Pourquoi s’embêter avec les prénoms? Dans l’affaire dite «du Carlton», les prostituées sont considérées, au mieux, comme des «petites» et des «dossiers» ; au pire, comme du «matériel» et des «salopes». Mais ce n’est pas pour leur avoir manqué de respect que Dominique Strauss-Kahn et treize autres personnes vont être jugés, à partir de ce lundi.
«Boucherie», «orgie», «carnage», «abattage»: si les termes utilisés par les prostituées interrogées diffèrent, ils renvoient tous à la même réalité crue d’un appétit sexuel démesuré de DSK.
Ce sont surtout ses manières qui ont choqué les participantes à ces «après-midi récréatives». Evoquant son goût pour la pénétration anale sans protection, l’une d’entre elles précise aux enquêteurs que DSK «aimait les rapports de force»… «C’était de l’abattage, indique une autre. Les filles n’avaient pas un comportement normal. DSK débarquait avec sa bite à l’air et les prenait comme cela.»
A tel point que l’une des prostituées a décidé, un beau jour, de prendre ses distances avec ce milieu. Gênée au moment de l’expliquer, cette dernière finit par raconter qu’un jour DSK est arrivé alors qu’elle prenait sa douche et qu’il lui «a pissé dessus en [lui] disant ‘’Tiens, tu vas aimer ça!’’. Là, je me suis dit qu’il avait un problème…»
Samuel, ouais, c’est la France qui casque
C’est un honneur d’avoir un président comme DSK.
Au lieu de ça, les Français ont voté pour le baiseur casqué.
DSK, sans capote, il casse les fions direct, ça c’est un tueur !
Si il était devenu président, la France aurait eu un président anormal!
Ils ont choisi le président normal.