Qui se cache derrière le « Réseau Syrien des Droits de l’Homme » ?

« La première victime de la guerre, c’est la vérité », aurait affirmé Rudyard Kipling. Un constat particulièrement vrai dans le cas tragique de la Syrie. Je propose dans cet article de déconstruire la validité d’une série de graphiques abondamment relayés dans les médias occidentaux ces derniers jours et qui tendraient à prouver le caractère unilatéralement criminel de l’action de Bachar Al-Assad dans la guerre.

Suite

3 commentaires

  1. Posté par C. Donal le

    Absolument Geronimo. Et en plus, revoilà George Soros !

  2. Posté par Geronimo le

    Que vient faire la Suisse dans ce financement? Qui en a décidé?

  3. Posté par Pehem Veyh le

    C’est bien ce qui me semblait. C’est édifiant et démontre, une fois de plus, que la vile crapule de Soros en est à nouveau partie prenante !

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.