Des parents ontariens menacent de retirer leurs enfants de l’école cette semaine pour protester contre le nouveau programme provincial d’éducation sexuelle.Un groupe Facebook appelé « Parents and Students on strike: one week no school » (Parents et élèves en grève : une semaine sans école, en français) encourage les parents qui s’opposent au nouveau cursus éducatif à garder leurs enfants à la maison cette semaine. Dimanche soir, ils étaient plus de 9800 à avoir « aimé » cette page.
Le groupe propose également une lettre type que les parents peuvent remettre aux établissements scolaires pour leur signifier que le cursus en question contient des informations qu’ils considèrent comme « inappropriées » pour l’âge de leurs enfants et que le programme « ne correspond pas aux principes et aux valeurs » de leur famille.
La porte-parole du Conseil scolaire public anglais de Toronto (Toronto District School Board), Shari Schwartz-Maltz, a affirmé qu’il était « presque impossible » de déterminer combien de familles participeront au mouvement de protestation, car certaines d’entre elles leur ont déjà remis la lettre type, alors que d’autres ont signifié verbalement leur désaccord. Tout le personnel du conseil scolaire a été mis au courant de l’initiative.
Mme Schwartz-Maltz rappelle que les enfants qui ne seront pas en classe cette semaine seront considérés comme absents et que leurs parents seront responsables de leur faire reprendre les apprentissages manqués, car l’enseignement continuera comme à l’habitude et les règles prévues en cas d’absence seront appliquées.
Dans la lettre type, les parents font valoir qu’il est « de leur responsabilité d’enseigner ces valeurs » à leurs enfants et qu’il leur appartient de décider quand et comment aborder « ces sujets délicats » avec eux.
La présidente du Conseil scolaire public anglais de Peel, Janet McDougald, s’attend quant à elle à ce qu’un « nombre important » de parents retirent leur enfant de l’école au moins pour la première journée de la semaine.
Ce conseil, établi à Mississauga, couvre un secteur multiculturel. Des milliers de personnes ont manifesté le mois dernier à Toronto contre le nouveau programme d’éducation sexuelle, et plusieurs ont déclaré qu’elles provenaient du comté de Peel.
La semaine dernière, la Première ministre ontarienne Kathleen Wynne a finalement rencontré en privé (après avoir refusé de le faire pendant des mois) un groupe de parents qui demandent le retrait de ce programme, dont la précédente mise à jour datait de 1998. La politicienne libérale a réaffirmé que la nouvelle mouture entrerait en vigueur en septembre prochain, comme prévu.
Pour les opposants à ce nouveau programme, si la question est « clivante » la faute en revient à la Première ministre Wynne qui veut imposer ce nouveau programme à tous les élèvesVoir aussi
Ontario — Théorie du genre dans le nouveau programme d’éducation sexuelle
Extrait de: Source et auteur
@Frédéric Bastiat je vous ai répondu mais mon commentaire n’est pas affiché cependant m’étant mal exprimée je ne vais pas revenir sur ce que je viens d’écrire .Vous m’avez mal comprise ,Je sais que ce sujet ne fait pas partie de l’article du jour donc je ne vais pas y revenir une 3me fois
au sujet de l’euthanasie en fin de vie je suis partante si le patient en est demandeur cela ne fait aucun doute je dirais que je suis aussi pour que cela ne regarde que la famille et le médecin en aucun cas des politiciens
J’aurais dû le préciser cependant il existe des gens qui signeront longtemps à l’avance et qui eux seront contre la peine de mort ce qui est un non sens car si encore en bonne santé on a déjà signé ce qui peut se comparer à son propre arrêt de mort alors pourquoi ne pas l’accepter pour d’autres c’est la raison de ma phrase ,incomplète je l’admets .Je ne suis pas pour la peine de mort bien au contraire
@coolibri:
“Ce sont sans doute les mêmes qui sont pour l’euthanasie en fin de vie mais qui sont contre la peine de mort”
Tu ne vois pas la différence? Je t’aide dans un cas cela correspond à la prétention de pouvoir disposer de soi, de son corps et de sa vie, et franchement on ne voit pas au nom de quoi des tiers viendraient nous dire que nous ne pouvons pas disposer de nous même mais que c’est eux qui disposent de nous à notre place. Ma vie est à moi, si je veux y mettre un terme qui es-tu pour prétendre décider à ma place?
Pour le second possible, il s’agit de mettre un terme à la vie d’un tiers. A l’heure où l’on sait que les erreurs judiciaires existent, tu penses qu’une mesure irréversible est de bon aloi? Quand tu t’es trompé tu peux toujours libérer un prisonnier et le compenser, quand tu l’as tué il n’y a plus de retour en arrière. Ensuite, quand on prétend que l’état peut disposer des gens au point de les mettre à mort, on s’éloigne d’un état de droit et d’une société libre, cela devient dangereux pour les citoyens. Avec les crétins qui nous gouvernent et leur incompréhension du principe de proportionnalité, si tu laisses instaurer la peine de mort, il y a fort à parier qu’on étende son application en fonction de l’actualité des faits divers ou des orientations politiques. A l’heure où l’on criminalise les opinions, demain c’est ta tête qui sera coupée parce que tu n’as pas la bonne orientation politique.
Par contre je vois bien la cohérence chez ceux qui veulent interdire l’euthanasie mais qui veulent introduire la peine de mort: eux leur principe de fond c’est qu’ils prétendent décider à la place des autres de ce qu’il faut faire de leur vie. Quand on étend ce principe à toutes sortes de contenus, cela fini très vite mal. D’ordinaire, c’est les étatistes, collectivistes, ou socialistes qui raisonnent comme cela.
Ceci étant dit, si tu veux simplement user de rhétorique et de traiter l’autre de perturbé mental parce que sont cerveau aurait été infecté au prétexte qu’il ne pense pas comme toi (là aussi c’est assez typique des procédés des socialistes), je peux aussi cesser d’argumenter et me contenter de venir sur ce genre de terrain. Moi c’est plutôt du cerveau de ceux qui ont ce genre de principe totalitaire que je m’inquièterais: c’est signe d’un esprit par trop égocentré intellectuellement et ces gens sont des dangers pour leurs voisins. Ne dit-on d’ailleurs pas cervelle de colibri? J’attends donc que ton ami l’internaute “linotte” vienne aussi mette un message après toi.
Quand on vous dit que certains rêvent du retour à l’éducation de l’époque des Hygiénistes cet article confirme bien ces doutes .Epoque ou les enfants étaient privés de tous leurs droits y compris même celui de réfléchir pas eux-même
Ce sont sans doute les mêmes qui sont pour l’euthanasie en fin de vie mais qui sont contre la peine de mort ,comme quoi quand certaines bactéries New âge s’emparent de certains cerveaux ont comprend d’autant l’importance de savoir dire non aux privations de nombreux droits dont nous disposons tous à condition de ne jamais montrer sa peur car celle-ci sera force première pour ceux qui pratiquent ou le chantage ou la manipulation mentale
Devinez l’origine culturelle de la plupart de ces parents?
Le plus amusant, c’est le retour de manivelle qui se prépare sur le long terme pour la gauche socialiste qui a fait entrer dans les pays occidentaux des millions d’étrangers issus de pays musulmans en espérant gagner de futurs électeurs. La gauche va petit à petit l’apprendre à ses dépends: ces gens, en raison de leur attachement très fort à leur religion, sont bien plus conservateurs et intolérants envers la différence que les autochtones. Et, lorsqu’ils seront assez nombreux, et on y arrive gentiment, ils prendront conscience de leur force politique et s’organiseront alors en conséquence. La gauche perdra ces électeurs, qui voteront pour un retour moral au moyen-âge.
Deuxième point inérressant: cela en dit long aussi sur comment le collectivisme est en train de tout gangréner. Maintenant l’état a le droit et l’autorité pour décider de l’éducation (je ne dis pas “l’apprentissage”) des enfants et des valeurs qu’il faut leur inculquer à la place des parents. Les parents ne sont plus que des géniteurs qui donnent à l’état des enfants dont il faut modeler les esprits dans un sens ou un autre, pour que ce soient demain de bons électeurs dociles favorables à la doxa dominante.
Le problème ce n’est pas l’éducation sexuelle, il faut être sacrément rétrograde religieusement pour refuser que des enfants soient instruits sur ces contenus, surtout qu’ils y sont exposés en permanence dans tous les médias. Le problème de fond c’est la multitudes de contenus qui ne sont que de la propagande politique gauchisante, qui ont été insérés dans les programmes scolaires au fur et à mesure du temps et dont on bourre le crâne des enfants dès leur plus jeune âge.