Nous avons perdu ce qui a rendu attrayant le continent européen et représentait la force d’attraction pour les Hongrois : le débat politique libre.
Aujourd’hui, l’opinion européenne est dominée par le bla-bla libéral sur des thèmes sympathiques, mais secondaires.
Dans l’UE, nous avons 28 services secrets, des milliers d’experts et de conseillers. Nous avons des académiciens et des think tanks. Toutefois, la crise serait tombée du ciel sans avertissement. C’est difficilement concevable.
Le plus important est que nous ne perdions pas un jour.
Interview de Roger Köppel et Wolfang Koydl, Die Weltwoche
http://www.weltwoche.ch/weiche/hinweisgesperrt.html?hidID=555458
en anglais:
http://www.kormany.hu/en/the-prime-minister/news/prime-minister-viktor-orban-s-interview-with-swiss-weekly-weltwoche
Excellent interview, dommage qu’il ne soit pas traduit en français pour les lecteurs qui ne sont pas bilingues.