Et voilà. L'Allemagne ouverte et généreuse de Mme Merkel, affirmant il y a une semaine encore que les hordes de migrants étaient bienvenues, vient de réinstaurer "temporairement" les contrôles aux frontières et donc de suspendre de facto sa participation à l'Espace Schengen. Et bien que cela ne fasse pas autant les gros titres des journaux, la République Tchèque a eu la même réaction.
Peu de gens posent la question du pourquoi. L'explication tient en deux temps. Premièrement, les autorités allemandes sont submergées. Plus de dix-sept mille migrants sont arrivés à Munich ce week-end, soixante-trois mille depuis le 31 août. On ne sait plus où les mettre. Deuxièmement, les migrants entrent en Allemagne à travers la frontière autrichienne, c'est-à-dire en Bavière, une zone traditionnellement dévolue à la CDU-CSU - qui ne veut pas de cette marée humaine - alors que les appels à une répartition entre Länder allemands restent vains.
Réalisant qu'elle était en train de dynamiter sa propre base électorale, la Chancelière fit brutalement machine arrière. La fête est finie, titre la presse, mais les dégâts sont là.
Déni de réalité
Face à un tel revirement il y aura toujours des croyants imperméables à toute réalité (mettez le gouvernement suisse en place d'honneur) pour ne pas comprendre que la Chimère de la libre-circulation est morte. Les spin doctors sont en alerte rouge ; ils ont déjà commencé à travailler l'opinion publique au corps pour expliquer que tout cela ne signifie rien en réalité, que nous n'assistons qu'à une fermeture temporaire de certaines frontières comme entre l'Allemagne et l'Autriche et que cela ne concerne que les réfugiés syriens, donc finalement - insérez une petite quinte de toux ici - tout ceci n'est qu'un petit écueil sur la voie de l'unité européenne pure et parfaite et voilà, hum, bon, on ne va pas en faire un fromage non plus.
En vérité, divers mensonges à l'intention du bas-peuple viennent de se fracasser sur le mur de la réalité.
Dans quel tiroir est partie se cacher la fable de ces travailleurs syriens hautement qualifiés, ce capital humain prêt à contribuer aux régimes socio-démocrates européens, qui sauveraient notre natalité et nos retraites par répartition? Tout d'un coup l'apport de richesse était tellement énorme, on nageait dans la prospérité, c'était un peu trop fort, il fallait y mettre le holà, c'est cela? Une croissance allemande trop vigoureuse aurait gêné ses partenaires plus prudents ou moins attractifs? Hum, pas vraiment.
La fable s'évacue sans doute dans le même égout que les belles déclarations invoquant la solidarité universelle européenne et le devoir d'assistance sans limite à toute la misère du monde, qui n'était pas plus tenable à défaut d'être crédible.
Oui, la politique allemande de la porte ouverte aura tenu une semaine. Une semaine de trop. Une semaine d'espoirs illusoires pendant laquelle se jetèrent sur les routes des dizaines de milliers d'immigrants économiques - au point de quitter leurs camps en Turquie et au Liban - pour caresser le rêve absurde d'un Pays de Cocagne chanté par Mme Merkel-la-généreuse. Même des Algériens. Et le gros de la troupe est encore en transit, notez bien. Ce trop-plein va être un tout petit peu plus difficile à gérer.
Qui commande en Europe
Mme Merkel a le droit de changer d'avis. Elle use d'ailleurs de cette liberté avec abandon. N'affirmait-elle pas en 2010 que le modèle multiculturel allemand avait "totalement échoué"? Puis il y a une semaine que l'Allemagne était un "pays d'espoir" pour les migrants? Avant de laisser dimanche un de ses ministres dire que le contrôle des frontières extérieures de l'UE est un "échec complet"?
Pouvoir dire une chose puis son contraire sans jamais être pris en défaut est sans doute la marque des grands politiciens ; Angela Merkel est bien au-delà. Elle prône des positions incompatibles simultanément. L'Espace Schengen est à la fois un pilier indiscutable de la construction européenne et un mécanisme à suspendre la veille d'un sommet européen. Il faut accueillir en Allemagne les réfugiés par charité chrétienne mais en même temps forcer les autres pays de l'UE à faire de même. Il faut sauver le peuple syrien mais aussi tenir fermement les frontières extérieures de l'Espace Schengen. Les migrants sont une chance pour l'Allemagne, toutefois on ferme les frontières parce que trop c'est trop. Quel talent!
Qu'on imagine le scandale et l'indignation continentale si la même décision de fermer une frontière avait été prise par, disons, la Pologne! Mais lorsque l'Allemagne fait entendre sa voix, chacun se tait. La décision unilatérale de l'Allemagne et l'absence de critique qui en résulte montrent aux yeux de tous, s'il en était encore besoin, qui commande réellement l'Union Européenne.
Le nain de jardin rouge à croix blanche
La liberté d'action que s'autorise l'Allemagne en suspendant unilatéralement les Accords de Schengen renvoie douloureusement à la veulerie du gouvernement suisse face aux décisions votées démocratiquement par le peuple helvétique.
Depuis des années la Suisse subit une immigration dix fois supérieure à ce qui était prévu lorsque la population décida - avec une grande naïveté - d'adhérer à l'espace de libre-circulation européen. Depuis, deux initiatives majeures, le renvoi des criminels étrangers et le rejet de l'immigration de masse, sont passées par là ; les deux impliquent clairement un retour de la surveillance des frontières.
Mais ni l'immigration européenne incontrôlée subie par la Suisse depuis des années, ni les votations populaires, ni l'urgence de la déferlante migratoire en provenance d'Afrique et du Moyen-Orient n'ont changé d'un iota la trajectoire voulue par le Conseil Fédéral. La libre-circulation et l'appartenance à l'Espace Schengen doivent être maintenues à n'importe quel prix.
Samedi encore, par le biais de sa présidente Simonetta Sommaruga, le gouvernement suisse se réjouissait de participer au mécanisme de répartition des réfugiés, alors même que la Suisse n'est pas membre de l'Union Européenne et que rien ne l'y oblige.
Un futur, plusieurs impasses
L'Union Européenne est en proie à une contradiction insoluble entre un espace de libre-circulation idéologiquement crucial à sa construction, et une masse virtuellement infinie de migrants se pressant à ses portes.
L'Allemagne souhaite perpétuer "l'esprit de solidarité et d'ouverture" de l'Union Européenne à travers un projet de répartition contraignante des migrants. Selon sa population et sa richesse, chaque pays de l'Espace Schengen aurait l'obligation de prendre en charge, non une certaine quantité de migrants, mais une certaine proportion de migrants. Soit par exemple, pour un pays donné, 30'000 migrants s'ils sont un demi-million à entrer en Europe... Et 300'000 s'ils sont dix fois plus nombreux.
Sachant que l'Allemagne décide, la pression sera forte pour adopter ce programme. La réticence des pays d'Europe de l'Est semble pour l'instant résolue. Mais quelles que soient les joutes politiques la faiblesse fatale de ce plan tient dans sa construction même: comment forcer des centaines de milliers de migrants à s'installer dans des pays dont ils ne veulent pas? C'est précisément la base de ce qui les a jetés sur les routes en direction de l'Allemagne!
Si la répartition des migrants est un objectif contraignant pour les membres de l'Espace Schengen, la contrainte vaudra également pour les migrants eux-mêmes. L'Europe de demain va être belle à voir: camps d'internement, collecte systématique d'empreintes génétiques, relocalisation sous bonne garde de milliers de personnes dans leur pays d'attribution... Le tout alors que le business des passeurs sera florissant à l'intérieur même de l'Europe.
Dans tous les cas et en particulier pendant que les discussions à haut niveau s'éternisent, l'Espace Schengen tels que nous l'avons connu est mort. Dans les plus brefs délais, davantage de frontières seront gardées et il faudra à nouveau sortir des documents d'identité à l'intérieur de l'Union.
Le gouvernement suisse continuera-t-il à être le seul et dernier bon élève de la libre-circulation, quoi qu'il en coûte au pays? Réponse le soir du 18 octobre.
Stéphane Montabert - Sur le Web et sur Lesobservateurs.ch, le 14 septembre 2015
Tout à fait, abroger Schengen. Ne surtout pas le renégocier je suis bien d’accord, ça limiterait l’entrée de cette racaille, il faut des mesures militaires, cette racaille ne comprend que comme cela
Wait and see … La période émotionnelle passée, ces migrations sauvages constitueront une vraie problématique de vie, avec le renforcement des communautarismes, les exigences islamiques, la finalité camouflée d’anéantir le mécréant, de dominer non seulement l’Occident, mais la Planète. Mais attention, les communistes, les nazis avec leurs rêves de dictature pour mille ans ont été enterrés avec comme testament des dizaines de millions de victimes. Tragiquement, l’Histoire se répète.
Faut-il vraiment s’étonner de ma montée en puissance exponentielle des extrêmes-droites ? NON, ce n’est que la conséquence logique voire nécessaire (pourtant fausse) de la faiblesse de peuples avachis par le pouvoir médiatique aux ordres, le “politiquement incorrect, s’abstenir”., par cette Realpolitik d’élites traîtres, au minimum, vendues au fric et à l’ego, au maximum.
L’envahissement de l’Europe par l’Islam est un crime historique, dans la mesure où l’Islam décime les Chrétiens. L’Histoire – par exemple le 12 septembre 1683 à Vienne – rappelle que LA CROIX est un symbole de civilisation millénaire.
En Suisse, en Occident, le silence, l’inertie des musulmans trahit-elle une peur ou une complicité face aux crimes islamiques au Levant ?
L’Allemagne si conviviale a fait un retour à 180 °. Il fallait vivre la gabegie à Munich. L’Allemagne va se réveiller des fantasmes d’une Chancelière inconsciente, faisant crever le peuple de Grèce, mais acclamant les hordes de faux réfugiés, alors que les vrais miséreux, les damnés de la Terre, sont restés en Syrie, en Afghanistan.
Une image m’a frappé dans ce flux télévisé de “migrants”, réfugiés”, celle de cette jeune femme très voilée, pourtant en super mini-jupe, avec ses enfants, entre la Serbie et la Hongrie. De qui se moque-t-on ?
Il est temps d’adopter la politique australienne, vraiment en faveur des vrais malheureux.
Si vous n’avez pas compris pourquoi les mecs mahométans envahissent GB, Suède, Allemagne:
http://www.eutimes.net/2015/09/arab-migrants-promised-free-blonde-swedish-girls-by-people-smugglers/
La charia ordonne de violer les chrétiennes: c’est donc la loi des juges étrangers, et donc la justice fait plus rien concernant les milliers de viols en GB, Suède, Allemagne…
http://www.eutimes.net/2015/09/muslim-migrants-should-breed-with-europeans-to-conquer-their-countries-top-imam/
L’UDC ferait donc mieux de lancer une initiative populaire interdisant totalement la charia qu’une initiative populaire interdisant le voile à l’école!
Cela découragerait peut-être les migrants…
A Anne Lauwaert,
Oui, je suis d’accord avec vous, mais pour renvoyer chez eux des migrants, il y a refus des pays d’origine et avec nos lois humanistes, nos politiques lâches et frileux, les migrants resteront et vivront du social et de délinquance.
Il y a eu une stratégie d’immigration forcée ( il y 20 ans) d’Africains Subsahariens . En ce temps , il n’y avait pas de visas . Ils prenaient l’avion à Bamako, au Sénégal, en Zambie etc…et détruisaient leurs passeport dans les toilettes de l’avion.
Arrivés à Genève ou Zurich, ils refusaient de donner leur pays d’origine, ce qui rendait impossible leur expulsion. Je connais quelques Africains à Genève et Lausanne et à Genève qui m’ont raconté comment ils ont réussi à obtenir leurs papiers. L’administration Suisse , ne trouvant pas de solution d’expulsion, se lassait et leur donnait les papiers pour qu’ils puissent travailler et ne pas sombrer dans la délinquances.
La Suisse a fini par trouver le remède grâce à un accord très discret avec le Roi Hassan deux ( Maroc)
On les mettait de force dans un avion pour le Maroc où ils disaient tous leurs nationalité d’origine car ils n’avaient aucune envie de rester au Maroc, ( car seule l’Europe les intéresse pour des raisons qu’il serait long d’exposer ici), et on les ramenait chez eux. Ces dispositions ont permis l’arrêt de cette immigration “spéciale”. Sans cela , la Suisse aurait été submergée, Africanisée et je vous laisse deviner les conséquences …
Actuellement , des dizaines de milliers de migrants d’Afrique noire arrivent par le Sahara dans le nord de l’Algérie. Ils font simplement une pause, travaillent illégalement pour avoir de quoi financer le voyage vers l’Europe. Vu le nombre, les nuisances, la délinquance à Alger , le gouvernement Algériens les ramène par Bus aux frontières du Sahara.
J’ai lu avec plaisir ce commentaire de Mr Montabert.
Ayant passé une partie de ma vie en Afrique et dans plusieurs pays Arabo-Musulmans, je tiens à apporter quelques informations.
Déjà Schengen . S’il est souhaitable que les citoyens Européens puissent circuler librement en Europe , cela est naturel car c’est leur maison commune, et nous avons la même histoire, des modes de vies et valeurs semblables, pas de problèmes religieux, ethniques, politiques, économique, civilisationnels etc…Le problème , c’est d’avoir étendu ce droit aux étrangers non Européens qui théoriquement devaient entrer dans l’espace Schengen légalement pour avoir le droit de circuler. Mais l’arrivée massive par l’Espagne puis la Grèce et l’Italie ( Africains, arabes, Pakistanais, asiatiques etc…) dans une Europe passoire va faire exploser l’Europe.
Grave erreur de nos technocrates qui ont confié à la Grèce et l’Italie les clefs de la maison.
La naiveté et la méconnaissance des causes profondes de cette invasion naturelle aura des conséquences dramatiques pour les Européens car tous ces migrants vont rester.
Nos états démocratiques chapeautés par des humanistes, juristes, légalistes tiennent à respecter la loi, les accords signés sans tenir compte des réalités élémentaires, ni de la volonté populaire.
On a eu la preuve avec Merkel qui partant de bons sentiments généreux a vite changé d’avis car elle a compris qu’elle allait à la catastrophe. Cela ne l’empêchera pas de vouloir imposer à la Suisse (et aux pays de l’est) des migrants Africain-Arabo Musulman pour l’enfoncer dans des problèmes ingérables qui vont la détruire …au nom des grandes idées humanistes et la logique Européenne d’immigration.
Ayant vécu dans ces pays où l’Europe fascine, représente la prospérité, la réussite, un Eden ( surtout en Afrique noire ), des millions de personnes attendent l’occasion depuis longtemps d’émigrer en Europe sans retour.
Il y a 35 ans , je posais la question à des enfants Maliens , Kenyans etc…” quel métier voudrez vous faire quand vous serez grands ?” la réponse était unanime ” aller habiter en France”. J’avais été très étonné et j’ai compris que la France et l’Europe , c’était papa Noel, l’abondance, la joie, le savoir, la réussite etc…
Si on ouvrait les frontières 24 heures aux jeunes Africains , l’Afrique se viderait.
Et cela date de plusieurs décennies…
Cela pour expliquer que ces guerres, ce désordre est pour ces migrants ( excepté les très rares vrais réfugiés politiques) une occasion à ne pas rater en ce moment pour tenter leur chance d’obtenir le statut ou les papiers pour rester en Europe. C’est pourquoi Mr Sarkosy propose un statut de réfugié de guerre pour un retour au pays dès la fin du désordre . Un réfugié politique aime son pays au point de donner sa vie. Il retournera dès que possible construire son pays. Ces “soit disant réfugiés politiques” n’ont qu’une adresse en tête : les pays prospères, riches généreux dont l’Allemagne. Ils ne veulent pas rester dans les pays limitrophes où ils sont en sécurité. Cela démontre que ce sont des migrants économiques qui attendaient l’occasion de puis longtemps pour une vie meilleure. C’est pourquoi, il ne repartiront jamais .
C’est triste, une vraie malédiction pour l’europe lâche, l’
Schengen ne pouvait fonctionner que si tout le monde jouait le jeu. Abolir Schengen ne peut fonctionner que si tout le monde joue le jeu. Mais ATTENTION ! il ne s’agit en aucun cas “d’obliger les “chercheur de vie meilleure” de se fixer dans un pays qu’ils ne veulent pas”, il s’agit de les ramener dans leurs pays d’origine – immédiatement – Pour ça il faut tout d’abord qu’ils comprennent qu’ils ont été trompés ensuite ils doivent expérimenter qu’on ne les veut pas et surtout que le travail qu’ils cherchent n’existe pas, qu’ici ils sont des mendiants que nous n’avons pas les moyens de les entretenir, ni de payer leurs soins médicaux ni leurs études parce que nos pays sont au bord de la faillite. Ca il faut le leur montrer, sinon ils ne vont pas le croire. Ensuite, nous devons les aider à rentrer chez eux dignement car eux ne peuvent pas perdre la face devant leurs familles, tribus ou clans en avouant que leur voyage a été un échec. Nous avons vu comment ont évolué les camps de Palestiniens, nous ne pouvons pas installer des camps de réfugiés chez nous, ni pour les réfugiés ni pour nous. Il n’y a qu’une solution: les ramener chez eux, immédiatement. Quant aux personnes qui “défendent les réfugiés”, il faut les obliger à prendre eux-mêmes des réfugiés dans leur famille à leur domicile. A commencer par conduire des familles de réfugiés au domicile des madames Ruth Dreyfus ou Sommaruga. Vous rencontrez un de ces malheureux en rue? Prenez-le pas la main et allez sonner chez Ruth ou Simonetta ou Angela en leur disant “Vous devez être plus ouverte et vous devez le laisser entrer et vous devez le garder.”
Croyez-moi, je l’ai fait et c’est une expérience qu’on n’oublie pas.
Elle n’a pas attendu les délibérations toutes “démocratiques” du Parlement européen? Une vraie fasciste grand Ma Merkel. Elle fout le feu, puis compte sur les autres pour éteindre ses propres flammes.
Le plus honteux dans cette affaire est que les grands bénéficiaires du traité de Schengen, dont font partis les pays de l’Est, sont ceux qui tournent la veste lorsqu’il faut faire preuve solidarité. L’Europe n’existe pas, elle est l’illusion d’un groupe de technocrates qui tournent leur veste à l’approche d’élections.
http://www.svp.ch/aktuell/medienmitteilungen/svp-fordert-bundesrat-mit-brief-zum-sofortigen-handeln-auf/
Art. 266 du Code Pénal Suisse
Atteinte a l’indépendance de la Confédération
1. Celui qui aura commis un acte tendant
à porter atteinte à l’indépendance de la Confédération ou à mettre en danger cette indépendance,
ou à provoquer de la part d’une puissance étrangère, dans les affaires de la Confédération, une immixtion de nature à mettre en danger l’indépendance de la Confédération,
sera puni d’une peine privative de liberté d’un an au moins.
2.1 Celui qui aura noué des intelligences avec le gouvernement d’un Etat étranger ou avec un de ses agents dans le dessein de provoquer une guerre contre la Confédération sera puni d’une peine privative de liberté de trois ans au moins.
Dans les cas graves, le juge pourra prononcer une peine privative de liberté à vie.
1 Nouvelle teneur selon le ch. I de la LF du 5 oct. 1950, en vigueur depuis le 5 janv. 1951 (RO 1951 1 16; FF 1949 I 1233).
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Les citoyens suisses avons donc le devoir de désobéissance au vu de l’actualité ! Nous avons le devoir de condamner notre gouvernement actuel qui devient criminel !
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Extraits de notre constitution :
Art. 2 But
1 La Confédération suisse protège la liberté et les droits du peuple et elle assure
l’indépendance et la sécurité du pays.
2 Elle favorise la prospérité commune, le développement durable, la cohésion interne
et la diversité culturelle du pays.
3 Elle veille à garantir une égalité des chances aussi grande que possible
—(Je répète là le point 1 – 1 La Confédération suisse protège la liberté et les droits du peuple et ELLE ASSURE L’INDEPENDANCE ET LA SECURITE DU PAYS !!!!!- Or la confédération met sciemment en danger l’indépendance et la sécurité du pays et de ses citoyens !!!)—
Art. 16 Libertés d’opinion et d’information
1 La liberté d’opinion et la liberté d’information sont garanties.
2 Toute personne a le droit de former, d’exprimer et de répandre librement son opinion.
3 Toute personne a le droit de recevoir librement des informations, de se les procurer
aux sources généralement accessibles et de les diffuser.
Art. 26 Garantie de la propriété
1 La propriété est garantie.
2 Une pleine indemnité est due en cas d’expropriation ou de restriction de la propriété
qui équivaut à une expropriation.
Les gouvernements communistes, quel que soit le nom qu’ils se donnent, sont depuis toujours adeptes de la relocalisation des citoyens selon le bon vouloir de l’état.
C’est d’ailleurs actuellement un projet au niveau mondial, afin d’en finir avec l’homogénéité ethnique et culturelle de toutes les nations.
Ainsi par exemple les Blancs se verront proposer, se voient déjà d’ailleurs, un travail au Sénégal ou au Cambodge afin de les déraciner également et de multiculturaliser aussi l’Afrique, qui commence à l’être déjà avec l’exportation par la Chine de ses travailleurs, ainsi que l’Asie qui devrait bientôt recevoir son contingent d’Africains.
Et quand je dis “se verront proposer”, il faut bien entendu comprendre “seront forcés”.
Le honteux traité de Schengen, hélas, n’est pas mort pour autant. Soyons sûrs que les délires qui président à la construction du conglomérat européen sous diktat allemand ne tomberont pas devant le principe de réalité. Comme toujours, la réalité heurte l’idéologie, mais celle-ci se nourrit de ses propres fantasmes, relayés par des castes politico-médiatiques serviles. On ne fait donc que suspendre pro-vi-soi-re-ment les fatales dispositions du traité (même si c’est au grand dam de notre imbécile de Cazeneuve), mais si l’on parvient à ventiler les envahisseurs dans d’autres pays d’Europe, le traité sera de nouveau appliqué. La seule solution : ne pas le renégocier, seulement l’abroger.
Maintenant, la faute politique de Merkel a été immédiatement sanctionnée par le chaos en Bavière ; mais aucune disposition n’est prise pour faire cesser la fascination des aumônes du “social”, ce qui veut dire : le phénomène sera récurrent, le torrent ne tarira pas, tout sera toujours à recommencer. Sauf si les peuples d’Europe imposent à leurs gouvernements et à l’UE des mesures de salut public, parmi lesquelles des mesures militaires.