En plus de crisper fondamentalement le débat sur les racines culturelles, ethniques et religieuses de l’Europe, la question des migrations massives risque tout simplement de balayer ces racines et de changer l’Europe à jamais.
Plus que jamais, les Européens doivent protéger l’Europe et sa culture de l’islamisation et de son corollaire : la déchristianisation. Car les migrants, pour la plupart musulmans, n'abandonnent pas leur culture religieuse en arrivant ; alors que nous, Européens, nous nous abandonnons pour leur accueil. D'où l'inquiétude justifiée des peuples autochtones.
C’est cette inquiétude qui est remontée aux oreilles d’Angela Merkel, lors d’une discussion publique à l’université de Berne en Suisse au début du mois.
Une personne du public lui confie ses préoccupations par rapport à l’« islamisation » de l’Europe ; la chancelière allemande a rappelé que la meilleure réponse était d’avoir
« le courage d’être chrétiens, de savoir susciter le dialogue [avec les musulmans], de retourner à l’église, de se replonger dans la Bible ».
De bien belles paroles qui, une fois de plus, ne correspondent ni à ses autres discours ni à ses actes. En décembre 2014, lors des vœux du Nouvel An, elle exhortait l’ensemble de la population allemande à ne pas succomber au chant de sirène du mouvement Pegida, qui rassemble les « Européens patriotiques contre l’islamisation de l’Occident. »
En juillet 2015, lors de la rupture du jeûne dans une mosquée, elle affirmait : « L’islam fait partie de l’Allemagne, c’est une évidence. » Qu’est-ce que le courage d’être chrétien, dans ce cas-là ? A-t-on du courage lorsqu’on ne réagit pas devant cette substitution de population, de culture, de religion et, donc, de civilisation ?
À l’université de Berne, elle a également ajouté :
« Si vous demandez à des écoliers ce qu’est la Pentecôte, les réponses seront sûrement très décevantes. »
Effectivement. Si tous les efforts sont faits pour « intégrer » l’islam, « connaître » l’islam, «dialoguer» avec l’islam, on en oublie peut-être la question essentielle, formulée dès les origines helléniques de l’Europe : se connaître soi-même...
Vivien Hoch, 6 octobre 2015
Je vous recommande d’aller dans une bibliothèque et d’y emprunter une bible en bande dessinée, il y en a des tas. Ne perdez pas votre temps à lire la Bible en texte, c’est chiant.
Par exemple, lisez: la plus belle histoire du monde, de A. Monge et G. de Luca.
J’y ai lu et enfin compris des tas d’histoires géniales que j’avais pourtant déjà lu dans la bible, sans réaliser leur portée. Si vous trouvez la Bible trop grosse, commencez par le nouveau testament en bandes dessinées, c’est l’essentiel pour être chrétien. L’ancien testament, c’est l’histoire des juifs: c’est intéressant, mais pas essentiel. Christ est exactement l’opposé de Mahomet. Googlez aussi: Allah Satan, puis Googlez: Muhammad Antichrist. Antechrist est annoncé dans le nouveau testament: c’est le faux prophète dont le règne commença 666 ans après Christ…
à Pehem Veyh,
en effet, c’est par là que la brèche a été ouverte. Blondes ou pas blondes , il faut plus que jamais inculquer au jeunes génération le sens de la Vie pour leur donner les moyens de triompher.Car avec l’aide de Dieu rien n’est jamais perdu et chaque sacrifice contribue à rétablir son règne pour le bien de l’humanité.
Le temps des prêtres apeurés devant ses ouailles (souvent féminines malheureusement) n’a pas encore touché à sa fin. Il y a cependant un frémissement de réveil du clergé. Mais il n’est pas facile de revenir au catéchisme ordinaire alors que nos écoles sont truffées de socialos perturbés à la simple annonce du mot: chrétien, et dirigées souvent par des francs-maçons dont nous connaissons tous les buts inavoués. C’est donc à nous, parents de prendre la relève et de donner à nos petites têtes blondes, une éducation religieuse de base, afin que ne se perdent toutes nos traditions et nos racines.
Il FAUT le faire, car dans le cas contraire, ce que nous donnons à nos enfants en ne faisant rien, soit rien du tout va se retourner contre nous tel un boomerang. On récolte ce qu’on sème et on fait son lit comme on se couche. A vous de choisir comment vous finirez….
Si Angela Merkel avait lu la Bible avec intelligence, elle saurait que chaque fois le peuple de Dieu se tourne vers les idoles, Dieu suscite un peuple ennemi pour le remettre dans le droit chemin.
Elle saurait que le peuple choisi par Dieu doit garder son unicité, par des moyens reconnaissables, sous peine de perdre sa foi.
Se tourner vers les idoles signifie mettre toute sa confiance dans les sciences et les idéologies humaines, construire des tours de Babel qui veut toucher le Ciel (l’immortalité), ne voir en son prochain qu’un rouage du système, faire dépendre son bonheur de quelques pacotilles, faire dépendre son malheur des circonstances, au lieu d’en comprendre le sens profond.
Elle saurait, en tant que gouvernante de ce monde, qu’elle est aveuglée par son ambition, comme d’ailleurs, les autres chefs d’état.. que c’est de cette manière que Dieu affaiblit les puissants.
Si elle avait lu la Bible sérieusement, elle saurait que son Dieu n’a jamais voulu de roi, “comme les autres peuples” mais que Dieu a inscrit, dans tous les cœurs, sa Loi éternelle.
Et on ne falsifie pas la Loi éternelle, on ne la met pas au service de ses intérêts personnels ou de l’élite de ce monde.
Ça, ce sont les principes de l’Ancienne Alliance dans laquelle s’éduquent et mûrissent les peuples de n’importe quelle religion.
C’est à partir de ce terreau que peuvent germer les vrais disciples du Christ.
Comme le sel de la terre, ils sont dispersés dans toutes les cultures religieuses.
Les sages et les saints de toutes religions se rejoignent dans une Nouvelle-Alliance.
Leur rôle est de vivre et de rappeler à temps et à contretemps les principes de l’intelligence spirituelle qui sauve l’homme de son suicide.
Jésus-Christ n’est pas venu inventer une nouvelle religion, mais parfaire l’Homme de n’importe quelle religion.
Les principes du Christ sont universels et ne visent pas à ce que l’homme fasse des projets dans ce monde éphémère, mais au contraire à préparer le stade suivant de notre évolution spirituelle. C’est une épreuve de Passage et non pas un Méga-Club-Med ! Jésus n’a d’ailleurs jamais voulu être roi de cette parodie.
D’ailleurs, ces temps, cette parodie se révèle dans toute son éphémère splendeur, un vrai feu d’artifice…le bouquet final ?
Malheureusement pas un tel discours dans nos églises officielles suisses.
Cet affaiblissement spirituel causera (peut-être) la perte de notre occident
chrétien.