Droit d’asile : plus de 52 000 réfugiés/an, 2 milliards d’€, 1% des déboutés expulsés

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Souvent les lecteurs de gauche me reprochent de beaucoup écrire sur l’immigration, ils me disent que la priorité des Français étant le chômage, le pouvoir d’achat ou l’éducation. Alors certes ce ne sont pas des sujets mineurs loin de là, mais ils ne sont pas si prioritaires que cela, c’est mal connaître les Français que penser le contraire.

Les deux principaux fléaux de ce pays ressentis comme des priorités sur lesquels le législateur doit mettre toutes ces billes c’est d’abord l’idéologie gauchiste mais surtout l’immigration de masse. Celle-ci engendre tous les autres problèmes, et c’est ce que n’arrivent visiblement pas à comprendre nos élites éclairées. Les conséquences de l’immigration entraînent le chômage de masse, la baisse du pouvoir d’achat, ou l’effondrement de notre éducation nationale. C’est une évidence. Sans compter le changement de culture, l’insécurité explosant en flèche et le coût supporté par les Français de l’accueil de ces millions de gens venus d’ailleurs.

L’immigration de masse est de loin le souci le plus important à supporter pour notre société, c’est pourquoi elle se crispe et créé individualisme et haine des uns et autres.

Nous apprenons ce jour que « Le projet de loi sur la réforme de l’asile (…), ne répond pas à la question centrale de la gestion des déboutés qui provoquent une embolie (…)»; «Tant que la question de l’organisation systématique et rapide de leur retour ne sera pas réglée, le système ne pourra fonctionner correctement» ; «La politique d’asile est devenue la principale source d’arrivée d’immigrants clandestins en France.»… Il ne s’agit pas d’un tract politique mais du cri d’alarme lancé au gouvernement par la Cour des comptes dans un document explosif que Le Figaro révèle lundi. »

« En 113 pages d’«observations provisoires» sur «l’accueil et l’hébergement des demandeurs d’asile», qui attendent désormais les réponses de Beauvau et Matignon, les hauts magistrats de la rue Cambon dépeignent une détérioration de la situation bien plus grave qu’on ne l’imaginait. Ils chiffrent le coût de l’asile à plus de 2 milliards d’euros par an pour la collectivité nationale. Deux fois plus que les estimations concédées jusqu’alors par les autorités. Car au coût de ceux qui arrivent s’ajoute celui de ceux qui ne repartent pas (selon les Sages, seulement 1 % des déboutés quitteraient le territoire français). »

« Sur les éloignements justement, la Cour assure qu’«il a été noté une “forme de renoncement” dans certaines préfectures à cause de l’absence de directive claire du gouvernement en ce sens et de la sensibilité politique et médiatique du sujet, et tout particulièrement des familles déboutées du droit d’asile. L’affaire dite “Leonarda Dibrani” en octobre 2013 n’a fait que renforcer ce phénomène». Un réquisitoire impitoyable, alors que s’ouvre au Sénat, mercredi, les débats en Commission des lois, sur cette réforme Valls-Cazeneuve sévèrement critiquée pour son manque de sincérité, de réalisme et d’ambition. »

Pourtant malgré ces chiffres et ces constats alarmants, notre bon président a décidé d’assouplir encore plus le droit d’asile en favorisant le « Grand Remplacement » et en renforçant les droits des demandeurs d’asile. Bien sûr au détriment des Français.

Source

Rapport Cour des comptes

 

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