Les cellules dormantes de djihadistes passeront-elles à l’action d’une manière concertée dans toute l’Europe ?
Selon A. Basit Haroun, conseiller auprès des services secrets libyens «Les terroristes planifient des actions, pas pour aujourd’hui ou demain, mais dans le futur. »
D’après Aimen Dean, ancien espion des services secrets britanniques, les djihadistes voyagent avec les migrants ce qui signifie une absence totale de données biométriques les concernant en territoire européen.
Article en anglais, ici
Merci à Caroline pour la traduction et la présentation
Vous avez dit infiltration d’islamistes dans la gendarmerie française?
Ça commence à vraiment bouillir sous le képi!
Le flash du Héron
Si tous ceux qui croient avoir raison n’avaient pas tort, la vérité ne serait pas loin.
Pierre Dac.
Le flash du Héron n° 1503016-3
La gendarmerie se réveille
Le Héron n’est pas isolé pour condamner l’introduction de musulmans et musulmanes dans les rangs de la maréchaussée, ainsi qu’il l’avait fait dans son flash du 9 écoulé, après la mise aux arrêts d’une pandorette adjudante-cheffe, puis sa mise en examen pour avoir communiqué des informations à ses amis terroristes islamistes depuis l’institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale du Fort de Rosny-sous-Bois.
À en juger par la prose qui suit, ça commence à bouillir dans les casernes !
Quand le laxisme et la démagogie précipitent la gendarmerie dans le gouffre… Une adjudant de gendarmerie était-elle complice de Coulibaly, l’auteur des attaques terroristes de Montrouge et de Vincennes ? C’est la question dérangeante que se posent les policiers en charge de l’enquête sur les attentats du mois de janvier.
Si elle stupéfie le grand public, l’affaire n’étonne pas vraiment au sein de la gendarmerie. « Cela devait arriver », entend-on. Car, pour beaucoup, c’est là le résultat d’une dizaine d’années d’abandon de la culture militaire et de relâchement de la discipline. « Aujourd’hui, on ne commande plus, on manage, on anime. On ne sanctionne plus les comportements déviants, on négocie, on trouve un compromis. », nous dit un officier.
L’institution, au sein de laquelle s’exerçait un assez fort contrôle social, notamment au travers de la vie en caserne, et qui réussissait sans difficulté à identifier ses « moutons noirs », peine désormais à imposer des règles et des normes à ses membres. « C’est la politique du, c’est mon choix, c’est mon droit. On ne peut plus rien dire à personne sous peine d’être considéré comme rigide. »
Et, de fait, la direction des ressources humaines de la gendarmerie, chasse gardée des officiers, impose, sous couvert de modernisation, une politique démagogique de concertation et de lutte « contre toutes les discriminations » particulièrement pesantes et qui paraît inhiber totalement les différents échelons de commandement, à commencer par ceux les plus proches du terrain.
« J’ai eu de grosses difficultés avec une jeune gendarme qui faisait le ramadan », témoigne un commandant de communauté de brigade, « et résultat, mon commandant de groupement m’a demandé de ne pas faire de vagues et d’adapter mon service. C’est lui qui me note ; j’ai bien compris le message. » Un officier confirme : « Il ne faut pas stigmatiser, c’est le mot d’ordre. Et la religion musulmane n’est pas un problème chez nous, c’est un axiome ! Il faut intégrer les jeunes issus de la diversité. À tout prix. »
Et le changement général des mentalités ne vient pas simplifier les choses. « Quand je suis rentré en gendarmerie », nous dit un major proche de la retraite, « on était gendarme 24 heures sur 24. Aujourd’hui, certains jeunes le sont au mieux neuf heures par jour. Et le reste du temps, il ne faut pas les emmerder avec la gendarmerie. » Alors, beaucoup de chefs et de cadres de contact sont désabusés et laissent filer des situations anormales, voire renoncent à recadrer des comportements manifestement contraires à l’éthique de la gendarmerie.
Pourquoi s’étonner, dans ces conditions, qu’une adjudant en poste au Centre national de formation au renseignement opérationnel, chargée de former les gendarmes des cellules de renseignement départementales, puisse se convertir à l’islam sans susciter quelques interrogations, puisque « c’est son choix » ?
Pourquoi s’étonner que la même gradée puisse accueillir à son domicile, en caserne, un individu au casier judiciaire long comme le bras, sans attirer l’attention, puisque « c’est sa vie privée » et qu’« il ne faut pas s’immiscer » ?
Pourquoi s’étonner qu’elle puisse se mettre à porter le voile islamique hors de la caserne sans provoquer de réaction, puisque « c’est son problème »et que « d’autres portent bien des piercings ou des tatouages » ?
Alors, oui, pourquoi s’étonner que l’on puisse, en toute quiétude, être gendarme et islamiste et fréquenter des complices d’assassins ?
Il n’y a malheureusement pas matière à s’étonner, mais seulement à constater, qu’un jour ou l’autre on finit toujours par payer le prix de ses erreurs.
Mais il faut que ça change, et je crois pouvoir dire qu’une majorité des gendarmes l’espère.
Le Héron des casernes
En suivant l’actualité, les débats, il est certain qu’une majorité de politiques et d’intellectuels , surtout de gauche n’ont pas encore pris la mesure du péril à venir .
L’expérience Algérienne que j’ai vécu éclaire sur le processus Djihadiste en cours en Europe. On eu les Djihadistes de retour d’Afghanistan , on a eu le terrorisme Islamique et la barbarie et l’Algérie qui était un très beau pays est devenu un dépotoir où on égorge à ciel ouvert.
Dans les deux cas , c’est l’immigration. L’Algérie a accueilli à bras ouvert des centaines de milliers de Frères Musulmans égyptiens et Palestiniens pour Arabiser/Islamiser en 1962.
La France a accueilli des émigrés qui ont servi de terreau aux Islamistes.
L’Algérie n’a pas mesuré le péril qui a mené à la guerre civile ( 200.000 morts, souvent égorgés).La France est déjà infectée car un citoyen qui critique l’Islam est menacé de mort chez lui sans que l’état ne puisse rien. On a fait rentrer le loup dans la bergerie.
Il est évident que les Islamistes ne vont pas se priver de glisser parmi les migrants qui arrivent en Italie, quelques fous de Dieu qui vont se planquer et vivre du social (on leur donnera même l’Asile politique) pour notre malheur. C’est pourquoi je n’aime pas cette Europe “humaniste”, libérale, bisounours et molle
Il faut être franchement inconscient et crétin pour en douter.
On pourra remercier les Nordmann, les Brunschwig-Graf, les Sommaruga et autres clowns pour leurs aveuglements quand la vraie guerre se déclarera et qui sera à l’image de ce qui s’est passé au Liban ou dans les Balkans.
Je pense qu’à ce moment-là, au mieux on rasera gratis, au pire, on mettra en pratique ce que nous auront montrés leurs amis du moment.
…, les djihadistes profitent de la bêtise du Monarque français et de la servilité de sa Cour, socialistes et très riches. Patrick Lévy.