La main tremblotante du Premier ministre et le sourire carnassier de son ministre vont motiver les Français comme jamais...
Extrait de: Source et auteur
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J’aimerais bien un mouvement de masse contre les manigances de Belkacem; cependant, l’expérience a prouvé lors du diktat taubirien sur le “mariage pour tous” que ce pouvoir totalitaire n’a cure d’une manifestation pacifique d’un million de personnes. Il s’imagine légitime alors qu’une majorité de citoyens l’a délégitimé : qu’importe, emporté par le délire idéologique et encouragé par les suggestions perverses d’officines fascistes comme “Terra-Nova” (à laquelle appartient Belkacem), il poursuit sa route, en autiste.
Il n’y a que deux moyens pour l’empêcher de perpétrer son nouveau crime contre le pays : le contraindre à reculer ou le renverser. Le renverser : quiconque connaît le système électoral français sait bien que ce ne sont pas les votes qui le feront; il n’y a que l’insurrection, c’est à-dire la manifestation énorme et non pacifique. C’est regrettable, mais les Français n’ont jamais rien inventé d’autre pour se débarrasser d’un régime. La situation n’est pas mûre pour cela, il n’y a pas encore de perspective politique en remplacement, et le désordre est nuisible. Le contraindre à reculer : ce n’est pas une manifestation pacifique qui le fera, mais la désobéissance civile, à savoir : inverser le principe de la grève ; ce ne sont plus les professeurs en “journée d’action”, mais les parents refusant d’obéir à l’obligation scolaire qui se mettent en grève. Que les classes soient vides, voilà qui donnerait une détestable image de marque au gouvernement, tant en France qu’à l’étranger. Mais les Français ont-ils encore suffisamment de civisme pour en arriver là ? Je l’espère… mais j’en doute.
Manu la tremblotte devrait être placé dans un pavillon de banlieue aux murs blanchis et ou l’on sert les anxiolytiques par boîtes de douze.
Quant à Belcacine elle ferait bien d’enfourcher le prochain tapis volant pour le bled.
Il y a des jours je ne sais plus si tout ce qu’on vit est réel ou si il s’agit d’un mauvais rêve.
Ces socialopes débordent d’immagination.