Le Haut Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) prévoit désormais que 700.000 migrants chercheront refuge en Europe cette année via la Méditerranée, et qu’ils seront au moins aussi nombreux en 2016. Dans un rapport appelant à des financements supplémentaires diffusé jeudi, le HCR « prévoit jusqu’à 700.000 personnes cherchant sécurité et protection internationale en Europe […]
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@ fergile le 2 octobre 2015 à 09h12
Bien vu la technique de la grenouille. Ne pas oublier qu’elle fonctionne aussi avec la sur-natalité et l’invasion qui y est liée. L’expérience des vieux est balayée par l’arrivée de nouveaux idiots utiles, qui seront bien en peine de savoir et connaître ce qui fut une époque profitable aux libertés et aux droits de l’homme, alors que ce sont justement ces concepts qui sont galvaudés et sur-exploités par les traîtres gauchos, ceux-là même qui veulent ainsi trouver des arguments pour pouvoir plus facilement les supprimer tout en faisant semblant de les soutenir. Ainsi la technique de la grenouille va rendre cette analyse difficilement perceptible pour l’idiot utile abreuvé à la source des médias à la botte. Nous risquons de crever sous le nombres des hordes d’idiots utiles et des soldats cachés de l’islam, qui vont façonner ce qu’il croiront être la démocratie, la leur avec la charia etc.
En France nous avons de graves problèmes économiques. Avec la crise économique nous aurons bientôt 4 millions de chômeurs, 10 millions de personnes en difficultés, 3.5 millions de mal logés, dont 700 000 sans abris.
Il faudrait s’occuper des gens malheureux chez nous avant de faire des avant d’accueillir 1 million de migrants auquel le gouvernement donnera: un logement, des vêtement ,de la nourriture hallal, des constructions de mosquées, des bons d’achats, une sécurité sociale gratuite, une mutuelle gratuite, des places dans les écoles, des places dans les universités, des places prioritaires pour un emploi.
CELA S’APPELLE L’INJUSTICE PRATIQUEE EN FRANCE PAR LE PS LES REPUBLICAINS.
ALORS QUE LE FRONT NATIONAL S’INSURGE CONTRE CETTE POLITIQUE D’ACCUEIL DES MIGRANTS.
QUE CES PARTIS POURRITIQUES QUI PRATIQUENT LA DISCRIMINATION DE LEURS CITOYENS PAR RAPPORT AUX MIGRANTS NE S’ETONNENT PAS DEMAIN DE NE PLUS AVOIR AUCUN MANDAT POLITIQUE.
NOUS VOTERONS TOUS EN MASSE POUR LE FRONT NATIONAL ET LES POURRITIQUES POURRONT PRESENTER LEUR CANDIDATURE AUX ELECTIONS DE SYRIE ET D’IRAK IL POURRONT LES AIDER DANS LEUR PAYS.
NOUS NE VOULONS PLUS DE CETTE POLITIQUE DE MERDE IMPOSEE PAR LA DICTATURE DE MERKEL.
voir le lien:
http://www.leparisien.fr/societe/fondation-abbe-pierre-la-france-compte-3-5-millions-de-mal-loges-03-02-2015-4500669.php
INTERACTIF. Fondation Abbé Pierre : la France compte 3,5 millions de mal-logés
Revenant sur 20 ans de politique du logement, le rapport de la Fondation Abbé Pierre fait un constat «douloureux» du mal-logement en France : 10 millions de personnes seraient en difficulté et le pays compterait 3,5 millions de mal-logés.
03 Févr. 2015, 00h41 | MAJ : 03 Févr. 2015, 14h47
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ILLUSTRATION. La Fondation Abbé Pierre fait un constat «douloureux» du mal-logement en France, dans son 20e rapport annuel rendu public mardi.
ILLUSTRATION. La Fondation Abbé Pierre fait un constat «douloureux» du mal-logement en France, dans son 20e rapport annuel rendu public mardi.
LP/Vincent Verier
Des centaines de milliers de ménages «aux portes du logement», une situation qui s’aggrave et des dispositifs d’aides défaillants et saturés : la Fondation Abbé Pierre fait un constat «douloureux» du mal-logement en France, dans son 20e rapport annuel rendu public mardi.
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VIDEO. Mal-logement en 2014 : le cri d’alarme de la Fondation Abbé Pierre
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Revenant sur 20 ans de politique du logement, ce rapport note que la crise frappe toujours aussi violemment les familles et laisse à la rue de plus en plus de gens.
Les chiffres en attestent : près de dix millions de personnes sont en situation de fragilité par rapport au logement, dont 3,5 millions mal-logés au sens strict, comme l’an dernier. (sans domicile, en chambre d’hôtel, en camping, dans des abris de fortune, des logements insalubres ou dans des conditions de logement très difficile).
Les expulsions n’ont pas fléchi. En 2013, 120.000 décisions d’expulsion pour impayés ont été rendues. Zahra, 52 ans, est dans ce cas, menacée d’être expulsée de son deux-pièces de 55 m2 où elle vit avec ses quatre enfants, pour des loyers impayés depuis un an et demi. Cette illustratrice-plasticienne indépendante qui n’a droit à aucune aide «n’arrive plus à joindre les deux bouts», depuis que son ex-mari, qui versait une pension alimentaire mensuelle de 2.700 euros, est brutalement décédé. «C’est la chute libre», dit-elle, en sursis jusqu’à la fin de la trêve hivernale.
La situation s’est aggravée également pour les plus exclus : le nombre de SDF a augmenté de 50% en dix ans, avec 141.500 adultes et enfants concernées en 2012. Et les profils se sont diversifiés : outre les familles, dont le nombre a bondi, on retrouve de plus en plus de jeunes à la rue, des demandeurs d’asiles, et des malades psychiatriques. «Les dispositifs d’aide ne sont plus adaptés et se sont engorgés», explique Manuel Domergue, directeur des études de la Fondation. Ainsi 1,8 million de ménages sont en attente d’un logement social, alors que seulement 450.000 sont attribués chaque année.
Réduire les nuitées hôtelières
De même 355.000 demandes d’hébergement pour SDF ont été formulées durant l’hiver 2013-2014 selon le baromètre du 115, mais seulement 140.000 places ont été attribuées. Et les familles sans domicile, en priorité hébergées à l’hôtel, notamment en Ile-de-France, se retrouvent aussi à la rue, car le dispositif, qui coute très cher, arrive à saturation. Une situation reconnue par le gouvernement, qui lance mardi «un plan triennal de réduction des nuitées hôtelières», «remplacées par des solutions plus pérennes», précise l’entourage de la ministre du Logement Sylvia Pinel.
«La mobilité ne se fait plus, les gens ont du mal à sortir des dispositifs d’aide», explique Manuel Domergue. Résultat, certaines personnes, désabusées, renoncent à demander de l’aide, préférant parfois rester dans un logement insalubre ou dormir dans la rue plutôt que d’appeler chaque soir le 115. «C’est un constat douloureux», dit le délégué général de la Fondation, Christophe Robert. «Les outils étaient calibrés en 1990, mais ça ne suit plus, en raison de la massification de la précarité.»
S’il remarque que plusieurs textes ont tenté d’améliorer la situation, comme la loi SRU obligeant les communes à produire du logement social ou la loi Dalo obligeant l’Etat à reloger les plus démunis, de nombreux «blocages» subsistent: une «crise du logement sous-estimée», des «politiques sociales du logement freinées par la rigueur», mais aussi «par l’idéologie» qui consiste à «accompagner le marché» plutôt que de le réguler. Sans compter «une politique territoriale défaillante et le poids des lobbys» de l’immobilier, insiste-t-il.
Selon lui, 2014 a été l’année de «renoncements profonds», avec le «détricotage de la loi Alur», notamment sur l’encadrement et la garantie universelle des loyers, qui ont été restreints. «Cela ne va pas dans le sens de la lutte contre les inégalités.»
«Le rapport pointe un changement de cap du gouvernement, mais les objectifs en termes de lutte contre le mal-logement restent les mêmes», assure l’entourage de la ministre.
D’abord des travailleurs qui rentraient chez eux une fois le travail terminé, puis des travailleurs qui restaient même après avoir perdu leur travail, puis le rassemblement familial, ensuite étendu aux cousins, puis aux grands parents, puis quelques bateaux un été à Lampedusa, puis chaque été de plus en plus de bateaux dans de plus en plus de ports, puis cette année ils sont venus massivement aussi par la terre.
On peut donc prévoir bien plus d’un million l’été prochain puisque l’augmentation est exponentielle.
C’est la technique de la grenouille cuite: si on plonge une grenouille dans l’eau bouillante, elle se brûlera et sautera directement hors de l’eau, mais si on la plonge dans l’eau froide et qu’on augmente la température petit à petit, elle sera cuite sans qu’elle s’en rende compte.