NDR. La Cour suprême des USA à donc décidé il y a quelques jours de la légalité du mariage gay dans tous les Etats des USA. La présidente de la cooordination genevoise des associations LGBT a été s'inspirer des méthodes utilisées aux USA étant donné que le système politique suisse est très "lent" !
Espérons que ces associations ne provoqueront pas la même ruine d'une famille propriétaire d'une pâtisserie et parents de 5 enfants, comme cela a été le cas aux USA, parce qu'elle a refusé de préparer un gâteau pour le mariage de deux lesbiennes. Le père a trouvé une place comme éboueur.
Résultat de ce refus : ordre de fermer le magasin et 135.000 $ d'amende, soit la ruine, si ce n'était un immense mouvement de soutien financier par le WEB qui permettra peut-être d'éviter le pire. Les auteurs des articles qui nous informent de cette "méthode" américaine ont inventé un nouveau vocabulaire : "Gaystapo" ou "Gestapo gay".
Espérons que l'inspiration américaine de nos associations ne sera pas trop aveuglée par le côté effectivement expéditif de certaines méthodes américaines.
Lien vers l'article déjà publié sur Lesobservaterus.ch sur la violence de l'attaque contre cette famille qui risque la ruine pour refus de préparation d'un gâteau lesbien, ici
L'émission Forum de la RSR du 17 juillet 2015 :
GAY est un acronyme : guy as you (un type comme toi). Le terme a été lancé aux Etats-Unis pour distiller l’idée qu’on pouvait être homo ou hétéro comme comme on pouvait préféré le tennis ou le rugby …
Je ne dis pas gay mais sodomite.
Depuis le temps que j’entends parler / je lis “GAY” à propos d’homosexuels…. Ma question toute simple : être hétéro est-ce TRISTE ? et question subsidiaire :
Pourquoi emploie-t-on le terme GAY systématiquement au lieu d’HOMOSEXUEL alors qu’on parle bien et simplement d’hétérosexuel ? Merci de vos réponses
Propagande gay, Swiss Made.
Les Observateurs pourraient ressortir la brochure éditée par l’association suisse de lutte contre le sida. Avec l’émouvant épisode fellatoire dans une pissotière de gare. Plus près, il y a la dernière édition de « Vivre à Genève ». Qui ne contient pas de propagande gay à proprement parler, mais un tissu de niaiseries. Dont la page « Emilie, super-rapide », dont le titre ne laisse planer aucun doute sur le contenu de l’article. Vous y apprenez qu’il faut « déconstruire » les stéréotypes du genre, et ce depuis le plus jeune âge. Ne parlons pas de « La poupée de Timothée t le camion de Lison »! Ni de « moins de clichés, plus de liberté ». Cette « socialisation différenciée »… « est non seulement contraignante (vive Mai 68!) et réductrice, mais elle a aussi des conséquences sur les choix des enfants et »… tenez vous bien « sur les compétences qu’elles et ils vont acquérir et pourront mettre à profit tout au long de leur vie ». Bang! Que la lumière soit, et la lumière fut! Sacré stéréotype, qui ne résistera plus très longtemps aux illuminés. Et vogue la « sensibilisation ». Et… il sera enrichi (si!) par de nouveaux contenus (je ne pourrais pas me contenir beaucoup plus longtemps), notamment – roulement de tambours – sur la mixité et l’occupation de l’espace. Je relève qu’en matière d’occupation, l’espace public étant l’espace privé d l’état, un présentoir d’affiche au format Ici-Paris est taxé 3 Francs par jour! Que dire des « éducateurs ou éducatrices – remarquer que éducateur-rides a disparu – travaillant dans les structures d’accueils de la petite enfance? Sinon qu’on regrette l’absence d’éducateurs de la grande enfance? Tout ça dans le cadre de la campagne « Egalité, la Ville fiche sa volonté ». Entendez par « la Ville », une majorité de parasites. Ceci dit, je n’ai jamais pu encaisser leur fameuse idole, Jean Piaget. Pour finir, une dernière citation qui illustre leur parenté avec cet illustre fumeur de pipe: « La poupée de Thimothée… Ce guide d’observation des comportements des professionnel-le-s de la petite enfance envers les filles et les garçons une petite pause pour que vous puissiez souffler un peu regorge d’exemples et d’outils pour attirer l’attention sur les messages véhiculés auprès (oui, c’est écrit auprès!) des enfants pas les adultes les entourant. »
Ouf!
Oui, il faudrait un guide d’observation des comportements des professionnels!
Alors je répète, l’islamisme n’est pas le problème numéro un!
Y sommes-nous?
Citations: “…une idéologie si totalitaire ne pouvait progresser que grâce à une totale tyrannie administrative.” et “… le pouvoir totalitaire qui aurait à construire cette société.”
Nous y sommes!
Ces citations sortent de “conversations avec Staline”, de Milovan Djilas.