Les chiffres sont absurdes et reposent sur des hypothèses incohérentes.
Pour 6 accords sur 7, il s’agit de petits montants. L’accord le plus important est celui de la libre circulation des personnes. D'énormes coûts y sont liés pour la Suisse.
Il est invraisemblable que les 6 accords soient résiliés, et s’ils tombaient, il y aurait de très bonnes alternatives.
haro sur les mal pensants! TDG, Hebdo, RTS, l’AGEFI tous le gratin des “éclairés” contre les “obscurs mécréants”. Ils y vont tous de leur couplet larmoyant sur l’abandon des bilatérales qui tomberaient si la Suisse appliquait (enfin!) la décision populaire. Bien entendu, ils ne regardent que d’un oeil les conséquences “dramatiques”. Et si nos politiques avaient du cran? Si, au vu de la situation économique actuelle, nous lancerions un emprunt obligataire de quelque centaines de milliards à taux 0 (plutôt que négatifs), nul doute que les investisseurs se bousculeraient au portillon. investir dans la recherche avec 100x plus de moyens que l’Europe moribonde nous ferait prendre une avance insolente dans la chimie, l’énergie, santé, technologies de pointe …. Et là, c’est l’Europe qui nous courtiserait pour bénéficier des miettes…. Erasmus? Tiens, fume! le niveau d’enseignement en Suisse est déjà parmi les plus élevés du monde. Cet apport permettrait d’en augmenter encore l’excellence. Qui voudrait aller chez qui? On se focalise sur nos exportations vers l’UE qui représente 60%. Jamais on ne rappelle que la plupart des pays de l’UE ont une balance commerciale largement en leur faveur vis-à vis de la Suisse. Peuvent-ils se permettre des “mesures de rétorsion économiques?” Si oui, alors dénonciation des accords fiscaux, réintroduction du secret bancaire consolidé, imposition des frontaliers à la source sans rétrocession au pays d’origine….Ceci occasionnerait certainement un afflux de capitaux déposés qui permettrait en partie de financer le remboursement de la dette créée pour autant que parallèlement, des ouvertures de marchés soient négociés et intensifiés pour nos produits de niche vers des marchés dits émergents….Mais tout ceci demande du travail de la part de nos dirigeants mous du genou et du bulbe. Alors non, autant faire les moutons.
db
Il y a une bonne année, François Schaller réd. En chef de l’Agefi arrivait également à des dégâts moindre en cas de résiliation.
db
Chut! Cette vérité là, il ne faut surtout pas la dire! Le peuple ne doit pas être informé.
Car la peur de perdre ces bilatérales est le seul argument que possèdent ceux qui ne veulent pas que l’on mette un frein à l’immigration massive, afin de réaliser la soumission totale du pays à l’UE.
Pour eux une carrière de fonctionnaire privilégié à Bruxelles est bien plus importante que la démocratie, la souveraineté et la liberté.
db