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L’Italie a une culture anarchiste et agressive très ancienne. Elle n’a pas attendue les difficultés actuelles pour s’exprimer de manière destructrice et guerrière. Au vu du passé, il serait dangereux d’octroyer à ses mouvements extrémistes une soudaine légitimité dictée par l’indigence et la corruption des politiques et de l’UE.
Certes il y avait l’extrême gauche, mais il y avait aussi tous les déçus de l’UE notamment les jeunes dont la plupart sont étudiants ou chômeurs de longue durée. Ces jeunes, âgés entre 20 et 30 ans, vivent dans une grande précarité et survivent de petits boulots et ce malgré une formation universitaire pour la plupart. Ils considèrent les politiques comme des vieillards gâteux et corrompus faisant semblant de s’intéresser à eux uniquement lorsque les élections approchent et savent pertinemment que leurs débouchés dans la vie active est quasi nulle. Ils ont une image de la politique différente de leurs aînés et ne font partie d’aucun parti politique et ont lancé un appel à voter blanc lors de chaque élection dans leur pays. Cette majorité silencieuse, se manifeste par des actions ciblées comme lutter contre la corruption des multinationales, de la BCE, du FMI, de l’UE, du triplement des taxes dans les Universités, la globalisation, la pollution, l’environnement, etc. et utilise les réseaux sociaux pour lancer leurs idées et leurs actions.
Tout ces gens qui manifestent dénoncent la globalisation, la mondialisation et l’esclavage qui va avec, mais ils haïssent et manifestent aussi contre tout les partis populistes qu’ils qualifient d’extrême droite.
Alors que ces mêmes partis si haïssables sont eux aussi contre la globalisation, dénonçant la faillite de l’UE réclamant un retour de la souveraineté nationale, le retour des frontières et pointant aussi du doigt les gaspillages qui ont mit à genoux des pays comme la Grèce. Etrange paradoxe où deux ennemis jurés partagent sous certains aspects les mêmes convictions 🙂