Mobbing musulman, burqa en classe, symboles Daesh sur selfies. Un directeur observe la diffusion de mœurs islamistes.
Des hommes vêtus de djellaba et calotte avaient fait leur apparition il y a quelques temps dans l’école Franz-Jonas. La police était intervenue, mais leur idéologie est bien restée.
Des filles ont changé leur minijupe pour une tenue avec foulard. Le mobbing est monnaie courante pour qui ne veut pas se plier aux exigences des plus radicaux.
@ top gun
Vous avez raison, mais ce que me dit mon correspondant c’est que tout le monde a peur. Donc personne n’ose déposer plainte : crainte des représailles, sous toutes sortes de formes.
Même mon ami qui n’est certes pas de gauche, n’ose pas.
Il va falloir créer un mouvement citoyen, qui pourrait s’appeler “Maîtres chez nous!” et qui aidera les courageux qui n’acceptent pas de se laisser marcher dessus.
La majorité des enseignants sont de gauche!!! Donc ils ne vont pas dénoncer leur idéologie morbide même s’ils voient eux-même qu’ils sont à côté de la “plaque,” quitte à embarquer tout le monde dans leur gabegie. C’est à nous de foncer dans le tas, de déposer des plaintes contre ces apprentis terroristes et contre ceux qui pratiquent l’applaventrisme, il FAUT des plaintes. Quitte à débarquer devant ces écoles et secouer le “cocotier” par des actions simples et efficaces, on est quand même encore chez nous et c’est le moment propice pour ce genre d’actions.
Je confirme, cela ne bouge pas dans le bon sens dans certaines écoles…
@pierre frankenhauser
D’après des échos qui me viennent d’un ami qui fait des remplacements dans différents collèges et écoles professionnelles romandes, les enseignants connaissent déjà des humiliations au quotidien dans les classes à majorité musulmanes. Beaucoup de classes sont à majorité musulmanes.
Je cite quelques passages de mon ami:
“C’est un cauchemar. Ces gens nous haïssent profondément. Jamais ils ne se seraient comportés de telle façon si j’avais été de leur culture et religion. Ils savent, déjà à 18 ans, qu’ils ont le pouvoir. J’ai vécu un échantillon de ce qui nous attend : subir leur attitudes destructrices et humiliantes, sans ne rien pouvoir dire. Car dénoncer leur racisme reviendrait à se faire condamner pour racisme. Ils l’ont bien compris et savent en jouer. Ainsi l’éducation de nos concitoyens est déjà compromise. Les quelques suisses de la classe, apeurés et repliés dans leur coin, essayant vainement de suivre un cours où il est impossible d’apprendre quoi que ce soit, dans une atmosphère de terreur et de menace, faisaient figure de dominés soumis vaincus qui n’ont pas d’autres solutions que d’abdiquer ou se faire massacrer. Sur la fin de la matinée, j’ai eu une réaction de résistance et j’ai vu qu’ils étaient prêts à tout, j’ai même eu peur un moment, tant leur haine était manifeste et violente. J’ai même eu droit à des commentaires en arabes, langues qu’ils parlent entre eux sans vergogne durant la classe.”
Donc, dans ce climat les profs se taisent et encaissent en silence. Ils n’osent même pas en parler avec des collègues, tellement ils ont peur que s’ils parlent ça se retourne contre eux et qu’on leur reproche, soit d’avoir des préjugés racistes, soit de ne pas avoir les compétences pour s’imposer. Quand un enseignant tente de parler de ces problèmes avec des collègues, il sent que c’est une question gênante et que les profs ont peur d’en parler. Alors ils esquivent le sujet, ou disent: on a aussi des problèmes avec les Suisses. Parfois mais rarement, ils reconnaissent que c’est pire avec les étranger. Tout le monde est intimidé et vit dans la terreur.
Il m’a semblé que ce climat où on sent l’Islamisme qui bouronne comme la braise sous la cendre, pourrait mener à une sorte de guerre de religion mais mon ami m’a répondu ceci:
“Le problème c’est que les gens d’ici ne sont plus tout à fait chrétiens, mais non pas sans religion. Ils ont adopté la nouvelle religion internationale humaniste, au centre de laquelle se trouve la non discrimination, l’ouverture, le multiculturalisme, l’égalité et toutes les inepties des droits de l’homme. Pour les y déloger il ne suffit pas de leur montrer la vérité. Leur capacité négationniste pour préserver leurs idéaux stupides est redoutable au point que je me demande si même lorsqu’ils seront réellement en mauvaise posture, ils ne vont pas continuer à nier les évidences.”
Les confidences de mon ami m’ont épouvanté. Ne vivant pas dans le milieu enseignant je ne me doutais pas que c’était déjà aussi grave, et encore moins de l’aspect de tous le plus effrayant: l’attitude soumise de dhimmis des enseignants “de souche”.
J’avoue que c’est très inquiétant.
C’est vraiment le résultat de presque un demi siècle d’idéologie gauchiste et multiculturaliste métisseuse des médias officiels. On peut vraiment dire que la propagande a été massive et qu’elle a inhibé les consciences complètement. Ca a été du beau travail de destruction.
Maintenant notre peuple est prêt à se laisser égorger sans même se défendre par peur de paraître raciste.
Effectivement des dirigeants gauchiste comme Mme Lyon (PS) ou Mme Emery-Toracinta (PS) sont très mal armés pour défendre leur corps enseignants contre ce genre de nuisances. Car au fond, ces dirigeants gauchistes, par leur propre idéologie, sont responsables de la situation. Peut-.être que si les plaintes remontaient jusqu’à eux (elles) elles auraient l’énergie de réagir. On peut en douter. Mais si je me base sur les confidences de mon ami, pour le moment les enseignants se taisent, par peur, par peur aussi qu’à tous les échelons il y ait des gens qui ne soutiennent pas les enseignants car c’est racaille gauchiste à tous les étages. Et donc rien ne remonte jusqu’en haut de la hiérarchie. Le mal peut donc se répandre sans rencontrer aucune résistance. Jusqu’au moment où il sera trop tard.
Leurs attitudes me stigmatise.
Mais cette stigmatisation, on s’en moque.
Je me demande bien comment réagiraient – ou réagiront – des responsables cantonales de l’instruction publique, comme p.ex. Mme Lyon (PS) ou Mme Emery-Toracinta (PS), si cela arrivait – ou plutôt lorsque cela arrivera – chez nous. Vont-elles imposer aux enseignant(e)s de faire profil bas, d’accepter des comportements inacceptables ? Vont-elles remplacer certaines salles de cours par des salles de prières, instaurer l’enseignement du Coran, imposer le halal dans les cantines, calquer les heures de pause/récréation aux heures de prières des élèves musulmans, pour ne pas froisser ces envahisseurs issues du Haut Moyen-Âge ?