Un parti politique dont on n'entend jamais parler - pourquoi ?
François ASSELINEAU est né le 14 septembre 1957 à Paris.
Bachelier scientifique mention Très Bien, Diplômé d’HEC Paris en 1980, il a été reçu au concours d’entrée à l’ENA à l’issue de son service national en 1982.
Sorti deuxième de la voie d’administration économique en 1985 (Promotion Léonard de Vinci), il a choisi le grand Corps de l’Inspection générale des finances.
Il a notamment été chargé de mission auprès du Président du Crédit National puis chef du bureau Asie-Océanie à Bercy avant d’être appelé, en 1993, comme conseiller pour les affaires internationales au cabinet de Gérard Longuet, ministre de l’Industrie et du Commerce extérieur du gouvernement Balladur.
En juin 1995, il devient directeur du cabinet de Françoise de Panafieu, ministre du Tourisme, dans le gouvernement Juppé
Il est actuellement président du parti de l'Union Populaire Républicaine (UPR)
.
Merci à Anne Lauwaert
un parti politique dont on n'entend jamais parler - pourquoi ?
la question que je me pose: quand et qu’est-ce qui va être l’élément déclencheur ?
Pour enfoncer le clou:
Entre Ukraine et GCM, l’Europe en lambeaux
“Never say never” disent les très-sages Britanniques. Cette fois, pourtant, le mot “jamais” est proche d’être complètement approprié, mais dans le sens où l’on pourrait dire que l’Europe “unie” de force et d’une main de fer par diverses entourloupettes antidémocratiques et politiciennes à l’échelon européen depuis plusieurs années ne s’est jamais développée et trouvée d’une façon aussi profonde dans le désordre et la division qu’elle l’est actuellement.
Sa situation générale crisique est devenue diverse, chronique, structurelle, les crises proliférant comme sont les mauvaises herbes ou les métastases … Le Never say never s’applique donc à l’Europe telle qu’elle a été faite et telle qu’elle s’est faite, jusqu’à se découvrir comme une sorte d’Orque totalitaire durant la crise grecque. Auparavant, dans la crise ukrainienne, elle s’était montrée arrogante, gonflée comme une outre d’hybris bureaucratique, et bientôt emportée par les oligarques ukrainiens madrés et habiles dans un déterminisme-narrativiste antirusse qui confine à la folie. Les pays-moteurs exprimant le sentiment européen profond tel qu’il avait été fabriqué et authentifié dans la bureaucratie bruxelloise, et donc la gloire de l’Europe, se trouvaient être les pays de l’Est de l’Europe (ex-communistes), notamment les pays baltes et surtout la Pologne. Et soudain tout bascule… Ces pays deviennent des “dissidents” lorsqu’il s’agit de la Grande Crise de la Migration, et “jamais” l’on a vu des renversements aussi complets aussi rapides, des oppositions aussi déchirantes suivant des ententes soudées par la force des automatismes, dans un ensemble de pays unis par, – comment disent-ils ? – ah oui, un “projet fédérateur”.
La suite:
http://www.dedefensa.org/article-entre_ukraine_et_gcm_l_europe_en_lambeaux_06_09_2015.html