Le directeur général de la SRG SSR, Roger de Weck, n’a pas constitué suffisamment de réserves. Les recettes annuelles de plus de 1,6 milliard de francs ont été totalement dilapidées. Un trou financier de 40 millions. 250 personnes sont licenciées.
Les collaborateurs sont amers. Près de 400 propositions assurément constructives pour le maintien du personnel ont été refusées par la direction.
Une motivation politique plus que financière à l’origine des licenciements ? Les suppositions des collaborateurs ne sont pas totalement infondées.
Roger de Weck n’a pas voulu prendre la responsabilité des chiffres rouges avant les votations. Aujourd’hui, il préfère en faire porter les conséquences aux collaborateurs. Ou alors, quelle pouvait bien être la raison de son manque de réalisme relatif au risque lié à l’arrêt sur la TVA ?
Merci à Caroline pour la synthèse et la traduction
de Weck nommé par le CF. Bien sûr, entre nuls, on sait s’entraider…
db
De toutes manières, la rts , ça se résume à des séries américaines, du hockey, du foot, et des émissions de gauchistes collabos qui nous distillent leur propagande sans arrêt.
Et la radio, c’est encore pire !
A quand la prochaine charrette ???
La SSR existe par la redevance, cela lui évite les dérives d’autres médias avec leurs cortèges de jeux débiles, ça c’est pour la bonne nouvelle. La mauvaise c’est sa tendance à naviguer bâbord amure en permanence, aux ordres de ce que l’on appelle pudiquement une soi-disant “élite mondialiste”.
Au fait n’est-pas le CF qui a nommé le fils à papa de Weck à ce poste!
Le Net fleuri d’enquêtes, de documentaires passionnants, d’analyses politiques originales et pertinentes, alors la SSR et ses pertes d’emplois…. bof! Ce qui est sûr c’est que le quotidien le Temps ne va pas les engager. De solides reconversions en perspectives!
Ben … un oeil est fermé !
La responsabilité collective, ça vous parle? 250 collabos virés, champagne!