Incompréhensible. Pour mettre fin à un système de notation jugé traumatisant, Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, a la solution : un nouveau bulletin scolaire. Mais quel bulletin scolaire ! Il ne s’agit plus de noter les connaissances disciplinaires (français, maths, histoire…) mais les compétences « transversales » que l’élève doit acquérir au cours de sa scolarité, par exemple « les systèmes naturels et les systèmes techniques ». Ces compétences seront évaluées sur une échelle allant de 1 à 4 au primaire, puis de 1 à 5 au collège à laquelle s’ajouterait une notation sur 20. « Une note n’est qu’une indication, elle permet à l’enseignant d’aider l’élève à se corriger », rappelle pourtant à juste titre l’essayiste Jean-Paul Brighelli, auteur de Liberté - Égalité - Laïcité, dans nos pages. Ce nouveau bulletin scolaire sera présenté demain par la ministre pour une application prévue à la rentrée 2016.
Source : Newsletter de Valeurs Actuelles

C’est surtout fait avec l’intention de baisser le niveau. Faire une nation d’abrutis maniables et manipulables à souhait. Tous devant M6 le soir les petits gars, pas de problème! Soyez des bons petits Charlie.
pour plus d’informations
http://www.bfmtv.com/societe/ecole-college-decouvrez-a-quoi-va-ressembler-le-nouveau-bulletin-de-notes-918674.html
Bon… Ce que peut concocter Belkassine et les crânes d’œufs débiles qui l’entourent dans son ministère, c’est le gloubi-boulga de Casimir le dinosaure. Il est évident que les socialistes (disons : la caste politique, droite molle incluse) ont cassé l’école de manière définitive. Il faudra bien un jour la reconstruire, sur des bases saines, en plaçant les savoirs au centre de l’apprentissage, et en laissant de côté les ridicules “compétences transversales” dont personne ne sait en quoi elles consistent.
Mais enfin, nous subirons les socialistes jusqu’en 2017 en étant optimiste, peut-être jusqu’en 2022 en étant réaliste, à moins que l’on ne doive subir la droite molle qui n’a aucun courage pour affronter le Mammouth. Quoi qu’il en soit, nous allons connaître une période de stagnation de l’instruction publique assez proche du niveau zéro, avec les conséquences que l’on devine. Une génération aura été sacrifiée sur l’autel de l’idéologie. C’est plus que dramatique, c’est tragique.