gouvernements occidentaux. Donc, nos élites auront bientôt à lutter contre 2 types de terroristes ! Les islamistes et les occidentaux !

    db

  2. Posté par Vautrin le

    Ainsi que le faisait observer Pierre Desproges, “l’ennemi est bête. En effet, il croit que c’est nous l’ennemi, alors que c’est lui !”

    db

  3. Posté par Anne Bürgi le

    J’ai lu sur “Sputnik France” le commentaire suivant d’un musulman (je copie) :
    “Les islamophobe aurait détruits la terre si l’islam n’a jamais exister, islamophobie = daesch”
    Outre l’incohérence (si l’islam n’avait pas existé, il n’y aurait évidemment pas d’islamophobes), c’est la rengaine de la victimisation. De ce fait, ce sont de vrais dangers publics, puisqu’ils sont convaincus, non d’être des agresseurs, mais des victimes qui se défendent.

    db

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