« Il n’y aura aucun problème » dit-il « tu gardes ta religion et je garde la mienne ». Bien qu’il soit vrai que l’Islam autorise un musulman à épouser une femme chrétienne, est-il vrai qu’il n’y aura aucun problème dans ce ménage ? Pour répondre à cette question, une femme doit comprendre ce que c’est que d’être l’épouse d’un musulman.
Votre position
Selon la doctrine islamique « les maris sont supérieurs à leurs femmes » (Sourate II, 228)
Selon la doctrine islamique les droits des femmes sont la moitié de ceux des hommes : en matière de témoignage en tribunal (Sourate II, 282) ; en matière d’héritage (Sourate IV, 12)
L’islam considère la femme comme une possession : « L’amour des plaisirs, tels que les femmes, les enfants, les trésors entassés d’or et d’argent, les chevaux superbes… tout cela paraît beau aux hommes » (Sourate III, 12)
L’islam commande aux femmes de toujours se voiler quand elles sortent de chez elles : « Commande aux femmes qui croient… de couvrir leurs seins de voile, de ne faire voir leurs ornements » (Sourate 24, 31)
Mahomet enseigne que les femmes manquent d’intelligence et de religion : « je n’ai vu personne plus défectueux en intelligence et en religion que les femmes » (Al Bukhary vol. 2, 541)
Mahomet enseigne que les femmes constituent un mauvais présage : « les femmes, la maison et le cheval sont un mauvais présage » (Al Bukhary vol. 7, 30)
Selon Mahomet, les femmes font du mal aux hommes : « Je n’ai laissé après moi aucune affliction plus nuisible aux hommes que les femmes » (Al Bukhary vol. 7, 33)
Votre ménage
L’Islam autorise la polygamie : un homme peut épouser jusqu’à quatre femmes à la fois. « deux, trois ou quatre parmi celles qui vous auront plu » (Sourate 4, 3)
Un homme peut divorcer d’avec sa femme en l’annonçant oralement. La femme n’a pas le même droit. « La répudiation peut se faire deux fois » (Sourate II, 229)
Quand un mari a prononcé trois fois les paroles de divorce envers sa femme, elle ne peut ré-épouser son mari que si elle a d’abord été épousée et divorcée par un autre homme (et a eu des relations sexuelles avec ce dernier) « Si un mari répudie sa femme trois fois, il ne lui est permis de la reprendre que lorsqu’elle aura épousé un autre mari, et que celui-ci l’aura répudiée à son tour. » (Sourate II, 230)
L’islam enseigne qu’une femme peut être corrigée par son mari ; il est permis de battre sa femme ou de s’abstenir d’avoir des relations sexuelles avec elle. « Vous réprimanderez celles dont vous aurez à craindre la désobéissance ; vous les reléguerez dans des lits à part, vous les battrez… » (Sourate IV, 38)
Votre vie sexuelle
L’islam considère que la femme est un objet sexuel. « Les femmes sont votre champ. Cultivez-le de la manière que vous l’entendrez… » (Sourate II, 223)
Vos enfants
Vos enfants doivent être élevés dans la religion de leur père : l’islam. Si celui-ci divorce d’avec vous, il garde les enfants et vous ne pourrez plus les revoir.
Selon la Charia (la loi islamique), dans les mariages mixtes « les enfants suivront la meilleure des deux religions » – ce qui dans votre cas sera l’islam. D’après le coran, l’islam est la seule vraie religion : « La religion d’Allah est l’islam » (Sourate III, 17). Les non-musulmans ne peuvent être protecteurs des musulmans. « Ô croyants, ne prenez pas point d’amis (de protecteurs) parmi les infidèles plutôt que parmi les croyants. » (Sourate IV, 143)
Votre Avenir
Si votre époux musulman meurt avant vous et ses biens se trouvent dans un pays musulman, la loi islamique sera suivie. La femme qui ne s’est pas convertie à l’islam ne reçoit rien, celle qui s’est convertie reçoit très peu. Selon le coran, la femme n’hérite pas de tous les biens de son mari. Si celui-ci meurt sans laisser d’enfants, elle reçoit ¼ de l’héritage. Ses parents, frères, oncles etc. recevront le reste. Si le décédé laisse des enfants, la femme reçoit 1/8, les enfants le reste ; les fils recevant une double portion par rapport aux filles. « Les femmes auront un quart de la succession des maris morts sans enfants, et un huitième seulement s’ils en ont laissé, les legs et les dettes prélevés. » (Sourate IV, 14)
Aussi avant de dire « Oui »
Avant de vous engager à épouser un Musulman, il serait bon que vous examiniez ses motifs. Pour vous il peut s’agir peut-être de faire un mariage d’amour, pour lui peut-être d’obtenir un permis de résidence.
Peut-être pensez-vous que votre futur mari est un musulman non-pratiquant. Cependant il ne faut pas oublier que l’islam est plus qu’une religion, c’est aussi un code juridique complet que doivent suivre les musulmans et les non-musulmans dans un État islamique. En cas de dispute entre vous, il n’a qu’à se rendre dans un pays musulman pour avoir de l’avantage sur vous.
Christian Lassale
Ce court résumé est composé à partir du livre « ISLAM SANS VOILE » de Abdullah Al Araby, Éditeur : F.-X. de Guibert, Paris – Description : 108 pages; (21 x 14 cm) – EAN13 : 9782868399731
Extrait de: Source et auteur
J’ai eu le malheur d’avoir dans ma famille une femme qui s’est mariée avec un musulman “non pratiquant”. Résultat des courses:
– La fille issue du mariage porte un prénom arabe
– Elle est bien évidemment musulmane: Exit toute la culture et la religion de la mère
– Son père lui a interdit d’entrer dans une église
-. Il me semble même que l’ex-femme s’est convertie durant le mariage (son prénom est le même MAIS elle a exigé que l’orthographe change)
– Aujourd’hui divorcée, sans doute en raison de tromperies et de violences, le Marocain s’énervant extrêmement facilement à ce que j’ai pu constater.
– La femme est issue d’un métier éminemment à gauche (l’éducation) et vote en conséquence. Pour elle, même un Sarkozy est un extrémiste de droite…
– Premier réflexe de la femme durant le divorce: planquer son argent afin que son ex-mari ne puisse pas en profiter
etc.