11 commentaires

1. Ben quoi? Il a raison! Le peuple n’existe pas……. Il n’existe pas quand il s’agit de l’entendre gronder, de l’entendre exprimer son raz-le-bol de l’injustice concernant la primauté de l’arrivant sur l’autochtone, il n’existe pas quand, condescendante, la classe des élites bien-pensante daigne lui demander son avis à ce pov’ peuple et que ce dernier ne répond pas comme elle le voudrait. Alors tantôt on le stigmatise, on l’analyse, le culpabilise, on lui trouve des excuses condescendantes à l’image d’un petit enfant qu’on ne gronde pas car trop petit pour comprendre la remontrance liée à la chute de son bol de compote…et lorsqu’on pense que le travail est fait, on en est émettre l’idée de lui demander de revoter. Mais bien, hein, cette fois! Parce que bon, sacrebleu! Il faut montrer aux autres dirigeants bobos des pays environnants que l’élite tient le peuple et qu’il vote docilement…. Pis s’il ne vote toujours pas bien, dans ce cas ça n’est pas grave: Il faut juste mettre en pratique le *cause toujours* de la démocratie telle qu’elle est appliquée presque partout. Elle n’a d’ailleurs pas grand chose à envier au *ferme ta gueule* de la dictature…. En ce qui concerne les résultats.
   Alors merci! Oui, merci à ce monsieur de nous expliquer le cheminement de pensées qui l’amène à un tel degré d’aversion du citoyen, allant jusqu’à renier son existence! Ceci nous montre bien dans quelle dynamique se trouvent nos politiques.

2. @G. Vuilliomenet

   Ne vous en faites pas il y sera bientôt au chôm’du. Pas parce qu’il sera viré par sa direction, comme il le mériterait, mais parce que son journal va disparaître faute de lecteurs.
   Et ça ne prendras pas longtemps. Vous avez remarqué, ils n’ont plus qu’un seul cahier.

3. …, parce-que il existe, le peuple a toujours Raison. Patrick Lévy.

4. @ Aude :

   Exact ! 🙂

   Et si on pousse un peu votre raisonnement, ça donne :

   le peuple n’existe pas, OK,

   donc pas de peuple,

   donc pas de contribuables,

   donc pas de sous dans la caisse pour financer l’invasion migro-entubatoire (?),

   donc le projet d’invasion se retrouve bloqué par manque de moyens !

   Mais finalement, Monsieur Francey, vous seriez pas en train de nous donner des idées, l’air de rien, mmmhhh ?

5. Vu qu’aux yeux de certains, le peuple n’existe pas, la Suisse elle aussi n’existe pas (des artistes).
   Si donc le peuple n’existe pas…il n’y a pas d’état. Car un état sans peuple ça n’existe pas.
   Et lui qui fait partie du peuple suisse existe-t-il?

6. Il aurait pu écrire: ” le peuple c’est moi!” Et on aurai tout compris.
   Le temps est au fond de l’abisse.

7. Sacrebleu, en v’la du costaud !

   Un sujet digne des annales de philo !

   Sujet bateau. Sujet rococo.

   Convenant à merveille aux élucubrations vineuses de noctambules refaisant le monde entre deux ronds de fumée. Nostalgie soixante-huitarde.

   Confus, alambiqué, partant dans tous les sens, sous-entendant une chose et son contraire, là t’as fait fort mon gars !

   C’est du kite de haut vol, du freestyle à l’aise, cheveux au vent, profil olympien et tout simplement génialissime, THE crasse… euh pardon… classe !

   Si la parole est d’argent et que le silence est d’or, t’as perdu une bonne occasion de te taire.

   Because le peuple…

   dont tu essaies de faire croire que oui il existe mais que non dans la réalité il n’existe pas – dans la tête du peuple, dans celle des politicards, on sait pas, faut deviner, démerden Sie sich pour trouver…

   … ce peuple, c’est nous tous, c’est chacun d’entre nous, c’est ceux qui achètent le journal qui t’emploie, mais c’est aussi moi, c’est toi, tes amis, ta famille, ta nana et tes enfants.

   Alors sois un peu plus tendre. Et moins condescendant. Pas genre « Chez ces gens-là, on ne pense pas », un autre de tes articles condescendants.

   Marre de voir des plumes talentueuses déblatérer des conneries sans fond et s’en tenir à du surplace nombriliste et stérile.

   Avoir une plume sans en faire bon usage pour faire avancer les choses, c’est du talent gaspillé.

   La forme sans le fond, c’est comme une belle gueule sans âme.

   Et en ce moment, on a besoin d’un peu plus que ça.

   Le peuple

8. Ce qu’il écrit mal ce pauvre garçon. Quel style ampoulé, amphigourique, prétentieux. Quelle pensée vide et creuse. Des images ridicules : “…comme on glisse des Jacob Burckhardt dans l’arrière poche d’une gourgandine”. Ca n’a aucun sens. Il fait ça, lui? avec sa maigre paye de journaliste ? Des billets de mille ? De qui te moque-t’il ? Il invente même des mots : “sanité”. Et en plus il se croit malin. Il croit faire preuve d’originalité, aller à contre courant alors qu’il se contente de mépriser le peuple. Il se prend pour qui ? Le peuple existe mon petit, que tu le veuilles ou non.

   Le Temps descend d’un cran supplémentaire dans le néant. Un article comme ça va encore exaspérer un paquet de lecteurs qui tôt ou tard cesseront de lire ce journal. C’est bien, Olivier Francey, continue comme ça. Tu es un exemple vivant de la nullité de ce journal auquel le temps, le vrai, sans majuscule, donnera tort, ainsi qu’à toi.

9. Petit rappel pour les incultes au sujet de la définition du mot PEUPLE:

   http://cnrtl.fr/definition/Peuple

   1. Ensemble des humains vivant en société sur un territoire déterminé et qui, ayant parfois une communauté d’origine, présentent une homogénéité relative de civilisation et sont liés par un certain nombre de coutumes et d’institutions communes.

10. Magnifique, la novlangue évolue après le mot race voilà le mot peuple qui n’existe plus. a propos votre chien est de quelle marque ?
    Il faut profiter, c’est bientôt l’islamisation de l’occident qui va disparaitre; vue de l’esprit mais pas dans les faits.

11. Mon image d’Epinal serait sa tête au bout d’une pique.

    Plus sérieusement je le verrai bien au chom’du.