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Hélas Vautrin, ce ressort de rébellion est rompu.
L’oscillation entre servitude et licence n’existe plus quand le principe de la loi est devenu la licence, la transgression.
L’oscillation est aujourd’hui entre soumission à la transgression de la loi naturelle et rébellion meurtrière terroriste.
Dans l’esprit d’un nombre croissant de jeunes c’est la seule alternative.
Comment les jeunes pourraient-il avoir l’idée de la civilisation quand depuis des dizaines d’années l’universalité de la loi régresse à un foisonnement de droits de minorités?
Le mariage homo est exemplaire du passage de la loi universelle du mariage à un droit de minorité, c’est à dire un droit qui n’est pas selon la justice mais l’intérêt.
En un sens Daech est l’enfant du mariage homo et nous n’avons pas fini de constater que ce n’est pas qu’une métaphore.
Le sentimentalisme répugnant qui domine a nécessairement comme corollaire le meurtre.
Le combat de l’occident corrompu contre Daech est celui de la peste contre le choléra.
Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas le mener mais il n’y a aucune chance de retrouver ainsi la santé.
Cet état de tyrannie (et non de dictature), parfaite a été décrit par Alexis de Tocqueville vers 1832. Dans “De la Démocratie en Amérique” il souligne le fait que l’administration est le moyen pour ceux qui se sont emparés de l’État d’asseoir leur domination en privant les citoyens de leur autonomie. « On comprend que la centralisation gouvernementale acquiert une force immense quand elle se joint à la centralisation administrative, écrit-il. De cette manière elle habitue les hommes à faire abstraction complète et continuelle de leur volonté ; à obéir, non pas une fois sur un point, mais en tout et tous les jours. Non seulement elle les dompte par la force, mais encore elle les prend par leurs habitudes ; elle les isole et les saisit ensuite un à un dans la masse commune. » Plus loin : « (…) je pense que la centralisation administrative n’est propre qu’à énerver [au sens étymologique : priver de nerfs, nda] les peuples qui s’y soumettent, parce qu’elle tend sans cesse à diminuer parmi eux l’esprit de cité. » et : Tocqueville avait parfaitement saisi les conséquences sur l’esprit du citoyen assujetti : « les plus grands changements surviennent dans son pays sans son concours », il perd tout intérêt à la gestion de sa commune, de sa patrie, il finit par se désintéresser de lui-même, puisque l’administration le gère. « Ce désintéressement de soi-même va si loin que si sa propre sûreté ou celle de ses enfants est enfin compromise, au lieu d’éloigner le danger, il croise les bras pour attendre que la nation tout entière vienne à son aide. » Mais, paradoxalement, parce que la Personne résiste tout de même à l’assujettissement, « cet homme, du reste, bien qu’il ait fait un sacrifice si complet de son libre-arbitre, n’aime pas plus qu’un autre l’obéissance. Il se soumet, il est vrai, au bon plaisir d’un commis ; mais il se plaît à braver la loi comme un ennemi vaincu, dès que la force se retire. Aussi le voit-on sans cesse osciller entre la servitude et la licence. » Cette dernière remarque est intéressante : il existe toujours un ressort de rébellion.
Oui Renaud. Les “nouvelles” spiritualités étaient très prisées ces 40-50 dernières années, jusque dans la formation continue souvent obligatoire. Quelle n’a pas été ma surprise de lire Pierre Hillard mentionner Helena Blavatsky (1831-1891), dont les concepts sont un des socles des croyances des doux rêveurs d’aujourd’hui. On est bien loin de la “liberté avant-gardiste” dont s’ennoblissent les “créateurs d’une nouvelle terre”.
@ Aude : l’esprit qui se croit libre tandis que les autres seraient aliénés est précisément l’esprit aliéné que cherche à créer le système. La plupart des adversaires du système en sont les idiots utiles, par exemple les nouvelles spiritualités.
Une prison sans murs de pierre où les murs sont mental !
Certes, à la différence que dès que l’on en prend conscience..quand bien même dans le système, l’esprit peut rester libre..