ND Ch. H. En clair, les jeunes qui se radicalisent seraient en train de faire une banale crise d'adolescence, le problème étant seulement "un conflit familial". Rien à voir avec l'islam. Ce sont de tels experts qui vont par la suite conseiller notre gouvernement...
Rien ne laissait présager non plus la fuite, en décembre, d’Alban* et d’Adea*. Originaire des Balkans, la fratrie était très bien intégrée. Adea a montré les premiers signes de radicalisation l’été passé, lorsqu’elle a commencé à se rendre à l’école strictement voilée.
Samuel Althof, en charge du Bureau de prévention de l’extrémisme et de la violence (Fexx), travaille directement avec les autorités de la ville. Selon lui, la multiplication des cas à Winterthur est le résultat «d’un hasard».
De plus, la radicalisation ne conduit pas forcément au djihad, explique encore le spécialiste. «La radicalisation d’un jeune suit un schéma assez précis. Elle constitue presque systématiquement une réponse à un environnement familial conflictuel. L’ado cherche à attirer l’attention de ses parents.
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