Une semaine après le carnage du 13 novembre, le philosophe, régulièrement qualifié de «populiste», en tête de la nuée des «oiseaux de malheurs», [...] s’élève contre «l’ethnocentrisme de la mauvaise conscience de l’Occident». [...] Comme le rappelait dans ces colonnes Jean-Pierre Le Goff, la disparition des grandes idéologies avait pu laisser croire à l’avènement d’un monde […]
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On peut même aller plus loin dans ce refus de l’auto-culpabilisation. L’échec de l’école, ce n’est pas seulement la faute des réformes, mais aussi celle des parents, qui jouent un rôle essentiel pour aider les enfants à faire leurs devoirs, les pousser et les motiver à travailler au lieu de regarder la télé ou de traîner dans la rue. Quand les parents font plus d’enfants qu’ils ne peuvent en élever, quand les mères n’apprennent pas le français parce que leur culture les confine à la maison, quand les enfants méprisent les enseignants parce que ce sont des kouffars, comment s’étonner du “décrochage scolaire”, de la sous-qualification professionnelle, de l’absence de débouchés hors de la délinquance, de la mauvaise réputation des quartiers concernés, … ?
Merci Monsieur Finkielkraut pour cette excellente analyse. Je met en exergue ce fragment que tout le monde devrait toujours avoir à l’esprit :
“L’obligation du djihad, rappelle Bernard Lewis, se fonde sur l’universalité de la révélation musulmane: «Cette obligation n’a de limite ni dans le temps ni dans l’espace. Elle doit durer jusqu’à ce que le monde entier ait rallié la foi musulmane ou se soit soumis à l’autorité de l’État islamique. Jusqu’à ce moment, le monde est partagé en deux: la maison de l’islam et la maison de la guerre. Entre les deux existe un état de guerre moralement nécessaire, juridiquement et religieusement obligatoire jusqu’au triomphe final et inévitable de l’islam sur l’incroyance.»”