Suite à l'envoi par Alain Jean-Mairet d'une dénonciation au Ministère public de l'Etat de Fribourg dirigée contre neuf associations musulmanes du canton pour discrimination raciale, le procureur général-adjoint de ce canton a chargé Mallory Schneuwly Purdie, islamologue, de faire une expertise pour déterminer si le contenu de la Fatiha est propre à inciter à la discrimination raciale.
Voir la conclusion de Mme Schneuwly Purdie ICI
Réponse d'Alain Jean-Mairet ICI
Comme vous pouvez le constater, l'experte en islamologie mandatée par le procureur adjoint fribourgeois, parle, entre autres, d'une prétendue islamisation de l'Europe.
Avec de tels experts, Sami Aldeeb, Alain Jean-Mairet et tous les islamo-résistants ont encore bien du travail à abattre...
D. Borer
Quand une église vide est rachetée par les musulmans, cela donne ça (à Hambourg) : La croix a – évidemment – dû être remplacée… Par quoi ? Pas encore par le croissant (bientôt), mais juste par le nom d’Allah…
http://www.pi-news.net/2015/07/hamburg-auf-ehemaliger-kapernaum-kirche-prangt-jetzt-der-islamische-schriftzug-allah/
Il n’y a pas d’islamisation en Europe, n’est-ce pas ?
Je remercie chaleureusement M. Jean-Mairet pour son courage et sa ténacité. Mais pour avoir également eu affaire à la justice de ce pays comme plaignant, j’ai compris que la marge de manoeuvre dont bénéficient TOUJOURS les juges permet en réalité au pouvoir politique de leur indiquer la ligne à suivre. L’indépendance du pouvoir judiciaire n’est qu’un mythe. C’est ainsi que le citoyen lambda perd finalement confiance dans la justice de son pays.
Le procureur du canton de Fribourg refuse de publier son expertise:
http://precaution.ch/fatiha/ch/FR_Refus_Expertise_2.7.15.pdf
https://twitter.com/tweet_ajm/status/616909080452538369
Un grand merci à Alain Jean-Mairet pour toutes ces démarches auprès des cantons ! Oui, les femmes « expertes » sont installées… Le niveau scientifique de l’expertise de Mme Schneuwly Purdie est bien maigrelet… Et la cerise : la greffière porte un nom bien de chez nous. Bravo à nos autorités !
Mais bientôt, vous aurez du travail d’un autre calibre : Qu’en est-il du livre « saint » de l’islam du point de vue juridique suisse ? Parce que “incitation à la haine, appel à tuer les infidèles, ordre de tuer les apostats, discrimination de la femme”, etc. s’y retrouvent à profusion – en contradiction totale avec nos lois ! Et les versets ne sont pas mal traduits ou sortis d’un contexte historique légèrement dépassé… Face aux appels directs des djihadistes de passer maintenant aux actes en Europe, la menace n’est plus très théorique vu ce qui s’est déjà passé au nom d’Allah… Eh bien, les expertises des islamologues pour justifier leur livre de combat – et l’enseigner chez nous -, on se réjouit de les lire ! Il arrive qu’on interdise la diffusion d’un livre, n’est-ce pas ? Messieurs les juges, êtes-vous prêts à être confrontés à ce genre de dénonciations ? Et que nos ministres cantonaux de Justice et Police ne se cachent pas derrière le dos de notre Conseillère fédérale… Comme elle a toujours dit : Je prends au sérieux les inquiétudes de la population !
Voici un tableau récapitulatif (une page) des exégèses sur la fatiha:
http://precaution.ch/fatiha/fatiha_tableau_general.pdf
On voit notamment que tous les exégètes, toutes écoles confondues, ont confirmé le sens évident (pour qui connaît le coran et la sunnah) du 7e verset entre le XIIIe et le XXe siècle, soit une période continue de quelque 700 ans.
Au début de l’islam, seuls des outsiders (trois soufis sur huit au total et un zaydite) ont promu une interprétation différente de ce verset (mais sans forcément lui enlever son caractère discriminatoire). Tous les grands auteurs, et notamment tous les sunnites non soufis et tous les chiites, ont repris le sens qui ressort des comparaisons avec le contenu du coran et qui s’accorde aux récits de Mahomet sur la question. La «culture de la haine» était donc le standard absolu. Et personne ne le réfutait.
Quelques exégètes ont omis cette mention au XXe siècle, alors que l’islam connaissait son creux historique (chute du califat en 1923). Mais depuis lors, nous revenons au consensus classique. Ainsi, les exégètes vivants sont neuf sur dix à affirmer que les gens qui méritent la colère de dieu sont les juifs et que les égarés sont les chrétiens.
Et aucun imam, et aucun islamologue, n’ignore cela.
Aïda FAHIM greffière!? Ben voyons, quelle belle infiltration, mais qui à ce jour, croit encore un mot sorti de la bouche tordue de ces enfumeurs, appelons-les collabos-islamistes. C’est évident et ça saute tellement aux yeux, que ce “rapport” grotesque est un rapport d’allégeance et d’aplaventrisme. C’est une fois de plus, un hymne au politiquement correct! Perso je déclare irrecevable un telle niaiserie, axé sur la PEUR et en niant l’évidence, que c’en est écoeurant de complicité. Ces gens là ont, en vulgairement parlé, la CHIASSE et devraient comparaître, mais devant qui…? C’est du foutage de gueule et ça ne PASSE PLUS!!! Le peuple ne se soumettra JAMAIS à une bande de gelus 3.
Ben je préfère payer des impôts pour espérer voir déclarer l’islam comme idéologie non grata sur terre chrétienne et libre que de voir ces mêmes impôts utilisés pour faire vivre des parasites!
Les frais de procédure sont à charge de l’Etat. Donc de nous tous. Bref votre héros a parasité notre système judiciaire et engendré des milliers de francs de frais inutiles à charge des contribuables.
http://www.unil.ch/issrc/fr/home/menuinst/chercheurseuses/chercheur-e-s-affilie-e-s/mallory-schneuwly-purdie.html
Diversité, pluralisme, migration, notre “chercheuse” est taillée du même bois qu’Olivier Guéniat. Mme Schneuwly-Purdie, auriez-vous l’amabilité de nous livrer votre interprétation scientifique de la Taquiyya et du Jihad?
Au bas mot 50 millions de musulmans, soit le dixième de la population européenne?
Alain-Jean Mairet risque bien de n’avoir pour résultat positif que la constatation que demander au pyromane d’éteindre l’incendie se heurtera toujours à un refus de principe.
Et que la Justice de ce pays n’est pas celle du peuple mais celle de ceux qui ont choisi de s’en débarrasser en lui volant sa souveraineté.