En 2013, 13'600 personnes admises en Suisse dans le cadre de l'asile ont bénéficié de l'aide sociale, ce qui représente 600 personnes de plus ( 4,6%) que l'année précédente.
Selon des chiffres déjà publiés l'année passée, quelque 20'600 personnes relevant de l'ensemble de l'asile bénéficiaient de l'aide sociale à fin juin 2013.
Sur les quelque 8300 personnes âgées de plus de 15 ans, environ un cinquième travaillait et touchait l'aide sociale en complément. La moitié d'entre eux travaillait à plein temps. Près d'un tiers (30%) était sans emploi et une bonne moitié appartient à la catégorie des personnes inactives. Elle comprend notamment les femmes au foyer ou les jeunes en formation.
L’assistante sociale de mon village a quand même réussi à me dire que si j’avais été moins qualifiée et moins Suisse ça aurait été plus facile de m’octroyer une aide temporaire…
Depuis octobre dernier je galère et me fait renvoyer de service en service, SANS aide !!!!
Je suis en burn-out et ayant été malade plus d’une année consécutive je n’ai pas droit au chômage, les APJ ne paient plus et mon dossier à l’AI sera peut-être traité ds “quelque temps”…
Pour le social je n’ai qu’à demander de l’argent à mon entourage… Ou vendre la maison, ce qui est difficile tant que la Commune bananière dans laquelle je vis ne me délivre pas le permis d’habiter.
Lorsque j’ai demandé des subsides pour payer l’ass maladie on m’a répondu que cela se calculait sur la taxation -2 ans – je travaillais, donc que neni….
Vive notre pays
Je trouve désolant de voir qu’on donne tellement de choses aux réfugiés ici alors que nous, Suisses, avons aussi besoin d’aide…..
Je suis une Valaisanne de 30ans et je vais bientôt commencer une nouvelle formation de 3ans… Si je n’obtiens pas une aide, alors je vais faire un scandale! j’ai toujours travaillé et je n’ai jamais profité de notre société… alors on verra bien s’il y a un peu de justice dans cette Suisse souvent décevante…
Seule solution : Suppression dudit “droit d’asile” (qui ne consiste qu’à financer notre invasion). Quelles que soient les conséquences, question de vie ou de mort !
J’étais en relation d’affaires avec des thaïlandais et un jour, lors d’une visite en Suisse, l’un me demanda si l’on avait des réfugiés. Après lui avoir expliqué le topo par rapport au sort de nos réfugié qui faisait pâlir d’envie nos retraités, celui-ci n’en est pas revenu. Il m’a dit qu’on était complètement fous ! En Thaïlande, me dit-il, nous acceptons les réfugiés mais ils sont dans des baraquements tout près des frontières, baraquements entourés de barbelés et gardés par l’armée. Puis, quand le pays d’où ils viennent est à nouveau plus fréquentable, le gouvernement les renvoie là-bas.
Il n’y a qu’une solution.
– A) retour forcé au pays d’origine.
– B) si (A) n’est pas possible, internement dans un camp totalement fermé aux conditions de vie spartiates+++ afin de décourager les nouveaux candidats. On ne sort de ces camps d’internement qu’en cas de décès, d’expulsion dans un pays tiers les acceptant; une infirmerie et un cachot dissuasif complèteront ces camps.
Je n’ai pas de solutions, mais de potentielles pistes comme: Amener de l’aide sur place pour l’immigration climatique, aider l’accueil aux pays voisins en cas de conflits, rendre la Suisse moins attractive, mettre en place des quotas, exiger le respect de nos coutumes, voter en conséquence quitte à bousculer les bienpensants et sortir du Conseil de l’Europe où toutes les décisions sont dictées.
Quand les caisses seront presque vides, ce seront nos compatriotes et nos résidents, eux qui ont travaillé toute leur vie et ont cotisé, qui seront les dindons de la farce et n’obtiendront RIEN si un jour ils sont dans le besoin ! Nos ancêtres qui ont tant travaillé pour faire de la Suisse un pays florissant avec un filet social prévu pour que leurs compatriotes que la vie n’a pas gâté puissent vivre dignement et afin que leurs enfants et petits-enfants aient une vie meilleure doivent se retourner dans leurs tombes. Ecoeurant constat. Un grand merci à nos politiciens. Nos petits-enfants, un jour, nous demanderont des comptes et ils auront raison !
Concrètement, dans la pratique, que peut-on faire des “réfugiés”?
Amis lecteurs, que proposez-vous?
Ces personnes ne connaissent pas nos langues et surtout n’ont pas la formation qui donne accès au travail dans nos pays. Ils ont des mentalités complètement différentes des nôtres voyez mon livre “Des raisins trop verts”.
Que faire des jeunes Erythréens qui viennent en Suisse parce qu’ils ne veulent pas faire leur service militaire dans leur pays au lieu de changer leur pays. A leur âge il est impossible de leur faire récupérer 10 ans d’études. Une formation miracle pour occuper des emplois qui déjà se font rares pour les diplômés indigènes? Leur faire faire ces fameux travaux que les Suisses ne veulent pas faire ? Mais eux non plus ils ne veulent pas être “humiliés”… Ils ne veulent même pas manger ce que nous mangeons ni dormir dans nos refuges, non ils veulent un certain standing… Que faire? Les tenir tranquilles et inactifs dans des centres ? Jusqu’à quand? Pour le moment il y a combien d’Erythréens et combien d’autres voudraient encore venir? Surtout si ceux-ci téléphonent à la maison en disant “ici c’est chouette, on est logé nourrir blanchi , on a reçu un téléphone portable, on a un pécule qui nous permet d’acheter des cannettes de bière, et on ne doit rien faire d’autre qu’aller se promener” Cela n’est pas une solution. Ce n’est même pas tenable du tout car il n’y a pas de futur.
Des réfugiés qui fuient une guerre on peut les héberger à condition que ce soit juste le temps nécessaire pour attendre la fin de cette guerre. Et après? Après ces gens vont devoir rentrer chez eux pour reconstruire… On ne sait tout de même pas laisser le Moyen Orient vide et en ruine et ses habitants dispersés de par le monde… Après la 2° guerre de nombreuses villes avaient été rasées et elles ont été reconstruites… Va-t-on renvoyer tous ces réfugiés en leur disant “bon retour chez vous, où vous n’allez même plus avoir de l’eau potable, allez au revoir et bonne chance…” En attendant les enfants sont plus ou moins scolarisés, dans une langue qui n’est pas la leur et une civilisation étrangère, mais à quoi bon s’ils vont devoir rentrer dans des pays où il n’y a plus d’écoles? On continue dans une voie absurde. Mais un jour ou l’autre tout ça va imploser et alors?
Quelqu’un a-t-il une idée?