Pourquoi appeler “maladies mentales” des problèmes relationnels ou spirituels ?

Thierry-Ferjeux MICHAUD-NERARD
Médecin, Pédopsychiatre

 

Aujourd'hui, la vie et le langage des peuples occidentalisés, imprégnés par l'idéologie dominante de la médecine, sont rythmés par les fictions de la propagande publicitaire des laboratoires pharmaceutiques en faveur du "tout-médicament". L'idéologie de la médecine est celle de la soi-disant révélation de la "Science".

C'est "la Famille" qui, autrefois, symbolisait le rôle si important de "protecteur naturel", joué en faveur des enfants, dans la vie de tous les jours. Pourtant, aujourd'hui, la maladie du TDAH (Trouble de déficit de l'attention / hyperactivité, TDAH)  offre, au "médecin-tout-médicament", l'opportunité de jouer un rôle similaire, mais cette fois, en défaveur des enfants.

On sait que "la Famille", autrefois, n'avait nul besoin d'être initiée aux subtilités de la religion du "tout-médicament". Mais, aujourd'hui, la maladie du TDAH offre l'opportunité aux psychiatres de refuser toute forme de courage intellectuel, pour se soumettre au vocabulaire du DSM, importé abusivement des États-Unis.

Le DSM est devenu l'ouvrage mondial de référence, publié par l'APA, la toute-puissante Association Américaine de Psychiatrie, classifiant les critères diagnostiques et statistiques de soi-disant troubles mentaux. Le DSM est devenu le "bréviaire de la domination idéologique" de la psychiatrie consumériste quasi-religieuse nord-américaine. (DSM : de l'anglais, signifie : Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders).

Les psychiatres médiocres disposent d'un catalogue publicitaire des troubles mentaux made in USA où, à chaque rubrique du DSM, correspond un symptôme et un diagnostic, ce qui conditionne le traitement.

La plupart des grands groupes pharmaceutiques nord-américains ont bien compris leurs intérêts très profitables à exporter dans le monde entier cette conception de l'idéologie scientiste faussée de la psychiatrie biologique. Le "tout-médicament" est imposé comme le "nouveau langage de la psychiatrie moderne".

Pour la famille de l'enfant turbulent, qui bouge beaucoup et qui n'écoute pas, et surtout qui n'obéit pas quand on lui parle, la notion de l'enfant turbulent, employée dans le langage courant, a un sens complètement différent de celui de la psychiatrie moderne, qui vend le mythe rentable "pour tous" de la maladie du TDAH.

Une chose, pour la famille, était d'appeler "turbulent", l'enfant "normal" qui n'écoute pas et qui n'obéit pas, une autre chose est d'appeler l'enfant turbulent, un enfant handicapé de la maladie imaginaire du TDAH.

Si le DSM-business avait voulu pousser plus avant l'analyse linguistique du "nouveau vocabulaire de la psychiatrie moderne", importé abusivement des États-Unis, les soi-disant adeptes ignares de l'idéologie de la psychiatrie biologique moderne auraient vite compris que le mot "turbulent" n'avait pas le même sens, selon qu'on parle de l'enfant "normal" ou de l'enfant devenu "handicapé" selon la maladie imaginaire du TDAH.

La critique scientifique condamne tous les mensonges publicitaires du DSM-business.

Ces remarques n'ont d'autre but que de démontrer que, dans une "société psychiatrique avancée", "la famille" ne peut jamais comprendre parfaitement le sens caché des mensonges publicitaires de la psychiatrie biologique et de la religion du "tout-médicament". Le mythe de la maladie du TDAH "pour tous" conduit tout un chacun à confondre le sens réel du comportement "normal" de l'enfant turbulent, et le sens médicalisé du handicap imaginaire de la maladie du TDAH, emprunté au vocabulaire du DSM-business.

On pourrait croire, dans notre "société médicalisée", que les psychiatres et "la famille" devraient être capables de comprendre la différence qui existe entre le comportement turbulent de l'enfant "normal" et le cas des troubles spécifiques éventuels du comportement, agité ou violent, de l'enfant handicapé.

La rentabilité morale et matérielle du DSM-business oblige à confondre le sens réel du comportement "normal" de l'enfant turbulent, et le sens médicalisé des mots de la soi-disant maladie du TDAH, empruntés au vocabulaire de la pseudo-science du DSM made in USA.

Si on observe le vocabulaire médical habituel, utilisé dans les familles, on "a" une maladie, ou on "a" attrapé un rhume, et on "est" malade, pour un temps plus ou moins long, avant de pouvoir se rétablir.

Mais, lorsque le vocabulaire médical s'applique à une "maladie mentale", il crée une notion abstraite. Ainsi, quand la maladie affecte soi-disant la vie de l'esprit, le vocabulaire médical crée la notion de "maladie mentale". La question est de savoir qui peut définir la signification de cette soi-disant "maladie de l'esprit".

Et en quoi cette sorte de "maladie de l'esprit" se réduirait à des troubles neurophysiologiques relevant de la psychiatrie biologique, de la médecine, ou des neurosciences ? En réalité, personne ne peut "avoir" une maladie mentale, ni même "avoir" attrapé une maladie mentale. C'est pourquoi, l'expression du vocabulaire médical pour signifier la notion souvent si arbitraire de la "maladie mentale" se réduit à des idées abstraites.

La médecine nous apprend que les maladies normales, les maladies physiques qui affectent le corps, ont une cause connue et un agent causal identifié. Les symptômes sont rapportés à un dysfonctionnement, ou à une ou plusieurs lésions des organes, que la médecine va pouvoir traiter et corriger.

La différence avec la maladie mentale est que la cause en est inconnue, malgré les mystifications de la psychiatrie biologique et les imageries trompeuses importées abusivement du domaine des neurosciences.

La propagande publicitaire des laboratoires pharmaceutiques, qui financent la psychiatrie biologique, explique les méfaits de la complicité faussement scientifique des soi-disant chercheurs en neurosciences, eux qui sont  inféodés aux subsides des laboratoires pharmaceutiques qui financent leurs pseudo-recherches.

La propagande publicitaire, en faveur des mythes médiatiques des neurosciences, se répand sans cesse, sans la moindre retenue, sur les télés, comme Arte et France 5, et dans la presse non spécialisée, comme le Figaro Santé, sans que la moindre place soit jamais réservée à la critique scientifique.

Comme personne ne peut "avoir" une maladie mentale, la soi-disant "maladie de l'esprit" croit pouvoir définir une "caractéristique permanente de la personnalité". La maladie mentale serait ainsi définie comme un "caractère" ou une "nature" soi-disant pathologique, dont il serait en conséquence impossible de se rétablir.

C'est pourquoi, les troubles de la vie de l'esprit comme l'autisme infantile ou les troubles de la lecture comme la dyslexie, sont transformés arbitrairement en handicaps. Le handicap mental des aliénistes du XIX ème siècle désigne des caractéristiques médicales qui sont devenues valables au XXI ème siècle, arbitrairement expliquées génétiquement sans preuve. Ces théories médicales n'ont jamais été démontrées par des lésions invisibles, ou des dysfonctionnements du cerveau, qui n'ont jamais été observés ni scientifiquement prouvés.

Aujourd'hui, le handicap mental doit définir l'essence même de la véritable "maladie de l'esprit".

Ainsi l'aliénation mentale, définie encore aujourd'hui comme une "maladie mentale incurable", comme la démence précoce et la schizophrénie infantile, est devenue l'échec patent de la psychanalyse officielle.

Si, pour les vrais psychotiques, la science ne connaît pas encore de guérison authentique à l'âge des neurosciences, qu'en est-il de la guérison des problèmes spirituels par la psychiatrie biologique ?

Pourquoi appeler "maladies mentales" des problèmes relationnels ou spirituels ?

Pourquoi les autorités morales et spirituelles ignorent-elles le traitement des problèmes spirituels ?

Le langage des neurosciences, concernant le handicap mental, est délibérément trompeur.

Le mythe du TDAH démontre que certaines familles, et certains psychiatres, veulent absolument ignorer les différences qui existent entre un "problème moral", qui affecte la vie de l'esprit de l'enfant "normal" et la vie de sa famille, et un "handicap mental subi", comme dans le cas du TDAH, qui débarrasse les parents et les psychiatres de toute responsabilité, et même parfois du sentiment de culpabilité devant l'échec.

C'est le rôle magique de la maladie du TDAH, qui offre au psychiatre la facilité d'une "médecine-tout-médicament", qui débarrasse les parents et les psychiatres de toute responsabilité personnelle.

Quelle peut donc être la tâche de la vraie science, devant une telle situation soumise à la domination de la fausse science, toujours ignare et arrogante, de la psychiatrie biologique, avec la complicité active des représentants des laboratoires pharmaceutiques, ceux qui financent le domaine des neurosciences ?

Comment faire en sorte que des parents informés puissent librement choisir d'accepter ou de rejeter les fables du TDAH ? Pourquoi la soi-disant Haute Autorité de Santé (HAS) de la république socialiste veut-elle imposer "à tous" le mythe américain du TDAH ? Pourquoi veut-elle imposer la prescription généralisée de la drogue "amphetamine-like" appelée Ritaline, aux enfants des écoles et aux parents qui la refusent ?

Aujourd'hui, chacun doit pouvoir réfléchir librement pour chercher les bonnes réponses !

Thierry-Ferjeux MICHAU-NERARD, 26 avril 2015

 

 

6 commentaires

  1. Posté par Christ le

    Je ne crois jamais aux sortilèges d’amour jusqu’à ce que j’atteigne le haut temple d’Oduduwa, et après qu’il ait jeté un sort d’amour pour moi, mon fiancé m’a appelé pour m’excuser jusqu’à aujourd’hui nous vivons une famille heureuse, et il a apporté la joie à ma relation. Encore une fois merci au Dr S.Oududuwa pour les merveilleuses oeuvres que vous avez faites pour moi. Et si vous rencontrez un problème avec votre partenaire, je vous conseillerai de contacter Oduduwa sorteur et je vous assure qu’il vous aidera à vous réconcilier avec votre fiancé . Email: [email protected]

  2. Posté par florence le

    Le cerveau des tdah ne produit pas sufisamment de dopamine qui est un neurotransmetteur extrêmement important dans la qqgestion des informations. C’est un fait reconnu par les autorités médicales (l’imagerie cérébrale montre des zones défaillantes et d’autres en hyperactivité). Le déni du caractère physique de ce problème relève d’une querelle stérile entre l’approche scientifique(neurologique) et l’approche psychanalitique ou éducative, qui prévalait jusqu’alors, qui n’est pas suffisante, pas adaptée pour un probleme neurologique. Enfants ou adultes souffrent énormément de leurs problèmes attentionnels, de mémoire de travail, d’impulsivité, de manque d’organisation, d’hyperactivité motrice ou mentale,cela les handicape terriblement dans la vie scolaire ou professionnelle tant que le trouble n’est pas traité. (Toutes sortes d’outils existent et pas uniquement des psycho stimulants!)!Pour sortir des à priori ,du type “le tdah n’existe pas” , ou “il ne se soigne” qu’avec des médicaments, il existe de très bon livres tels que “mon cerveau a encore besoin de lunettes” qui évitera a tout un chacun d’être dans le déni d’une réalité qui cause beaucoup de souffrance à 5 pour cent de la population mondiale et qui existait bien avant le dms, qui a toujours existé en fait…

  3. Posté par Eva le

    Je trouve vos propos régressif et injuste car le TDA/H n’est pas un mythe mais bien réel et prouvé de milles façons !!! de plus cette particularité ne touche pas que les enfants … on nait avec et l’on vieillit avec ! Vos propos sont odieux pour toutes les personnes qui vivent en faisant 10 fois plus d’efforts que les autres pour pleins de tâches du quotidien …de ces enfants qui suent sang et eaux pour apprendre comme les autres ! je suis moi même mère de deux enfants donc un TDAH et je peux vous dires que je m’en occupe corps et âme avec des règles strictes et rigoureuse, qu’ils reçoivent une bonnes éducation! Qu’ils ont une vie saine et pleine d’amour et que les difficultés de mon aînés ne sont en aucun cas les conséquences d’un abandon familiale ,d’une mauvaise éducation ou autres infamies que l’on peux entendre des personnes comme vous !!!

  4. Posté par colibri le

    A la question pourquoi tout mettre dans le panier des maladies mentales ? ceci prouve qu’on est entrain de reculer pour reprendre ce que les Hygiénistes de l’époque nommaient la pureté sociale et raciale
    A défaut de conserver les nombreux acquis de la psychiatrie d’autres s’évertuent à en créer de nouveaux mais encore plus diffamants et sélectifs que ce qui a été reproché à de nombreux psychiatres
    D’ailleurs la mode consistant au tri sélectif ne concerne pas seulement les déchets ,on en a la preuve c’est entrain de déteindre sur tous les comportements
    Aujourd’hui tout le monde est mis dans le même panier comme les horoscopes qui représentent la tonalité ambiante mais qui ne doit pas être perçue par tout un chacun comme personnelle
    Trop de religiosité peut mener à des délires et là on peut parler de maladie mentale surtout quand celui qui en souffre se prend pour Jésus ou asperge de son nom avec ses propres fientes les murs de sa chambre
    Ceux qui veulent soigner de nos jours n’ont pas l’esprit ouvert comme nombre d’anciens soignants qui préparés à tout entendre et tout voir n’en faisaient pas une affaire d’Etat c’est toute la différence entre hier et aujourd’hui
    L’humain d’aujourd’hui n’est plus blindé face aux malheurs comme d’autres l’étaient car habitués à résoudre seuls leurs problèmes avec comme seule certitude de pouvoir assumer ce que le destin ne tarderait pas à leur soumettre à nouveau ce qui est le lot de chaque humain et ce depuis la nuit des temps et ce sans toujours requérir une aide extérieure
    Ceux qui parlent le plus de la psychiatrie sont souvent de fervents admirateurs de la pensée unique celle-là même dont était membre Hitler et par là même l’Allemagne et Bruxelles qui de nos jours doivent encore en rêver

  5. Posté par Vautrin le

    On se demande ce que peut être “la souffrance psychique”. D’autres parlent de “mal-être”. Bien sûr, cela ne semble pas comparable à la détérioration de la psychose ni à celle de la névrose. La psychose est anosognosique, dans la mesure où le malade n’a pas de représentation de son trouble. Il ne se sent pas fou. Et même, le thérapeute, s’il se laisse prendre au jeu du malade, recherche désespérément son fou. Le névrotique semble bien ressentir le “mal-être” mais il n’a pas non plus de mots à mettre sur l’origine (pour autant qu’elle puisse se révéler, se conceptualiser par le langage). Mais peut-on tout aussi bien mettre des mots sur la “dépression” ?
    Ce n’est pas sûr, sauf à invoquer le ras-le-bol ou à se voir comme un « minus », « raté », « angoissé » etc… Cette fois, mais ce n’est qu’une conjecture, on dirait que les échecs sociologiques de l’être sont repris par les affects qui en font tout un plat alors qu’il n’y a que des mauvaises passes conjoncturelles : « ça va passer, t’en fais pas », et ça passe. Ou pas. Dans ce cas, peut-être autre chose est-il à l’œuvre ? Je pense que les temps dits modernes ont monté cela en mayonnaise, et que comme par hasard on a commercialisé des neuroleptiques, antidépresseurs, somnifères, tranquillisants Il paraît que nous sommes des recordmen du monde avec 200 millions de boîtes vendues chaque année en France à quelque 20 ou 25% de nos concitoyens. Ce qui me fait dire que l’on a remplacé l’électrochoc du pauvre (le coup de pied au cul) par de coûteuses molécules dont l’emploi rend dépendant et qui ont des effets secondaires néfastes.
    En allant jusqu’au bout de ce raisonnement, je dirais : on a inventé une pathologie en même temps que la médication pour la guérir. Et, ce, à grand renfort de revues faussement “psychologiques”, d’émissions et de billets dans la presse ordinaire. Non pas qu’il ne puisse exister des dépressions sévères – mais alors elles doivent avoir une spécificité qui les distingue du “ras-le bol”.
    Quels mots met-on sur ce ras-le-bol ? Des étiquettes préfabriquées : stress, fatigue, surmenage, déception (professionnelle, sentimentale) et ainsi de suite. C’est tout de même un peu hétérogène, non ? Mais la médication est là : Tranxène, Xanax, Buspirone, et j’en passe. Et, fait curieux, on s’en remet à la toute-puissance du carabin, celui qui SAIT (bien entendu !), autrement dit : pas de négociation, par de communication, donc, seulement une attitude infantile. On place -et les gens SE placent- sous l’un de ces pouvoirs modulaires (ici le pouvoir thérapeutique) qui limitent l’autonomie de la Personne. Car, au fond de cette affaire il y a un enfant apeuré qui attend de l’adulte la résolution de ses problèmes. Et, ma foi, un bonbon ça calme et des tas de gens se baladent avec une pharmacie ambulante. On est exactement aux antipodes de la thérapie des psys (voir La Plainte Douloureuse, H. Guyard)
    Il y a une fuite de la responsabilité -et de l’angoisse qu’elle peut procurer- dans la médication et les faux paradis artificiels qu’elle propose. Et, au fond, ce n’est ni plus ni moins qu’une manifestation de l’anthroponomie, reprise par l’OMS : « la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Autrement dit une espèce d’hébétude semblable à celle que les Anciens attribuaient aux Dieux. Et encore ! Zeus se fâchait, Héra était une méchante jalouse et Artémis une peste. Bien-être mental ? Mais alors c’est la bête heureuse de vivre. Il doit bien s’en trouver. Bien-être social ? Là, on touche à cette valeur, l’équité qui fait que l’état politique satisfait ou ne satisfait pas.

  6. Posté par Pierre H. le

    “Pourquoi appeler « maladies mentales » des problèmes relationnels ou spirituels ?”

    Pour faire du fric et pouvoir écarter et isoler les gens dont les opinions dérangent !

Et vous, qu'en pensez vous ?

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