NDLR. Toujours cette peur de la part du monde médiatico-politique suisse. Il est pourtant évident que tout ce qui revient à montrer les incroyables échecs de l’UE et ses effets dévastateurs contribuent à montrer sa vraie réalité. Qu’un grand pays comme l’Angleterre en vienne à s’interroger ouvertement et par votation sur la sortie de cette UE est tout de même un signe clair et très grave. Oui la Suisse profitera de toutes ces mises en cause puisqu’elles deviennent de plus en plus nombreuses et profondes. Il faut espérer que le OUI à la sortie l’emportera en Angleterre, malgré les innombrables pressions, menaces et dénigrements qui vont s’intensifier jusqu’au jour du vote.
C’est le propre d’une entité politique autoritaire, ouvertement anti-démocratique, et en échec de se durcir quitte à risquer l’effondrement.
“À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes.” (JFK)
Avec la réélection du Premier ministre britannique, un référendum sur le maintien de son pays dans l'UE se profile. La Suisse pourrait en pâtir lors des discussions sur la libre circulation des personnes.
Extrait de: Source et auteur
Oups … la citation est dans l’article juste au-dessus …
“Berne ne bénéficiera pas de la victoire de Cameron” … certainement vrai pour la berne du conseil fédéral.
Mais LA Suisse, elle, bénéficie très clairement de cette victoire qui donne une bonne chance à l’Angleterre de se sortir du pétrin dans lequel elle s’est fourrée. Avec les frémissements anti-européens de l’Autriche, la Suisse peut légitimement se sentir moins seule. A elle de saisir sa chance en refusant systématiquement tout ce qui vient de Bruxelles. Le fera-t-elle ? Avec les champions du “lèche-junker”, ce n’est pas sûr.
J’en profite pour re-citer un mot du 13 mars 1962 de John Fitzgerald Kennedy (qu’un autre visiteur de ce site m’a rappelé – désolé je ne trouve plzs son nom) : “A vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes”
J’espère que le Royaume-Uni et l’Autriche auront l’audace de prononcer l’offensive menant à la rupture de l’UE telle qu’elle a été façonnée par les eurocrates de Bruxelles. Bien sûr, Merkel fera tout pour bétonner l’idéologie européâstre; toutefois, même en Allemagne, il se développe un parti pour le moins euro-sceptique. Ce qui se joue, entre autres, est une partie de dés pipés, les USA ayant intérêt à conserver une UE “ouverte” à l’invasion africaine, donc appelée à la ruine à moyenne échéance ; cela fera un concurrent de moins dans une situation mondiale où la puissance s’est déplacée vers l’Extrême-Orient. Or l’Allemagne est un vassal obéissant des USA : il n’y a rien à en espérer. C’est aux peuples de la vieille Europe de se défaire seuls des chaînes de l’UE; et s’ils ont le courage et la volonté de combattre, ils le peuvent.
Pour le moment, la Suisse est la dernière forteresse de la Démocratie, assiégée de toutes parts. L’assiégeant doit être pris à revers. D’où l’intérêt du référendum de Cameron et de l’initiative Autrichienne.