La situation en Ukraine? Les États-Unis ont organisé le pire, ils ont ouvert une boite de Pandore qui devient incontrôlable et qui gêne de plus en plus de monde. La situation au Maghreb? Les États-Unis ont organisé le pire là également, ils ont tenté d’utiliser le monstre de Frankenstein et celui-ci échappe également à tout contrôle. Le lien entre ces deux actualités? Le pillage des ressources, mais également la domination sur ces régions. La nation la plus puissante de la planète ne vit plus que grâce aux menaces sur autrui, à une réputation savamment entretenue, un espionnage total et une planche à billet qui ne cesse de vomir des billets qui n’ont plus aucune valeur. Au milieu de cela, des cadavres d’enfants qui s’amoncellent dans l’indifférence la plus grande, puisque l’on nous explique depuis des décennies maintenant que le programme-télé du soir est largement plus important que ce que font les états pour que vous puissiez avoir une vie décente. Le numéro de Juin 2014 de la revue Américaine, American Journal of Public Health note (PDF gratuit ici; pointe de chapeau David Swanson) : • Environ 90% de tous les décès dans les guerres sont des civils : » La proportion des décès de […] Lire la suite...
Extrait de: Source et auteur
Smedley Butler on Interventionism
— Excerpt from a speech delivered in 1933, by Major General Smedley Butler, USMC.
I helped make Mexico, especially Tampico, safe for American oil interests in 1914. I helped make Haiti and Cuba a decent place for the National City Bank boys to collect revenues in. I helped in the raping of half a dozen Central American republics for the benefits of Wall Street. The record of racketeering is long. I helped purify Nicaragua for the international banking house of Brown Brothers in 1909-1912 (where have I heard that name before?). I brought light to the Dominican Republic for American sugar interests in 1916. In China I helped to see to it that Standard Oil went its way unmolested.
During those years, I had, as the boys in the back room would say, a swell racket. Looking back on it, I feel that I could have given Al Capone a few hints. The best he could do was to operate his racket in three districts. I operated on three continents.