Genève a prévu de recevoir 80 réfugiés dans le cadre d’un programme pilote financé par Berne. Rencontre avec les premières familles.
Un peu en recul, Wajiha, 67 ans, observe la scène avec calme. Trois de ses douze enfants et treize de ses petits-enfants sont arrivés avec elle à Genève à la mi-janvier; un fils, une fille et leurs cinq enfants quittent la Syrie demain pour les rejoindre.
D’une part, la Confédération leur a reconnu le statut de réfugiés avant leur départ et un permis B (ndlr: autorisation de séjour) leur a été remis directement à leur arrivée. Des démarches administratives qui prennent aujourd’hui plusieurs années pour un requérant d’asile en Suisse, «l’attente de statut est très dure et démoralisante, relève Pierre Gerber. Nous avons voulu leur permettre de mettre toute leur énergie dans l’intégration.» Côté pratique, ils sont hébergés dans un logement indépendant
Les familles palestiniennes viennent de recevoir un titre de voyage. Pour la première fois, chacun détient un document lui permettant de traverser les frontières voire de rendre visite à ses proches dispersés aux quatre coins du monde. Une pointe de jalousie obscurcit le regard de Ramzi: «Moi, je ne peux même pas aller rendre visite à mes amis qui habitent en France voisine…»
Quant à l’avenir? «Dieu nous le dira», répond Wajiha alors que son fils commence à dresser la liste de ses souhaits: apprendre le français, s’adapter, connaître des gens, trouver un travail, un appartement. Mais dans l’immédiat, il s’agit de préparer une grande fête pour accueillir les membres de leur famille qui les rejoignent enfin le lendemain après des mois de séparation. La liste des mets à cuisiner est aussi longue que celle des invités.
Pas de défaitisme. Vous n’avez aucune idée des possibilités infinies et des pouvoirs quasi-surnaturels de la balistique et de la pyrotechnie, surtout si ces pouvoirs et ces possibilités sont appliqués aux « promoteurs » des problèmes que nous subissons aujourd’hui.
Et la “reconquista” continue……. Dans quelques lustres c’est nous qui devrons émigrer ……
Vous qui êtes encore jeunes commencez à chercher les pays qui ne seront pas conquis par l’Islam, si vous voulez continuer à vivre selon vos valeurs. Pour nous les plus vieux c’est foutu, nous n’avons plus qu’à espérer de crever avant de voir la fin de notre civilisation. Je ne me fait plus aucunes illusions; nous allons droit dans le mur.
On aurait pu échapper à cette tragédie annoncée si nous avions accordé à ces personnes un accueil provisoire avec des contrats dument signés avec l’engagement qu’ils s’en iront une fois la situations revenu au calme dans leur pays, même si c’est dans 10-20 ou 30 ans. Pas questions de mettre des racines chez nous. A’ cette condition j’aurais été d’accord d’accueillir chez moi même des Musulmans. Je ne suis pas sans cœur, par contre eux oui à cause de leur foutu secte et il ne s’embarrasseront pas de nous dicter leurs lois dès qu’ils seront en nombre suffisant. S’il y avait un “turnus” dans l’accueil des réfugiés les gens seraient beaucoup plus tolérants et auraient de nouveau le goût de la solidarité. Nous avons peur car nous, contrairement à nos polititiens-marionnettes, nous voyons clair.
En fait, si j’ai bien compris, Genève reçoit une seule famille, et ils sont 80 ! Dans 5 ans, ils seront 250 ?