La politique d’asile a besoin de cœur, mais aussi de raison.

Editorial de Roger Köppel

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Le profil démographique des migrants montre clairement ce que l'on sait depuis longtemps, mais dont les autorités ne veulent pas prendre acte: ce ne sont pas des familles menacées de mort à cause de la couleur de leur peau, de leur religion ou de leurs convictions politiques, mais de jeunes nomades économiques, de sexe masculin, qui affluent sous le couvert de l'asile en Europe.

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5 commentaires

  1. Posté par annik le

    Bravo Monsieur Köppel pour vos analyses qui mettent les points surs les i. Je ne comprends toujours pas pourquoi SS ne peut pas faire la différence entre les Syriens et les pseudo-réfugies africains, pourtant il suffit de voir la couleur de la peau. Si on veut éviter le chaos total dans le domaine de l’asile, il faut que cette pianiste retourne à sa partition et fasse place aux gens qui ont une longue expérience politique

  2. Posté par Aude le

    Parfaitement juste…Notre gouvernement, Dame Sommaruga en tête, doivent tendre à ce raisonnement au risque de saigner les aides sociales cantonales et d’éviter les conflits interculturels…ainsi qu’une surpopulation galopante…Pas d’exclavagistes dans le monde du travail..

  3. Posté par Bilou le

    Un article plein de bon sens. Mais voyez-vous, nous citoyens suisses n’avons pas un mot à dire concernant ces arrivages en masse que l’on nous impose. Nos politiques, du haut de leur supériorité méprisante, n’ont que faire de nos craintes diverses et légitimes. Exprimer un avis contraire à la bien-pensance suffit à faire de nous des xénophobes. Et nos autorités misent amplement sur le fait que le peuple suisse, s’il est parfois râleur, se fait vite une raison de tout et passe à autre chose. Mais devant le danger de l’abus, l’irrespect de nos valeurs et traditions,
    le fossé qui se creuse entre le monde politique et le petit peuple simplet que nous semblons être, peut-être un jour viendra où la cocote-minute va pèter ! Et ça, c’est effrayant…

  4. Posté par Marianne Munger le

    Il y a déjà beaucoup pour stopper la paupérisation de certains Suisses ou Etrangers installés ici. Accueillir des personnes qui sont des gens qui recherchent une meilleure vie économique est une utopie, l’Afrique est un continent qui peut s’autosuffire. L’aide massive des ONG et des gouvernements est plus efficace que recevoir ces personnes qui espèrent trouver un paradis, alors qu’ils trouvent en fait la misère, et cela est dangereux car ce sont des gens qui vont se révolter des conditions précaires dans lesquelles ils vivent maintenant en Europe, alors que les européens (beaucoup) sont dans des situations dramatiques.

  5. Posté par David le

    Ils veulent venir en europe ok acceptons-les, mais sous surveillance dans une ville exclusivement réservée pour eux quelque part en europe où ils ne pourront se déplacer partout en Europe seulement au bout de 3 ans si ils ont fait preuves de bonnes conduite

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