Médias. Nos lecteurs nous écrivent et participent à la critique des journalistes

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NDLR. La critique des médias et des journalistes bien-pensants étant l’une des composantes de notre projet, nous sommes ravis que nos lecteurs y participent activement et avec des analyses approfondies et détaillées comme nous les aimons.
Nous vous invitons à poursuivre et à être nombreux à étendre cet exercice en repérant régulièrement de futurs candidats pour la cérémonie des bobards de l’info que nous préparons en collaboration avec l’équipe française qui a inauguré cette pratique à grand succès et qui consiste donc à primer les journalistes leaders en bien-pensance, en politiquement correct, en information biaisée et orientée et en désinformation patentée. Plusieurs candidats se sont quasiment déjà auto-désignés tant leur stakhanovisme en ces matières est exemplaire. Vous serez mdr.
Il faut un maximum de candidats avec des perles qui feront rire aux larmes même si ce n’est pas drôle. Comme nos journalistes détestent être critiqués ce sera encore plus jouissif.
Un, deux, trois… feu partez! A la chasse. Et signalez-nous les perles des docteurs ès information biaisée, truquée, obsessionnellement de gauche, sans oublier les désinformateurs patentés.

I.  La critique de l'émission [email protected] par notre lecteur David Rouzeau

 

De : David Rouzeau [mailto:[email protected]]
Envoyé : lundi 14 décembre 2015 21:25
À : RTS-ActuRadio-Tout un Monde <[email protected]>
Cc : [email protected]
Objet : Emission de lundi 14.12.15

 

Monsieur,

Tout d'abord, je n'ai pas retrouvé votre adresse mail sur le site de la rts, à croire que vous ne cherchez pas vraiment à entrer en dialogue avec vos auditeurs. Mais vous avez donné l'adresse par oral à la fin de votre émission et j'espère m'en souvenir assez précisément.

 

Je vous écris rapidement ce mot pour vous faire remarquer, preuve supplémentaire parmi tant, que vous n'êtes pas objectif.

 

Les deux journalistes invités ce matin pour parler des régionales françaises étaient tous deux des journalistes de gauche, que ce soit l'Italien (il parlait d'extrême-droite pour qualifier de manière diffamatoire et nauséabonde le FN et la Ligue du Nord de xénophobe) ou l'Allemand qui allait aussi dans cette direction. Toute leur rhétorique était celle du système, du PS au fond, un peu plus légère que Valls ou Cambadélis, mais dans cette direction. Si vous vouliez traiter ces questions de manière plus objective, plus respectueuse des citoyens et de la vérité – si tant est que vous sachiez ce que ce mot veut encore dire… –, vous devriez inviter des intervenants qui défendent la cause patriotique et non pas seulement des journalistes qui parlent comme de membres du PS.

 

Voilà, c'est un petit exemple. Ces choix sont insupportables et inexcusables, car vous avez d'immenses possibilités pour inviter d'autres voix. Et vous le savez bien. En fait, vous faites des choix idéologiques de manière tout à fait volontaire. Vous faites de la propagande. C'est inexcusable sur notre service public.

 

J'espère qu'un jour vous aurez la décence de faire un journalisme objectif, digne d'un vrai service public, car vous mettez, par vos comportements, la démocratie en danger. Vous êtes dangereux. Ce sont vos comportements qui menacent nos sociétés, car vous divisez, vous n'êtes pas juste, pas correct, vous faites, comme déjà dit, de la propagande quand bien même on vous demande d'analyser, d'informer et de faire dialoguer les différents points de vue existant dans notre société.

 

Vous devriez par exemple avoir la décence au moins d'inviter des journalistes ou intellectuels non-alignés comme Décaillet, Barraud, Windisch, etc.

 

J'envoie copie de ce courriel à M. Windisch. Une analyse précise de cette séquence serait édifiante…

 

Meilleures salutations,

 

David Rouzeau

Citoyen suisse, licencié ès Lettres

David Rouzeau

Les Granges

Ch. du Verdan 8

1682 Dompierre VD

Canton de Vaud

Suisse

026 652 29 44

[email protected]

 

II. La réponse de Eric Guevara-Frey (EGF) de [email protected] à David Rouzeau et ses interactions avec ce dernier (DR):

Le 15 déc. 2015 à 08:58, Guevara-Frey, Eric (RTS) a écrit :

Monsieur,

EGF, Vous êtes le premier à nous faire part de difficultés à nous contacter mais je vais les signaler.

 

DR. Je vous en remercie. Je suis retourné sur votre page (https://www.rts.ch/la-1ere/programmes/tout-un-monde/) et il est vrai que n'apparaît pas, mais peut-être n'ai-je pas assez bien regardé, votre adresse mail. Je pense que les acteurs de nos médias publics doivent être faciles à contacter. Souvent j'ai trouvé que ce n'était pas vraiment le cas.
EGF. Vous me permettrez d’ignorer les passages inutilement calomnieux de votre message pour me concentrer sur la critique de fond portant sur une prétendue partialité. Elle ne résiste pas à l’examen des faits.

 

DR. Vous avez tout à fait raison d'aller sur le fond. Mes remarques sévères ne vous concernent pas personnellement, car je n'ai pas suivi votre travail en particulier. C'est l'expression d'une exaspération plus profonde par rapport au travail des journalistes en général, que ce soit sur la rts, en Suisse romande ou plus largement encore.

 

 

EGF. Jour après jour, semaine après semaine, à travers toutes les émissions de l’information, nous nous attachons à présenter la pluralité et la diversité des opinions.

 

DR. Vous me permettrez de considérer que le compte n'y est pas. Encore une fois, je n'ai pas fait une analyse particulière de votre émission, ne pouvant l'écouter que de temps à autre. Mais il y a une ligne, pour faire court, mondialiste et atlantiste, ou du moins une tendance mondialiste et atlantiste (entendez pro-américaine) qui domine dans les médias et notamment à la rts. C'est toujours Poutine, ou Assad, ou les mouvements patriotiques qui sont les méchants, qui sont diabolisés, etc. Cela est très souvent fait de manière subtile et insidieuse, mais on peut le décrire et le démontrer. Du reste, cela a été fait notamment par M. Windisch et vous n'êtes pas sans connaître toutes ces critiques. Mais je poursuis ma lecture de votre message avant de vous exprimer mon analyse de manière synthétique.

 

 

EGF. Pour ma part et puisque vous évoquez le Front National, j’ai été le premier journaliste de Suisse à interviewer Marion Maréchal-Le Pen. J’ai également reçu d’autres représentants de son parti ou de sa tendance politique comme j’ai reçu les tenants d’autres bords parce que cela fait tout simplement partie de mon travail. Je regrette que cela vous ait échappé.

 

DR.Je ne le savais pas. Encore une fois, ce que je vous ai écrit, j'aurais pu le faire à bien d'autres journalistes de la RTS, M. Colin, Schaller de la tsr ou des journalistes de Forum, etc. N'y voyez pas d'attaque ad personam. Je me suis basé, en plus de tout ce que j'ai observé depuis des années, sur l'émission de ce lundi matin, qui était la vôtre.

Je vous félicite d'avoir fait votre travail de journaliste et cela ne signifie pas qu'on ne doit pas analyser de manière critique le FN, comme tout autre parti ou tout autre élément de notre société.
EGF. En ce qui concerne l’émission d’hier, nous souhaitions inviter des journalistes étrangers établis en France depuis longtemps pour leur demander de poser leur regard sur la politique française au lendemain des élections régionales.

 

DR. Oui, M. Guevera-Frey, mais vous avez une grande expérience de ces problématiques, vous savez que ces journalistes sont potentiellement orientés, l'Italien en particulier, il suffisait de l'entendre. Pour balancer les choses, il aurait fallu qu'un des deux journalistes soient plus de tendance nationale, travaillant dans un média plus alternatif. Là, on aurait eu un équilibre, un débat plus intéressant, et non pas toujours cette vision politiquement correct et au fond gauchiste (ou libérale), plus simplement libéralo-libertaire comme le disent certains, ou en d'autres termes encore mondialiste (européiste) selon laquelle ces partis patriotiques sont d'atroces résurgences fascistes, etc.

 

EGF. Cette démarche correspond au mandat international de notre émission. Vous nommez Messieurs Décaillet, Barraud ou Windisch – je salue au passage mon ancien professeur de sociologie à l’Université de Genève qui nous lit en copie – mais ils ne correspondent pas à ce profil. Vous vous trompez de cible.

 

DR. Je vous entends encore une fois, mais il me semble que vous trouvez toujours des justifications d'ordre secondaires pour étayer vos sélections discursives et idéologiques, pour organiser les discours que vous donnez à entendre à la population, alors que le souci principal devrait être celui de présenter, de manière démocratique, les différents points de vue qui animent notre société, points de vue qu'il est urgent de faire dialoguer. On n'a pas besoin du dialogue de deux personnes également d'accord, présentant le point de vue constamment resassé d'un milieu journalistique beaucoup trop peu représentatif des aspirations de la population. C'est cela que vos rédactions doivent comprendre et que vous, journalistes, ne faites pas du tout assez. C'est cela qui est grave. Car, premièrement, vous manquez souvent au devoir de vérité (la vérité des faits n'est pas établie aussi bien qu'elle pourrait l'être avec un peu plus de courage, d'indépendance d'esprit, etc.) et, deuxièmement, vous ne rendez pas possible le dialogue nécessaire entre les divers points de vue de notre société.

Je ne vais pas rallonger mon propos. Je pense que vous voyez aussi très bien ce à quoi je fais référence. Vous avez une émission importante, traitant notamment de géopolitique. Ce sont des problématiques extrêmement graves et cruciales à propos desquelles la propagande, les manipulations de tous ordres sont massives. Il vous faut d'autant plus être très attentif à avoir des points de vue critiques, équilibrés, et ne pas hésiter à aussi critiquer (mais peut-être l'avez-vous fait) la propagande des élites occidentales, de l'impérialisme américain qui est peut-être un des problèmes les plus importants dans le monde actuellement.

Je vous laisse consulter tous les travaux que M. Windisch notamment a fait sur ces sujets, les critiques qu'il a développées. Je pense que votre émission d'hier serait tout à fait criticable par rapport aux griefs d'impartialité classiquement produits contre les médias dominants. M. Windisch pourra aussi vous partager beaucoup d'analyses très utiles. Je ne saurai trop vous conseiller, si je puis me permettre, et puisque votre relation est établie de même que cordiale, que vous échangiez avec lui. Votre émission en serait d'autant plus profonde et positive.
EGF. Vous n’êtes pas le dépositaire de la décence dont vous semblez vouloir vous poser en juge car elle ne passe certainement ni par la calomnie ni par l’excès que vous exprimez dans votre message.

 

DR. Je ne suis en rien un dépositaire absolu de la décence. Mais ce que j'ai pointé indique une certaine indécence, très souvent observable dans les médias, laquelle vous a peut-être échappée, mais il faudrait y être plus attentif, car je crois sincèrement qu'il y a là un vrai danger pour nos collectivités. Une société a besoin de médias objectifs, équilibrés, non idéologiques, non partisans, de médias indépendants, de journalistes divers, aux points de vue divers, de journalistes libres, affranchis des puissances de tous ordres, au seul service de la vérité. Le milieu journalistique est beaucoup trop uniforme et orienté idéologiquement.

 

Pour la charge critique, vous aurez compris qu'elle ne s'adressait pas à vous de manière particulière, et je vous remercie de la relativiser. Par contre, je ne regrette pas d'avoir fait montre de sévérité, parce que le milieu journalistique la mérite, le milieu journalistique faillit en grande partie aux grands devoirs qu'il a à accomplir pour une société, et cela est très grave, cela est même extrêmement grave. Si on analysait bien des périodes charnières de l'histoire, on verrait que le fait que les médias n'aient pas fait leur travail, qu'il aient été dans les mains de groupes de pouvoir, qu'ils fassent de la propagande, qu'ils mentent sciemment ou par omission (processus actuellement le plus courant), qu'ils manipulent, etc. ce fait-là a contribué aux déclenchements de cataclysmes comme des guerres, des crises financières dévastatrices, etc. C'est souvent le manque d'information qui fait que l'homme se trompe et qu'il n'a pas vu les dangers dans lesquels il est tombé, dangers desquels peut-être un jour il ne réchappera pas.

EGF. En vous remerciant néanmoins pour vos encouragements à poursuivre dans la voie d’un journalisme objectif et en vous remerciant également d’avoir pris la peine de nous écrire, je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

 

DR. J'espère que vous aurez mieux compris mon point de vue. Contribuez à pluraliser votre média, surtout qu'il est le service public, tout en restant bien sûr ferme sur les grandes valeurs intangibles, sur lesquelles nous sommes tous d'accord à l'évidence. Vous devez par exemple engager des journalistes alternatifs, reprendre un Décaillet, engager quelqu'un comme Slobodan Despot ou comme Uli Windisch, et il y a, j'en suis sûr, des dizaines de personnes de cet acabit en Suisse romande, sinon il y aura trop le risque de l'entre-soi du politiquement correct, sans poil à gratter, de la doxa facilement manipulable par les pressions des grands pouvoirs (économiques, idéologiques, etc.).

Une bonne suite à vous, M. Guevara-Frey, merci d'avoir pris la peine de m'avoir répondu.

David Rouzeau
Eric Guevara-Frey

11 commentaires

  1. Posté par Franz le

    … Infrarot oder infranull ? Es ist nun Zeit, die SRG zu eeneuern.

    db

  2. Posté par Ueli Davel le

    Même le nouveau partenaire stratégique de la SSR, Ringier, et plus particulièrement son produit phare Blick n’a pas aprécié la soldate Mamarbachi de la RTS! Aprés le Tagesanzeiger, le Blick parle aussi de blamage!
    “Gleichzeitig blamierte sich Esther Mamarbachi von Radio Télévision Suisse (RTS), indem sie SRG-Kritikerin Rickli in Grund und Boden zu schimpfen versucht, statt sie zu interviewen. Das beste Argument der SRG ist Journalismus, aber das scheint die RTS-Frau vergessen zu haben.”
    Cette dame se dit journaliste! On nous oblige de payer son salaire, on se fout de nous.
    LA prestation agressive donnée par le soldat grison du PDC est bien compréhensible vu que la SSR est soutenue par la présidente Leuthard, l’ex président Laurétan, l’actuel Bauemler et co.
    Mamarbachi n’est pas prête de représenter les Romands outre Sarine!

    db

  3. Posté par Houlmann Henri le

    J’ai été pendant trente ans un fidèle lecteur de la NZZ – petit à petit les mensonges et surtout la façon de mentir,par adjectif interposé, par allusions, par non dit et de bien d’autres manières m’a écoeuré. Aussi l’ai-je abandonnée, il y a déjà quelques années. Du coup j’avais reçu un appel téléphonique de la NZZ, me demandant pourquoi je l’abandonnais. J’ai répondu:”parce que vous mentez”- La conversation s’arrêta là. Je n’ai que gardé l'”Impartial” de la presse du politiquement correct, pour les informations locales. Mais je dois reconnaître qu’on y trouve parfois des informations et des prises de position qui dénotent par rapport au politiquement correct. Cela me réjouit, notamment pour le journal.
    Henri Houlmann

    db

  4. Posté par Ueli Davel le

    Hier soir Arena sur la SRG débattait sur le monopol de SSR SRG. Même le tagesanzeiger, pas particulièrement à droite, a trouvé cette émission minable. Le font du fossé a été atteint par la genosse Mamarbachi représentant la Suisse Romande, de la RTS et chargée de questionner la conseillière national UDC Rickli. Elle n’a été qu’elle même, arrogante, agressive, donneuse de leçon gauchiste, honteux. Les Suisses alémaniques en particulier les zurichois ont compris le message venu de l’ambassadrice de la RTS et/ou du PS. Une raison de ne plus donner autant d’argent à ce monopole en main gauchiste. Le discours délirant de Canderia PDC grison a lui montré ses limites!

    db

  5. Posté par Margo le

    Les journaleux et médias islamo-collabo peuvent continuer à prêcher le multiculturalisme ou le suicide de nos nations… les patriotes européens ont les yeux et l’esprit grand ouverts et plus rien ne saurait leur faire changer d’avis …ou peut-être une remigration africaine.. La réalité de l’invasion de l’asservissement que nous subissons, avec l’accord de nos élus et contre l’avis des peuples, ne fait qu’ajouter à leur malheur et à leur détermination à SAUVER nos pays jadis pacifiques de l’invasion de cette communauté qui sème feu et sang dans le monde entier. Nous sommes prêts à tout pour sauver nos nations du péril vert.

    db

  6. Posté par Jeferson le

    il est inutile d’essayer d’argumenter. Les journalistes de la SSR sont dans leur grande majorité des militants de gauche qui sont certains de prêcher la vérité et qui refusent toute critique. Tout ce qui est patriotique, nationaliste ou simplement suisse est rejeté d’emblée. Ils n’ont d’yeux que pour ce qui est étranger, international ou internationaliste. Ils sont bloqués 100 ou 200 ans en arrière, entre la révolution bolchévique et le mythe du bon sauvage.

    Gageons que même le jour où un islamiste leur braquera une kalasnikov sur la tête, ces benêts seront encore capables de s’extasier sur l’ingéniosité dont a fait preuve ce brave étranger pour passer tant de frontières, ou sur la remarquable dextérité que montre ce fils de berger dans le maniement d’une arme soviétique.

    Je ne sais si lesobservateurs peuvent publier ce lien sans risquer de poursuites. Il est possible de cliquer sur le lien pour lire le texte sans démarrer la vidéo. Et je déconseille à quiconque le visionnage de cette vidéo s’il n’a pas le cœur bien accroché.
    http://heavy.com/news/2015/12/new-isis-islamic-state-news-videos-pictures-to-sons-of-jews-wilayat-al-khayr-child-boy-soldiers-executing-shooting-spies-jewish-ancient-ruins-obstacle-course-full-uncensored-youtube/
    La vérité est dure à faire admettre. Mais les faits sont là. Têtus. Nos ennemis ont parfois 11 ans seulement. Ils sont armés. Entraînés. Plus à l’aise avec des armes que la plupart de nos soldats. Mais les journalistes bornés de la SSR continuent de prétendre que tous les Syriens ou presque sont des ingénieurs ou des médecins. Bien sûr…
    Jeferson, décembre 2015

  7. Posté par Helena le

    Nos “médias” ne sont pas là pour nous informer (Dans les pays où les médias se sont largement développés, ces médias sont majoritairement détenus par de grands groupes industriels dont les dirigeants sont proches du pouvoir politique.) Ah le pouvoir, l’argent.. ils adorent …. mais on peut éteindre la TV!

    db

  8. Posté par pierre frankenhauser le

    Merci M. Rouzeau pour votre intervention. Espérons qu’EGF, dans son fort intérieur, saura se remettre un peu en question. En outre, je pense qu’il faudrait également s’attaquer à une autre source du problème: les écoles de journalisme. En effet, si ces institutions formatent idélogiquement à la bienpensance les futurs reporters depuis le premier jour, c’est mal barré pour la suite. Ils seront tous transfirmés en braves petits soldats de la bienpensance de gauche, ne remettant jamais en question les infos prémachées issues notamment des grandes agences de presse anglo-saxonnes.

    db

  9. Posté par Burnand le

    Un journaliste ne doit pas donner son avis personnel mais simplement INFORMER de manière neutre. Mais hélas c’est devenu utopique, aussi bien à la TV que dans la presse. De plus, le politiquement correct a bousillé toute objectivité.

    db

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