Un couple a laissé un sac taxé au pied de son immeuble privé de container. On lui réclame 336 francs.
Chef dudit service, Fadi Kadri s’abrite derrière la confirmation en commission de l’infraction: «Nous devons respecter une ligne et appliquer la procédure pour tous. (sic!)»
L’ironie veut que le couple vive près de l’Espace autogéré; ses occupants déposent chaque semaine leurs grosses poubelles noires illégales sur le trottoir sans tracasseries...
Voici l'une des publications de cet espace autogéré:
Rencontres-discussions contre les expulsions
La Suisse tue
Soutien à des camarades anarchistes accusés de transport et de tentative d'utilisation de matériel explosif
C’est une caractéristiques socialiste: la racaille n’est jamais inquiétée mais le citoyen est criminalisé à la moindre bévue. J’ai eu un problème pour un retour de livre dans la bibliothèque municipale de cette “ville”, retard dû à mes études. Les frais de retard étaient tout simplement hallucinants, disproportionnés, du jamais vu. Bien entendu, j’avais l’interdiction d’en reprendre un livre avant avoir pleinement payé l’amende ce qui a pesé sur mes études et mes examens (n’attendez aucun cadeau de la part de cette ville de gauche). Ce qui m’a fait rire, c’est que par la suite une étrangère a fichu le feu à cette bibliothèque en essayant de la voler.
Si la ligne que la commission veut faire respecter est décrétée POUR TOUS, pourquoi ne l’applique-t-elle pas À TOUS? Ce faisant, c’est faire la démonstration qu’autour d’un espace autogéré il en existe un autre, sous l’emprise d’une autorité dégénérée par un esprit de domination qui n’aspire qu’à régenter à l’envi les modes de comportements et de conduites des administrés au lieu de régir sans soumettre et de sanctionner ceux de ces modes, abusifs, qui nuisent à la collectivité.